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- William Edgar Borah (/ˈbɔːrə/) né le 29 juin 1865 et mort le 19 janvier 1940, un sénateur républicain des États-Unis, l'une des figures les plus connues de l'histoire de l'Idaho. Progressiste qui sert de 1907 jusqu'à sa mort en 1940, William Borah est souvent considéré comme un isolationniste, parce qu'il dirigé les Irréconciliables, des sénateurs qui ne veulent pas accepter le Traité de Versailles, dont la ratification par le Sénat aurait fait entrer les États-Unis dans la Société des Nations. William Borah naît dans la campagne de l'Illinois au sein d'une grande famille d'agriculteurs. Il étudie à l'université du Kansas et devient avocat dans cet État avant de chercher de meilleures opportunités dans l'Idaho. Il s'élève rapidement dans le droit et dans la politique de l'État, et après une course ratée à la Chambre des représentants en 1896 et une autre au Sénat des États-Unis en 1903, il est élu au Sénat en 1907. Avant de prendre son siège en décembre de cette année-là, il est impliqué dans deux affaires juridiques importantes. L'une, le procès pour conspiration de meurtre de Big Bill Haywood, rend William Borah célèbre bien que Big Bill Haywood ait été déclaré non coupable et l'autre, une poursuite de William Borah pour fraude foncière, le fait apparaître comme une victime de la malveillance politique avant même son acquittement. Au Sénat, William Borah devient l'un des insurgés progressistes qui contestent la politique du président William Howard Taft, bien que William ait refusé de soutenir l'offre de l'ancien président Theodore Roosevelt contre Taft en 1912. William Borah vote à contrecœur pour la guerre en 1917 et, une fois celle-ci terminée, il se bat contre le traité de Versailles, que le Sénat n'a pas ratifié. En tant que franc-tireur, William Borah se bat souvent avec les présidents républicains en fonction entre 1921 et 1933, bien que Calvin Coolidge ait proposé de faire de William Borah son colistier en 1924. William Borah fait campagne pour Herbert Hoover en 1928, ce qu'il fait rarement pour les candidats à la présidence et qu'il ne fait plus jamais. Privé de son poste de président de la Comité des affaires étrangères du Sénat lorsque les démocrates prenent le contrôle du Sénat en 1933, William Borah est d'accord avec une partie de la législation du New Deal, mais s'oppose à d'autres propositions. Il se présente à l'élection présidentielle républicaine en 1936, mais les habitués du parti ne sont pas enclins à laisser un franc-tireur de longue date prendre la tête du scrutin. Dans ses dernières années, il estime qu'il pourrait régler ses différends en Europe en rencontrant Hitler ; bien qu'il n'y soit pas allé, cela n'améliore pas sa réputation historique. William Borah meurt en 1940 ; sa statue, offerte par l'État de l'Idaho en 1947, se trouve dans la National Statuary Hall Collection. (fr)
- William Edgar Borah (/ˈbɔːrə/) né le 29 juin 1865 et mort le 19 janvier 1940, un sénateur républicain des États-Unis, l'une des figures les plus connues de l'histoire de l'Idaho. Progressiste qui sert de 1907 jusqu'à sa mort en 1940, William Borah est souvent considéré comme un isolationniste, parce qu'il dirigé les Irréconciliables, des sénateurs qui ne veulent pas accepter le Traité de Versailles, dont la ratification par le Sénat aurait fait entrer les États-Unis dans la Société des Nations. William Borah naît dans la campagne de l'Illinois au sein d'une grande famille d'agriculteurs. Il étudie à l'université du Kansas et devient avocat dans cet État avant de chercher de meilleures opportunités dans l'Idaho. Il s'élève rapidement dans le droit et dans la politique de l'État, et après une course ratée à la Chambre des représentants en 1896 et une autre au Sénat des États-Unis en 1903, il est élu au Sénat en 1907. Avant de prendre son siège en décembre de cette année-là, il est impliqué dans deux affaires juridiques importantes. L'une, le procès pour conspiration de meurtre de Big Bill Haywood, rend William Borah célèbre bien que Big Bill Haywood ait été déclaré non coupable et l'autre, une poursuite de William Borah pour fraude foncière, le fait apparaître comme une victime de la malveillance politique avant même son acquittement. Au Sénat, William Borah devient l'un des insurgés progressistes qui contestent la politique du président William Howard Taft, bien que William ait refusé de soutenir l'offre de l'ancien président Theodore Roosevelt contre Taft en 1912. William Borah vote à contrecœur pour la guerre en 1917 et, une fois celle-ci terminée, il se bat contre le traité de Versailles, que le Sénat n'a pas ratifié. En tant que franc-tireur, William Borah se bat souvent avec les présidents républicains en fonction entre 1921 et 1933, bien que Calvin Coolidge ait proposé de faire de William Borah son colistier en 1924. William Borah fait campagne pour Herbert Hoover en 1928, ce qu'il fait rarement pour les candidats à la présidence et qu'il ne fait plus jamais. Privé de son poste de président de la Comité des affaires étrangères du Sénat lorsque les démocrates prenent le contrôle du Sénat en 1933, William Borah est d'accord avec une partie de la législation du New Deal, mais s'oppose à d'autres propositions. Il se présente à l'élection présidentielle républicaine en 1936, mais les habitués du parti ne sont pas enclins à laisser un franc-tireur de longue date prendre la tête du scrutin. Dans ses dernières années, il estime qu'il pourrait régler ses différends en Europe en rencontrant Hitler ; bien qu'il n'y soit pas allé, cela n'améliore pas sa réputation historique. William Borah meurt en 1940 ; sa statue, offerte par l'État de l'Idaho en 1947, se trouve dans la National Statuary Hall Collection. (fr)
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- 1920.0
- When he returned to Washington for the lame-duck session of the Senate beginning in December, Borah pressed the passage of legislation that would help business and suggested that members of Congress turn back their salary to the Treasury. The economy continued to worsen in the winter of 1931, and Borah urged relief legislation, stating that opponents argued "that for the Government to feed this woman and her sick children would destroy her self respect and make a bad citizen of her. Does anyone believe it? It is a cowardly imputation on the helpless. I resent it and I repudiate it."
When Congress reconvened in December 1931, the Republicans nominally controlled the Senate by the tie-breaking vote of Vice President Charles Curtis, but, as Hoover later wrote, there was no real majority as Borah and other progressives were against the administration. After the Bonus Army marched on Washington, Borah and Hoover agreed that no action should be taken on their demands so long as the ex-soldiers remained in the capital. Borah considered their presence intimidating to Congress, but was angered when they were forcibly dispersed.
Borah considered challenging Hoover for renomination in 1932, but concluded the president's control over the party machinery, especially in the South, could not be overcome. Borah disagreed with the platform of the 1932 Republican National Convention over Prohibition; after the party passed a vague compromise plank and renominated Hoover, Borah made a major address on June 20, gaining nationwide attention by attacking his party's platform for forty minutes. Between then and November, he rarely mentioned Hoover's name publicly, though he said late in the campaign that he would vote for the president. He made speeches discussing issues, not candidates, and did nothing to aid Hoover's doomed campaign against Franklin D. Roosevelt. When some Idahoans demanded that he support Hoover on pain of being opposed for renomination for Senate in 1936, Borah responded that he regretted if his quarter century in the Senate had left them with the impression he might be moved by such an ultimatum.
The Democratic landslide that accompanied Roosevelt's election cost Borah his chairmanship of the Foreign Relations Committee, but much of his influence was independent of party. Borah liked Roosevelt for his liberalism and his energy. Due to illness, Borah took only a limited role in Roosevelt's Hundred Days, though he did play a key part in the passage of Glass–Steagall in June 1933, helping forge a compromise that ended the opponents' filibuster. He opposed Roosevelt's calling in of gold, alleging that the government had no power to tell individuals what to do with their money. Borah opposed the National Recovery Act and was gratified when it was struck down by the Supreme Court in 1935. Borah's fifteen-year fight for the recognition of the USSR ended in 1933 when Roosevelt opened diplomatic relations. (fr)
- Borah was determined to see that the Republican presidential candidate in 1920 was not pro-League. He supported his fellow Irreconcilable, California Senator Hiram Johnson, who had been Roosevelt's running mate in 1912. Borah alleged bribery on the part of the leading candidate for the Republican nomination, General Leonard Wood, and was snubbed when he demanded to know the League views of Wood's main rival, Illinois Governor Frank Lowden. When the 1920 Republican National Convention met in Chicago in June, delegates faced a deadlock both as to who should head the ticket, and as to the contents of the League plank of the party platform. The League fight was decided, with Borah's endorsement, by using language proposed by former Secretary of State Elihu Root supporting a league, rather than the League. The presidential stalemate was harder to resolve. A hater both of political intrigue and of tobacco, Borah played no part in the smoke-filled room discussions as the Republicans attempted to break the deadlock. He was initially unenthusiastic about the eventual nominee, Ohio Senator Warren G. Harding, his colleague on the Foreign Relations Committee, as he was disappointed at the failure of Johnson's candidacy and disliked Harding's vague stance on the League. Nevertheless, Borah strongly endorsed Harding and his running mate, Massachusetts Governor Calvin Coolidge, who were victorious. Borah later stated he would have left the Senate had Harding lost.
Borah proved as idiosyncratic as ever in his views with Harding as president. (fr)
- In 1922 and 1923, Borah spoke against passage of the Dyer Anti-Lynching Bill, which had passed the House. A strong supporter of state sovereignty, he believed that punishing state officials for failure to prevent lynchings was unconstitutional, and that if the states could not prevent such murders, federal legislation would do no good. The bill was defeated by filibuster in the Senate by Southern Democrats. When another bill was introduced in 1935 and 1938, Borah continued to speak against it, by that time saying that it was no longer needed, as the number of lynchings had dropped sharply. (fr)
- Borah hoped to be elected president in 1928, but his only chance was a deadlocked Republican convention. He was reluctant to support Secretary of Commerce Herbert Hoover for president, backing Ohio Senator Frank Willis instead, but after Willis collapsed and died at a campaign rally in late March, Borah began to find Hoover more to his liking. The Idahoan's support for Hoover became more solid as the campaign began to shape as a rural/urban divide. Borah was a strong backer of Prohibition, and the fact that Hoover was another "dry" influenced Borah in his support; the senator disliked the Democratic candidate, New York Governor Al Smith, an opponent of Prohibition, considering him a creature of Tammany Hall. Though Montana Senator Thomas J. Walsh commented on "Borah's recent conversion to Hoover", and some progressives were disheartened, Borah undertook a lengthy campaign tour, warning that he saw "the success of Tammany in national politics as nothing less than a national disaster". Hoover was elected and thanked Borah for "the enormous effect" of his support. He offered to make Borah Secretary of State, though deploring the loss to the Senate, but Borah declined. (fr)
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- William Edgar Borah (/ˈbɔːrə/) né le 29 juin 1865 et mort le 19 janvier 1940, un sénateur républicain des États-Unis, l'une des figures les plus connues de l'histoire de l'Idaho. Progressiste qui sert de 1907 jusqu'à sa mort en 1940, William Borah est souvent considéré comme un isolationniste, parce qu'il dirigé les Irréconciliables, des sénateurs qui ne veulent pas accepter le Traité de Versailles, dont la ratification par le Sénat aurait fait entrer les États-Unis dans la Société des Nations. (fr)
- William Edgar Borah (/ˈbɔːrə/) né le 29 juin 1865 et mort le 19 janvier 1940, un sénateur républicain des États-Unis, l'une des figures les plus connues de l'histoire de l'Idaho. Progressiste qui sert de 1907 jusqu'à sa mort en 1940, William Borah est souvent considéré comme un isolationniste, parce qu'il dirigé les Irréconciliables, des sénateurs qui ne veulent pas accepter le Traité de Versailles, dont la ratification par le Sénat aurait fait entrer les États-Unis dans la Société des Nations. (fr)
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