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- La « théorie de la double action des rayonnements » (ou TDRA pour « Theory of dual radiation action ») est le nom de l’un des modèles théoriques développés pour expliquer qualitativement mais surtout quantitativement l’importance des dommages cellulaires entrainant une mutation génétique ou l’inactivation de cellules à la suite de leur exposition à différents types de radiations. À la croisée de la biologie et de la physique nucléaire, dans le domaine de la radiobiologie et de la microdosimétrie, cette théorie postule que la cause première, fondamentale et commune des effets des rayonnements sur la cellule est la production de lésions élémentaires qui se déroule à un taux proportionnel au carré de la quantité d'énergie concentrée sur le « site » intracellulaire concerné (ADN ou lieux du processus de réparation de l’ADN ou de ses fonctions). Les micro-lésions évoquées par littérature scientifique, concernent principalement l'ADN chromosomique, c'est-à-dire le patrimoine génétique dit « nucléaire » (c'est-à-dire contenu dans le noyau de la cellule, sous forme d’ADN), mais elles peuvent aussi concerner le génome mitochondrial et, chez les plantes, le génome chloroplastique). (fr)
- La « théorie de la double action des rayonnements » (ou TDRA pour « Theory of dual radiation action ») est le nom de l’un des modèles théoriques développés pour expliquer qualitativement mais surtout quantitativement l’importance des dommages cellulaires entrainant une mutation génétique ou l’inactivation de cellules à la suite de leur exposition à différents types de radiations. À la croisée de la biologie et de la physique nucléaire, dans le domaine de la radiobiologie et de la microdosimétrie, cette théorie postule que la cause première, fondamentale et commune des effets des rayonnements sur la cellule est la production de lésions élémentaires qui se déroule à un taux proportionnel au carré de la quantité d'énergie concentrée sur le « site » intracellulaire concerné (ADN ou lieux du processus de réparation de l’ADN ou de ses fonctions). Les micro-lésions évoquées par littérature scientifique, concernent principalement l'ADN chromosomique, c'est-à-dire le patrimoine génétique dit « nucléaire » (c'est-à-dire contenu dans le noyau de la cellule, sous forme d’ADN), mais elles peuvent aussi concerner le génome mitochondrial et, chez les plantes, le génome chloroplastique). (fr)
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