dbo:abstract
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- La ligne de partage des eaux est une limite géographique qui divise hydrographiquement en plusieurs bassins versants. Plus précisément, de chaque côté de cette ligne, les eaux de pluie s’écoulent vers des exutoires différents. Le plus souvent, cette ligne, longue et sinueuse, correspond à une ligne de crêtes topographiques parcourant des hauteurs composées de montagnes, de collines, voire de simples ondulations de terrain. Mais, parfois, des couches géologiques profondes et imperméables redirigent l'écoulement de l’eau vers une vallée séparée par une ligne de crête de la vallée où cette pluie est tombée (il y a alors résurgence, comme au Guelh de Joèu des sources de la Garonne). La ligne topographique de partage des eaux sert souvent de base juridique à la délimitation de frontières dans les zones montagneuses, comme c’est le cas, par exemple, dans les Alpes à la frontière entre la France et l'Italie ou dans les Pyrénées avec l'Espagne, dans les Andes entre l'Argentine et le Chili ou dans l’Himalaya entre la Chine et le Népal. Cependant, cette règle comporte quelques exceptions : les communes de Vallorcine, en Haute-Savoie (vallée de l’Eau-Noire), le lac du Mont-Cenis en Savoie, de la Vallée Étroite dans les Hautes-Alpes, de Tende dans les Alpes-Maritimes avec la vallée de la Roya, le Val d'Aran espagnol (constituant la haute vallée de la Garonne) ou encore la haute-Cerdagne (haute vallée du Sègre) sont de bons exemples d’entorses dues à des considérations politiques ou historiques. (fr)
- La ligne de partage des eaux est une limite géographique qui divise hydrographiquement en plusieurs bassins versants. Plus précisément, de chaque côté de cette ligne, les eaux de pluie s’écoulent vers des exutoires différents. Le plus souvent, cette ligne, longue et sinueuse, correspond à une ligne de crêtes topographiques parcourant des hauteurs composées de montagnes, de collines, voire de simples ondulations de terrain. Mais, parfois, des couches géologiques profondes et imperméables redirigent l'écoulement de l’eau vers une vallée séparée par une ligne de crête de la vallée où cette pluie est tombée (il y a alors résurgence, comme au Guelh de Joèu des sources de la Garonne). La ligne topographique de partage des eaux sert souvent de base juridique à la délimitation de frontières dans les zones montagneuses, comme c’est le cas, par exemple, dans les Alpes à la frontière entre la France et l'Italie ou dans les Pyrénées avec l'Espagne, dans les Andes entre l'Argentine et le Chili ou dans l’Himalaya entre la Chine et le Népal. Cependant, cette règle comporte quelques exceptions : les communes de Vallorcine, en Haute-Savoie (vallée de l’Eau-Noire), le lac du Mont-Cenis en Savoie, de la Vallée Étroite dans les Hautes-Alpes, de Tende dans les Alpes-Maritimes avec la vallée de la Roya, le Val d'Aran espagnol (constituant la haute vallée de la Garonne) ou encore la haute-Cerdagne (haute vallée du Sègre) sont de bons exemples d’entorses dues à des considérations politiques ou historiques. (fr)
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- La ligne de partage des eaux est une limite géographique qui divise hydrographiquement en plusieurs bassins versants. Plus précisément, de chaque côté de cette ligne, les eaux de pluie s’écoulent vers des exutoires différents. Le plus souvent, cette ligne, longue et sinueuse, correspond à une ligne de crêtes topographiques parcourant des hauteurs composées de montagnes, de collines, voire de simples ondulations de terrain. Mais, parfois, des couches géologiques profondes et imperméables redirigent l'écoulement de l’eau vers une vallée séparée par une ligne de crête de la vallée où cette pluie est tombée (il y a alors résurgence, comme au Guelh de Joèu des sources de la Garonne). (fr)
- La ligne de partage des eaux est une limite géographique qui divise hydrographiquement en plusieurs bassins versants. Plus précisément, de chaque côté de cette ligne, les eaux de pluie s’écoulent vers des exutoires différents. Le plus souvent, cette ligne, longue et sinueuse, correspond à une ligne de crêtes topographiques parcourant des hauteurs composées de montagnes, de collines, voire de simples ondulations de terrain. Mais, parfois, des couches géologiques profondes et imperméables redirigent l'écoulement de l’eau vers une vallée séparée par une ligne de crête de la vallée où cette pluie est tombée (il y a alors résurgence, comme au Guelh de Joèu des sources de la Garonne). (fr)
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