Les élections locales sud-africaines du 1er novembre 1995 (pour 8 des 9 provinces) et de mai-juin 1996 (pour Le Cap et le KwaZulu-Natal) sont les premières élections locales de l'Afrique du Sud post-apartheid. Si le Front de la liberté et le Parti démocratique s'en sortent aussi convenablement par rapport aux précédentes élections générales, le Parti conservateur (qui avait boycotté les élections générales sud-africaines de 1994) et le Congrès panafricain d'Azanie sont laminés.

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  • Les élections locales sud-africaines du 1er novembre 1995 (pour 8 des 9 provinces) et de mai-juin 1996 (pour Le Cap et le KwaZulu-Natal) sont les premières élections locales de l'Afrique du Sud post-apartheid. Ces élections municipales sont les premières élections affectant les gouvernements locaux depuis la fin de l'apartheid et de la domination institutionnelle de la population blanche d'Afrique Sud. Elles sont organisées sur deux périodes, le scrutin ayant été repoussé pour la ville du Cap et la province du KwaZulu-Natal en raison de désaccords sur la délimitation de plusieurs circonscriptions. Sur l'ensemble des deux scrutins électoraux, le taux de participation se révèle décevant (48,79 %). Lors du scrutin organisé dans 8 des 9 provinces le 1er novembre 1995, l'ANC sort victorieuse, remportant la majorité des sièges dans près de 400 conseils municipaux sur 661. Dans la ville du Cap et dans la province du KwaZulu-Natal, où les électeurs sont appelés à voter en mai et juin 1996, le Parti national (NP) et l'Inkatha Freedom Party réalisent leurs meilleurs scores. Si le Front de la liberté et le Parti démocratique s'en sortent aussi convenablement par rapport aux précédentes élections générales, le Parti conservateur (qui avait boycotté les élections générales sud-africaines de 1994) et le Congrès panafricain d'Azanie sont laminés. (fr)
  • Les élections locales sud-africaines du 1er novembre 1995 (pour 8 des 9 provinces) et de mai-juin 1996 (pour Le Cap et le KwaZulu-Natal) sont les premières élections locales de l'Afrique du Sud post-apartheid. Ces élections municipales sont les premières élections affectant les gouvernements locaux depuis la fin de l'apartheid et de la domination institutionnelle de la population blanche d'Afrique Sud. Elles sont organisées sur deux périodes, le scrutin ayant été repoussé pour la ville du Cap et la province du KwaZulu-Natal en raison de désaccords sur la délimitation de plusieurs circonscriptions. Sur l'ensemble des deux scrutins électoraux, le taux de participation se révèle décevant (48,79 %). Lors du scrutin organisé dans 8 des 9 provinces le 1er novembre 1995, l'ANC sort victorieuse, remportant la majorité des sièges dans près de 400 conseils municipaux sur 661. Dans la ville du Cap et dans la province du KwaZulu-Natal, où les électeurs sont appelés à voter en mai et juin 1996, le Parti national (NP) et l'Inkatha Freedom Party réalisent leurs meilleurs scores. Si le Front de la liberté et le Parti démocratique s'en sortent aussi convenablement par rapport aux précédentes élections générales, le Parti conservateur (qui avait boycotté les élections générales sud-africaines de 1994) et le Congrès panafricain d'Azanie sont laminés. (fr)
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  • Élections municipales sud-africaines de 1995-1996 (fr)
  • 1995–96 South African municipal elections (en)
  • Elecciones municipales de Sudáfrica de 1995 (es)
  • Suid-Afrikaanse munisipale verkiesing van 1995–96 (af)
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