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- La 3e circonscription du Haut-Rhin est constituée de cinq cantons :
* Canton d'Altkirch
* Canton de Dannemarie
* Canton de Ferrette
* Canton de Hirsingue
* Canton de Huningue Ancienne possession de la famille impériale Habsbourg jusqu'en 1648, le Sundgau est resté très largement catholique ; les cantons vosgiens de Masevaux et Saint-Amarin sont aussi tout aussi majoritairement catholiques. La ville de Thann, plus industrielle, reste elle aussi de tradition catholique. La part des populations protestantes dans la circonscription est l'une des plus faibles d'Alsace, ceci étant la conséquence logique du principe "cujus regio ejus religio" appliquée en Alsace après 1555, qui favorisa le catholicisme dans cette partie de la région. La pratique catholique y est d'ailleurs très élevée. À l'exception d'une partie importante des communes du canton de Dannemarie (Chavannes s/l'Etang, Montreux-Vieux), la circonscription est historiquement quasi exclusivement dialectophone et germanophone. Le niveau de pratique de l'Alsacien reste aujourd'hui plus élevé que dans le reste du Haut-Rhin, et cela aussi bien dans le Sundgau que dans les cantons vosgiens. La pratique usuelle du Français ne s'est réellement répandue qu'à partir des années 1950-1960, et cela très progressivement. Le dialecte alsacien prend dans le Sundgau, notamment à Ferrette, une forme assez particulière, proche du "Schwizerdütsch" voisin, . (fr)
- La 3e circonscription du Haut-Rhin est constituée de cinq cantons :
* Canton d'Altkirch
* Canton de Dannemarie
* Canton de Ferrette
* Canton de Hirsingue
* Canton de Huningue Ancienne possession de la famille impériale Habsbourg jusqu'en 1648, le Sundgau est resté très largement catholique ; les cantons vosgiens de Masevaux et Saint-Amarin sont aussi tout aussi majoritairement catholiques. La ville de Thann, plus industrielle, reste elle aussi de tradition catholique. La part des populations protestantes dans la circonscription est l'une des plus faibles d'Alsace, ceci étant la conséquence logique du principe "cujus regio ejus religio" appliquée en Alsace après 1555, qui favorisa le catholicisme dans cette partie de la région. La pratique catholique y est d'ailleurs très élevée. À l'exception d'une partie importante des communes du canton de Dannemarie (Chavannes s/l'Etang, Montreux-Vieux), la circonscription est historiquement quasi exclusivement dialectophone et germanophone. Le niveau de pratique de l'Alsacien reste aujourd'hui plus élevé que dans le reste du Haut-Rhin, et cela aussi bien dans le Sundgau que dans les cantons vosgiens. La pratique usuelle du Français ne s'est réellement répandue qu'à partir des années 1950-1960, et cela très progressivement. Le dialecte alsacien prend dans le Sundgau, notamment à Ferrette, une forme assez particulière, proche du "Schwizerdütsch" voisin, . (fr)
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- La 3e circonscription du Haut-Rhin est constituée de cinq cantons :
* Canton d'Altkirch
* Canton de Dannemarie
* Canton de Ferrette
* Canton de Hirsingue
* Canton de Huningue Ancienne possession de la famille impériale Habsbourg jusqu'en 1648, le Sundgau est resté très largement catholique ; les cantons vosgiens de Masevaux et Saint-Amarin sont aussi tout aussi majoritairement catholiques. La ville de Thann, plus industrielle, reste elle aussi de tradition catholique. La part des populations protestantes dans la circonscription est l'une des plus faibles d'Alsace, ceci étant la conséquence logique du principe "cujus regio ejus religio" appliquée en Alsace après 1555, qui favorisa le catholicisme dans cette partie de la région. La pratique catholique y est d'ailleurs très élevée. (fr)
- La 3e circonscription du Haut-Rhin est constituée de cinq cantons :
* Canton d'Altkirch
* Canton de Dannemarie
* Canton de Ferrette
* Canton de Hirsingue
* Canton de Huningue Ancienne possession de la famille impériale Habsbourg jusqu'en 1648, le Sundgau est resté très largement catholique ; les cantons vosgiens de Masevaux et Saint-Amarin sont aussi tout aussi majoritairement catholiques. La ville de Thann, plus industrielle, reste elle aussi de tradition catholique. La part des populations protestantes dans la circonscription est l'une des plus faibles d'Alsace, ceci étant la conséquence logique du principe "cujus regio ejus religio" appliquée en Alsace après 1555, qui favorisa le catholicisme dans cette partie de la région. La pratique catholique y est d'ailleurs très élevée. (fr)
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