À Wallis-et-Futuna, l'année 2007 est marquée par trois échéances électorales : * le renouvellement de l'Assemblée territoriale le 1er avril, qui a vu le renouvellement de la majorité sortante formée autour de l'UMP du député Victor Brial et de divers droite proches de l'UDF de Pesamino Taputai, les rapports de force se trouvant inchangés (toujours 12 élus pour la majorité contre 8 à l'opposition socialiste) ; * l'élection présidentielle d'avril-mai qui a vu Nicolas Sarkozy arriver en tête au 1er tour (43,55 %) devant Ségolène Royal (39,46 %) et François Bayrou (11,2 %), avec un taux de participation de 64,55 %, tandis qu'au second tour le candidat UMP ne l'a emporté que d'une très courte tête avec seulement 26 voix d'avance sur sa rivale socialiste (3 866 contre 3 840, soit respectivemen

Property Value
dbo:abstract
  • À Wallis-et-Futuna, l'année 2007 est marquée par trois échéances électorales : * le renouvellement de l'Assemblée territoriale le 1er avril, qui a vu le renouvellement de la majorité sortante formée autour de l'UMP du député Victor Brial et de divers droite proches de l'UDF de Pesamino Taputai, les rapports de force se trouvant inchangés (toujours 12 élus pour la majorité contre 8 à l'opposition socialiste) ; * l'élection présidentielle d'avril-mai qui a vu Nicolas Sarkozy arriver en tête au 1er tour (43,55 %) devant Ségolène Royal (39,46 %) et François Bayrou (11,2 %), avec un taux de participation de 64,55 %, tandis qu'au second tour le candidat UMP ne l'a emporté que d'une très courte tête avec seulement 26 voix d'avance sur sa rivale socialiste (3 866 contre 3 840, soit respectivement 50,17 % et 49,83 %) ; * les élections législatives de juin. Marquée par une assez forte présence chiraquienne (Jacques Chirac avait obtenu dès le 1er tour en 2002 50,6 % des suffrages pour une participation alors déjà assez importante pour l'outre-mer de 64,44 %). Toutefois, la gauche bénéficie d'une bonne implantation mais, longtemps divisée, elle n'a jamais réussi à s'imposer. Les votes sont généralement assez serrés (comme le montre le résultat de la présidentielle, mais aussi celle des législatives de 2002 où l'actuel député UMP avait alors été réélu avec seulement 58 voix d'avance et 50,39 % des suffrages exprimés face aux 49,61 % de son adversaire divers gauche de l'époque Penisio Tialetagi) et, bien que la majorité sortante UMP-divers droite ait été reconduite lors des élections territoriales du 1er avril, elle part divisée pour les législatives avec 3 candidats alors que l'opposition de gauche s'est, elle, rassemblée autour de la toute récente fédération locale du Parti socialiste. La collectivité ne dispose que d'un seul siège de député à l'Assemblée nationale, détenu durant la XIIe législature par l'UMP Victor Brial. (fr)
  • À Wallis-et-Futuna, l'année 2007 est marquée par trois échéances électorales : * le renouvellement de l'Assemblée territoriale le 1er avril, qui a vu le renouvellement de la majorité sortante formée autour de l'UMP du député Victor Brial et de divers droite proches de l'UDF de Pesamino Taputai, les rapports de force se trouvant inchangés (toujours 12 élus pour la majorité contre 8 à l'opposition socialiste) ; * l'élection présidentielle d'avril-mai qui a vu Nicolas Sarkozy arriver en tête au 1er tour (43,55 %) devant Ségolène Royal (39,46 %) et François Bayrou (11,2 %), avec un taux de participation de 64,55 %, tandis qu'au second tour le candidat UMP ne l'a emporté que d'une très courte tête avec seulement 26 voix d'avance sur sa rivale socialiste (3 866 contre 3 840, soit respectivement 50,17 % et 49,83 %) ; * les élections législatives de juin. Marquée par une assez forte présence chiraquienne (Jacques Chirac avait obtenu dès le 1er tour en 2002 50,6 % des suffrages pour une participation alors déjà assez importante pour l'outre-mer de 64,44 %). Toutefois, la gauche bénéficie d'une bonne implantation mais, longtemps divisée, elle n'a jamais réussi à s'imposer. Les votes sont généralement assez serrés (comme le montre le résultat de la présidentielle, mais aussi celle des législatives de 2002 où l'actuel député UMP avait alors été réélu avec seulement 58 voix d'avance et 50,39 % des suffrages exprimés face aux 49,61 % de son adversaire divers gauche de l'époque Penisio Tialetagi) et, bien que la majorité sortante UMP-divers droite ait été reconduite lors des élections territoriales du 1er avril, elle part divisée pour les législatives avec 3 candidats alors que l'opposition de gauche s'est, elle, rassemblée autour de la toute récente fédération locale du Parti socialiste. La collectivité ne dispose que d'un seul siège de député à l'Assemblée nationale, détenu durant la XIIe législature par l'UMP Victor Brial. (fr)
dbo:isPartOf
dbo:wikiPageID
  • 1431355 (xsd:integer)
dbo:wikiPageLength
  • 5704 (xsd:nonNegativeInteger)
dbo:wikiPageRevisionID
  • 190732340 (xsd:integer)
dbo:wikiPageWikiLink
prop-fr:wikiPageUsesTemplate
dct:subject
rdfs:comment
  • À Wallis-et-Futuna, l'année 2007 est marquée par trois échéances électorales : * le renouvellement de l'Assemblée territoriale le 1er avril, qui a vu le renouvellement de la majorité sortante formée autour de l'UMP du député Victor Brial et de divers droite proches de l'UDF de Pesamino Taputai, les rapports de force se trouvant inchangés (toujours 12 élus pour la majorité contre 8 à l'opposition socialiste) ; * l'élection présidentielle d'avril-mai qui a vu Nicolas Sarkozy arriver en tête au 1er tour (43,55 %) devant Ségolène Royal (39,46 %) et François Bayrou (11,2 %), avec un taux de participation de 64,55 %, tandis qu'au second tour le candidat UMP ne l'a emporté que d'une très courte tête avec seulement 26 voix d'avance sur sa rivale socialiste (3 866 contre 3 840, soit respectivemen (fr)
  • À Wallis-et-Futuna, l'année 2007 est marquée par trois échéances électorales : * le renouvellement de l'Assemblée territoriale le 1er avril, qui a vu le renouvellement de la majorité sortante formée autour de l'UMP du député Victor Brial et de divers droite proches de l'UDF de Pesamino Taputai, les rapports de force se trouvant inchangés (toujours 12 élus pour la majorité contre 8 à l'opposition socialiste) ; * l'élection présidentielle d'avril-mai qui a vu Nicolas Sarkozy arriver en tête au 1er tour (43,55 %) devant Ségolène Royal (39,46 %) et François Bayrou (11,2 %), avec un taux de participation de 64,55 %, tandis qu'au second tour le candidat UMP ne l'a emporté que d'une très courte tête avec seulement 26 voix d'avance sur sa rivale socialiste (3 866 contre 3 840, soit respectivemen (fr)
rdfs:label
  • Élection législative de 2007 à Wallis-et-Futuna (fr)
  • Élection législative de 2007 à Wallis-et-Futuna (fr)
owl:sameAs
prov:wasDerivedFrom
foaf:isPrimaryTopicOf
is dbo:wikiPageRedirects of
is dbo:wikiPageWikiLink of
is oa:hasTarget of
is foaf:primaryTopic of