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- En France, le droit de se syndiquer est reconnu aux policiers de la Police nationale depuis 1945, après différentes péripéties au long de la première moitié du XXe siècle. Ce syndicalisme aux effectifs considérables (près de 3 policiers sur 4) a longtemps été essentiellement autonome, indépendant des syndicats généralistes de salariés. Il rejoint progressivement les instances représentatives (UNSA, CFDT, CGC, Union syndicale Solidaires ou FO). (fr)
- En France, le droit de se syndiquer est reconnu aux policiers de la Police nationale depuis 1945, après différentes péripéties au long de la première moitié du XXe siècle. Ce syndicalisme aux effectifs considérables (près de 3 policiers sur 4) a longtemps été essentiellement autonome, indépendant des syndicats généralistes de salariés. Il rejoint progressivement les instances représentatives (UNSA, CFDT, CGC, Union syndicale Solidaires ou FO). (fr)
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- En France, le droit de se syndiquer est reconnu aux policiers de la Police nationale depuis 1945, après différentes péripéties au long de la première moitié du XXe siècle. Ce syndicalisme aux effectifs considérables (près de 3 policiers sur 4) a longtemps été essentiellement autonome, indépendant des syndicats généralistes de salariés. Il rejoint progressivement les instances représentatives (UNSA, CFDT, CGC, Union syndicale Solidaires ou FO). (fr)
- En France, le droit de se syndiquer est reconnu aux policiers de la Police nationale depuis 1945, après différentes péripéties au long de la première moitié du XXe siècle. Ce syndicalisme aux effectifs considérables (près de 3 policiers sur 4) a longtemps été essentiellement autonome, indépendant des syndicats généralistes de salariés. Il rejoint progressivement les instances représentatives (UNSA, CFDT, CGC, Union syndicale Solidaires ou FO). (fr)
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