« Una voce poco fa » (litt. « J'ai entendu une voix ») est une cavatine issue de l'opéra Le Barbier de Séville (1816) de Gioachino Rossini, chantée lors de la deuxième apparition de la cantatrice (mezzo-soprano à l'origine, souvent soprano) tenant le rôle de Rosina, Rossini ayant l'audace de faire interrompre la chanteuse lorsqu'elle commence à chanter L'amorosa e sincera Rosina lors de sa première apparition, à un balcon, chose impensable envers une diva à l'époque.

Property Value
dbo:abstract
  • « Una voce poco fa » (litt. « J'ai entendu une voix ») est une cavatine issue de l'opéra Le Barbier de Séville (1816) de Gioachino Rossini, chantée lors de la deuxième apparition de la cantatrice (mezzo-soprano à l'origine, souvent soprano) tenant le rôle de Rosina, Rossini ayant l'audace de faire interrompre la chanteuse lorsqu'elle commence à chanter L'amorosa e sincera Rosina lors de sa première apparition, à un balcon, chose impensable envers une diva à l'époque. Cette aria est un chef-d'œuvre du bel canto, et un grand air de colorature. Créé par Geltrude Giorgi-Righetti en 1816, il est repris par les plus grandes cantatrices du monde depuis, de Maria Malibran et sa sœur Pauline Viardot à Adelina Patti et Nellie Melba au XIXe siècle, à Lily Pons, Maria Callas, Victoria de Los Angeles et surtout Teresa Berganza au siècle suivant, et plus récemment, Cecilia Bartoli, Diana Damrau ou encore Joyce DiDonato pour les plus fameuses. (fr)
  • « Una voce poco fa » (litt. « J'ai entendu une voix ») est une cavatine issue de l'opéra Le Barbier de Séville (1816) de Gioachino Rossini, chantée lors de la deuxième apparition de la cantatrice (mezzo-soprano à l'origine, souvent soprano) tenant le rôle de Rosina, Rossini ayant l'audace de faire interrompre la chanteuse lorsqu'elle commence à chanter L'amorosa e sincera Rosina lors de sa première apparition, à un balcon, chose impensable envers une diva à l'époque. Cette aria est un chef-d'œuvre du bel canto, et un grand air de colorature. Créé par Geltrude Giorgi-Righetti en 1816, il est repris par les plus grandes cantatrices du monde depuis, de Maria Malibran et sa sœur Pauline Viardot à Adelina Patti et Nellie Melba au XIXe siècle, à Lily Pons, Maria Callas, Victoria de Los Angeles et surtout Teresa Berganza au siècle suivant, et plus récemment, Cecilia Bartoli, Diana Damrau ou encore Joyce DiDonato pour les plus fameuses. (fr)
dbo:composer
dbo:genre
dbo:isPartOf
dbo:wikiPageID
  • 4692437 (xsd:integer)
dbo:wikiPageLength
  • 4949 (xsd:nonNegativeInteger)
dbo:wikiPageRevisionID
  • 180242739 (xsd:integer)
dbo:wikiPageWikiLink
prop-fr:wikiPageUsesTemplate
dct:subject
rdf:type
rdfs:comment
  • « Una voce poco fa » (litt. « J'ai entendu une voix ») est une cavatine issue de l'opéra Le Barbier de Séville (1816) de Gioachino Rossini, chantée lors de la deuxième apparition de la cantatrice (mezzo-soprano à l'origine, souvent soprano) tenant le rôle de Rosina, Rossini ayant l'audace de faire interrompre la chanteuse lorsqu'elle commence à chanter L'amorosa e sincera Rosina lors de sa première apparition, à un balcon, chose impensable envers une diva à l'époque. (fr)
  • « Una voce poco fa » (litt. « J'ai entendu une voix ») est une cavatine issue de l'opéra Le Barbier de Séville (1816) de Gioachino Rossini, chantée lors de la deuxième apparition de la cantatrice (mezzo-soprano à l'origine, souvent soprano) tenant le rôle de Rosina, Rossini ayant l'audace de faire interrompre la chanteuse lorsqu'elle commence à chanter L'amorosa e sincera Rosina lors de sa première apparition, à un balcon, chose impensable envers une diva à l'époque. (fr)
rdfs:label
  • Una voce poco fa (fr)
  • Una voce poco fa (fr)
owl:sameAs
prov:wasDerivedFrom
foaf:isPrimaryTopicOf
is dbo:wikiPageWikiLink of
is oa:hasTarget of
is foaf:primaryTopic of