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- Dans le cadre théorique de l'octoéchos, le troisième mode du chant grégorien est caractérisé par une finale en mi (mode Deutérus), qui ne sert que de point d'appui à la mélodie, et une teneur psalmodique à la sixte sur le do (mode authente). Le troisième mode est traditionnellement qualifié de « Mysticus », c’est-à-dire mystique ou contemplatif. La teneur à la sixte est une anomalie. Elle était primitivement sur le si (à la quinte), mais ces teneurs surmontées d'un demi-ton (mode de type « mi ») sont instables, et l'évolution historique des pièces les a fait migrer au demi-ton supérieur (mode de type « do »). L'antiphonaire monastique de Solesmes a introduit la distinction entre « deuterus authenticus » (mi-si), qui reflète l'ambiance modale des pièces n'ayant pas subi cette montée au Do, et un « tonus recentior » (mi-do), qui correspond à la psalmodie classique. Les ambiances modales des troisième et quatrième modes, qui ne s'apparente ni au « majeur » ni au « mineur », désorientent particulièrement les oreilles modernes. (fr)
- Dans le cadre théorique de l'octoéchos, le troisième mode du chant grégorien est caractérisé par une finale en mi (mode Deutérus), qui ne sert que de point d'appui à la mélodie, et une teneur psalmodique à la sixte sur le do (mode authente). Le troisième mode est traditionnellement qualifié de « Mysticus », c’est-à-dire mystique ou contemplatif. La teneur à la sixte est une anomalie. Elle était primitivement sur le si (à la quinte), mais ces teneurs surmontées d'un demi-ton (mode de type « mi ») sont instables, et l'évolution historique des pièces les a fait migrer au demi-ton supérieur (mode de type « do »). L'antiphonaire monastique de Solesmes a introduit la distinction entre « deuterus authenticus » (mi-si), qui reflète l'ambiance modale des pièces n'ayant pas subi cette montée au Do, et un « tonus recentior » (mi-do), qui correspond à la psalmodie classique. Les ambiances modales des troisième et quatrième modes, qui ne s'apparente ni au « majeur » ni au « mineur », désorientent particulièrement les oreilles modernes. (fr)
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- Dans le cadre théorique de l'octoéchos, le troisième mode du chant grégorien est caractérisé par une finale en mi (mode Deutérus), qui ne sert que de point d'appui à la mélodie, et une teneur psalmodique à la sixte sur le do (mode authente). Le troisième mode est traditionnellement qualifié de « Mysticus », c’est-à-dire mystique ou contemplatif. Les ambiances modales des troisième et quatrième modes, qui ne s'apparente ni au « majeur » ni au « mineur », désorientent particulièrement les oreilles modernes. (fr)
- Dans le cadre théorique de l'octoéchos, le troisième mode du chant grégorien est caractérisé par une finale en mi (mode Deutérus), qui ne sert que de point d'appui à la mélodie, et une teneur psalmodique à la sixte sur le do (mode authente). Le troisième mode est traditionnellement qualifié de « Mysticus », c’est-à-dire mystique ou contemplatif. Les ambiances modales des troisième et quatrième modes, qui ne s'apparente ni au « majeur » ni au « mineur », désorientent particulièrement les oreilles modernes. (fr)
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- Troisième mode (fr)
- Troisième mode (fr)
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