L’hypothèse de l’ADN immortel (Immortal DNA strand hypothesis) a été émise en 1975 par et stipule que durant la mitose (c'est-à-dire division cellulaire), les cellules souches adultes co-ségrégent les brins parentaux (matrices) de leur ADN[1]. En conséquence une des cellules filles, celle dont le destin est de rester souche, hérite de tous les brins parentaux, alors que l’autre cellule, dont le destin cellulaire est de se différencier (c'est-à-dire arrêter la mitose et de se spécialiser dans certaines fonctions), hérite des brins néosynthétisés.

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  • L’hypothèse de l’ADN immortel (Immortal DNA strand hypothesis) a été émise en 1975 par et stipule que durant la mitose (c'est-à-dire division cellulaire), les cellules souches adultes co-ségrégent les brins parentaux (matrices) de leur ADN[1]. En conséquence une des cellules filles, celle dont le destin est de rester souche, hérite de tous les brins parentaux, alors que l’autre cellule, dont le destin cellulaire est de se différencier (c'est-à-dire arrêter la mitose et de se spécialiser dans certaines fonctions), hérite des brins néosynthétisés. L’une des conséquences de ce phénomène est que la cellule souche ainsi se protège des mutations qui peuvent résulter d’erreurs lors de la réplication de l’ADN et ainsi diminuer les risques de troubles génétiques tels que les cancers. Bien qu’il existe des preuves expérimentales arguant en faveur de ce mécanisme, il n’est à ce jour toujours pas démontré que le phénomène ait lieu in vivo. (fr)
  • L’hypothèse de l’ADN immortel (Immortal DNA strand hypothesis) a été émise en 1975 par et stipule que durant la mitose (c'est-à-dire division cellulaire), les cellules souches adultes co-ségrégent les brins parentaux (matrices) de leur ADN[1]. En conséquence une des cellules filles, celle dont le destin est de rester souche, hérite de tous les brins parentaux, alors que l’autre cellule, dont le destin cellulaire est de se différencier (c'est-à-dire arrêter la mitose et de se spécialiser dans certaines fonctions), hérite des brins néosynthétisés. L’une des conséquences de ce phénomène est que la cellule souche ainsi se protège des mutations qui peuvent résulter d’erreurs lors de la réplication de l’ADN et ainsi diminuer les risques de troubles génétiques tels que les cancers. Bien qu’il existe des preuves expérimentales arguant en faveur de ce mécanisme, il n’est à ce jour toujours pas démontré que le phénomène ait lieu in vivo. (fr)
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  • L’hypothèse de l’ADN immortel (Immortal DNA strand hypothesis) a été émise en 1975 par et stipule que durant la mitose (c'est-à-dire division cellulaire), les cellules souches adultes co-ségrégent les brins parentaux (matrices) de leur ADN[1]. En conséquence une des cellules filles, celle dont le destin est de rester souche, hérite de tous les brins parentaux, alors que l’autre cellule, dont le destin cellulaire est de se différencier (c'est-à-dire arrêter la mitose et de se spécialiser dans certaines fonctions), hérite des brins néosynthétisés. (fr)
  • L’hypothèse de l’ADN immortel (Immortal DNA strand hypothesis) a été émise en 1975 par et stipule que durant la mitose (c'est-à-dire division cellulaire), les cellules souches adultes co-ségrégent les brins parentaux (matrices) de leur ADN[1]. En conséquence une des cellules filles, celle dont le destin est de rester souche, hérite de tous les brins parentaux, alors que l’autre cellule, dont le destin cellulaire est de se différencier (c'est-à-dire arrêter la mitose et de se spécialiser dans certaines fonctions), hérite des brins néosynthétisés. (fr)
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  • Théorie de l'ADN immortel (fr)
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