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- Jésuites et capucins tentent parallèlement de fonder des missions au Tibet au début du . En 1716, le père capucin Francesco della Penna et les Jésuites Emmanuel Freyre et Ippolito Desideri se retrouvent à Lhassa. Malgré les dissensions entre les deux ordres, Desideri et Della Penna se mettent à étudier ensemble le tibétain. Ils sont reçus au monastère de Sera, près de Lhassa. Desideri quitte le Tibet en 1721, et à son retour rédige un rapport qui ne sera publié qu’en 1904. Il y décrit le mode de gouvernement et l'intense activité commerciale régnant à Lhassa. Della Penna vit pendant seize années au Tibet. À partir de 1720, les Mandchous poussent les moines à se méfier des Occidentaux et les missions fermeront les unes après les autres. Première marque de relations inter-religieuses qui réapparaitront au , le pape Benoît XIV écrit une lettre pour le dalaï-lama, Kelzang Gyatso qu'il remet au père Francesco della Penna. (fr)
- Jésuites et capucins tentent parallèlement de fonder des missions au Tibet au début du . En 1716, le père capucin Francesco della Penna et les Jésuites Emmanuel Freyre et Ippolito Desideri se retrouvent à Lhassa. Malgré les dissensions entre les deux ordres, Desideri et Della Penna se mettent à étudier ensemble le tibétain. Ils sont reçus au monastère de Sera, près de Lhassa. Desideri quitte le Tibet en 1721, et à son retour rédige un rapport qui ne sera publié qu’en 1904. Il y décrit le mode de gouvernement et l'intense activité commerciale régnant à Lhassa. Della Penna vit pendant seize années au Tibet. À partir de 1720, les Mandchous poussent les moines à se méfier des Occidentaux et les missions fermeront les unes après les autres. Première marque de relations inter-religieuses qui réapparaitront au , le pape Benoît XIV écrit une lettre pour le dalaï-lama, Kelzang Gyatso qu'il remet au père Francesco della Penna. (fr)
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