dbo:abstract
|
- Les élections parlementaires chiliennes ont eu lieu le 13 décembre 2009, en même temps que le premier tour de l'élection présidentielle, dans lequel le candidat de droite, Sebastián Piñera, est arrivé en tête, devançant le candidat de la Concertation des partis pour la démocratie, Eduardo Frei Ruiz-Tagle. Dix-huit des trente-huit sièges du Sénat ainsi que la totalité des 120 sièges de la Chambre des députés étaient à pourvoir. La Concertación et Juntos Podemos (coalition de gauche), alliées pour la circonstance, ont obtenu 9 des 18 sièges de sénateurs à pourvoir et 57 des 120 députés, soit autant au Sénat que la Coalición por el Cambio (coalition de droite) qui obtenait un siège de député en plus (58), bien qu'ayant eu un score total inférieur à celui de la Concertation (43,44 % contre 44,36 % pour la gauche). C'est le plus mauvais score de la gauche depuis 20 ans. La coalition « Nouvelle majorité pour le Chili » ( et Parti humaniste) n'obtenait aucun élu, tandis que la coalition , réussissait à avoir trois députés. Ainsi, la coalition de gauche reste majoritaire au Sénat (19 sièges en tout sur 38), tandis que la droite, qui n'avait eu que 7 sénateurs contre 10 pour la Concertation en 2005, détient désormais 16 sièges. Ces élections marquent aussi la fin de l'exclusion du Parti communiste (PCCh) de la scène politique : s'étant allié à la Concertation, il a réussi à faire élire 3 de ses 4 candidats aux législatives, dont le président du PCCh, Guillermo Teillier, son secrétaire général, Lautaro Carmona, et l'avocat spécialisé dans la défense des droits de l'homme, . C'est la première fois depuis le coup d'État de 1973 que le PCCh siège au Parlement. (fr)
- Les élections parlementaires chiliennes ont eu lieu le 13 décembre 2009, en même temps que le premier tour de l'élection présidentielle, dans lequel le candidat de droite, Sebastián Piñera, est arrivé en tête, devançant le candidat de la Concertation des partis pour la démocratie, Eduardo Frei Ruiz-Tagle. Dix-huit des trente-huit sièges du Sénat ainsi que la totalité des 120 sièges de la Chambre des députés étaient à pourvoir. La Concertación et Juntos Podemos (coalition de gauche), alliées pour la circonstance, ont obtenu 9 des 18 sièges de sénateurs à pourvoir et 57 des 120 députés, soit autant au Sénat que la Coalición por el Cambio (coalition de droite) qui obtenait un siège de député en plus (58), bien qu'ayant eu un score total inférieur à celui de la Concertation (43,44 % contre 44,36 % pour la gauche). C'est le plus mauvais score de la gauche depuis 20 ans. La coalition « Nouvelle majorité pour le Chili » ( et Parti humaniste) n'obtenait aucun élu, tandis que la coalition , réussissait à avoir trois députés. Ainsi, la coalition de gauche reste majoritaire au Sénat (19 sièges en tout sur 38), tandis que la droite, qui n'avait eu que 7 sénateurs contre 10 pour la Concertation en 2005, détient désormais 16 sièges. Ces élections marquent aussi la fin de l'exclusion du Parti communiste (PCCh) de la scène politique : s'étant allié à la Concertation, il a réussi à faire élire 3 de ses 4 candidats aux législatives, dont le président du PCCh, Guillermo Teillier, son secrétaire général, Lautaro Carmona, et l'avocat spécialisé dans la défense des droits de l'homme, . C'est la première fois depuis le coup d'État de 1973 que le PCCh siège au Parlement. (fr)
|
rdfs:comment
|
- Les élections parlementaires chiliennes ont eu lieu le 13 décembre 2009, en même temps que le premier tour de l'élection présidentielle, dans lequel le candidat de droite, Sebastián Piñera, est arrivé en tête, devançant le candidat de la Concertation des partis pour la démocratie, Eduardo Frei Ruiz-Tagle. Dix-huit des trente-huit sièges du Sénat ainsi que la totalité des 120 sièges de la Chambre des députés étaient à pourvoir. (fr)
- Les élections parlementaires chiliennes ont eu lieu le 13 décembre 2009, en même temps que le premier tour de l'élection présidentielle, dans lequel le candidat de droite, Sebastián Piñera, est arrivé en tête, devançant le candidat de la Concertation des partis pour la démocratie, Eduardo Frei Ruiz-Tagle. Dix-huit des trente-huit sièges du Sénat ainsi que la totalité des 120 sièges de la Chambre des députés étaient à pourvoir. (fr)
|