La spina helicis ou épine de l'hélice est une saillie située à la partie antérieure de l'hélice du pavillon de l'oreille sur laquelle s'insère le ligament auriculaire. Elle forme avec le tubercule de Darwin (saillie à la partie supéro-postérieure de l'hélice) des structures vestigiales qui rappellent l'atavisme de mammifère chez l'homme. La plupart des mammifères possèdent trois muscles auriculaires qui impriment au pavillon de l'oreille des mouvements volontaires plus ou moins étendus, leur permettant de mieux entendre les bruits propres à les avertir de l'approche de leur proie ou de leur prédateur. Chez l'homme, ces muscles ont conservé leurs insertions (notamment celle de l'épine de l'hélice) et leurs connexions, mais ont cessé d'être fonctionnels. Cependant quelques individus peuvent

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  • La spina helicis ou épine de l'hélice est une saillie située à la partie antérieure de l'hélice du pavillon de l'oreille sur laquelle s'insère le ligament auriculaire. Elle forme avec le tubercule de Darwin (saillie à la partie supéro-postérieure de l'hélice) des structures vestigiales qui rappellent l'atavisme de mammifère chez l'homme. La plupart des mammifères possèdent trois muscles auriculaires qui impriment au pavillon de l'oreille des mouvements volontaires plus ou moins étendus, leur permettant de mieux entendre les bruits propres à les avertir de l'approche de leur proie ou de leur prédateur. Chez l'homme, ces muscles ont conservé leurs insertions (notamment celle de l'épine de l'hélice) et leurs connexions, mais ont cessé d'être fonctionnels. Cependant quelques individus peuvent parvenir à contracter les muscles auriculaires non rudimentaires. (fr)
  • La spina helicis ou épine de l'hélice est une saillie située à la partie antérieure de l'hélice du pavillon de l'oreille sur laquelle s'insère le ligament auriculaire. Elle forme avec le tubercule de Darwin (saillie à la partie supéro-postérieure de l'hélice) des structures vestigiales qui rappellent l'atavisme de mammifère chez l'homme. La plupart des mammifères possèdent trois muscles auriculaires qui impriment au pavillon de l'oreille des mouvements volontaires plus ou moins étendus, leur permettant de mieux entendre les bruits propres à les avertir de l'approche de leur proie ou de leur prédateur. Chez l'homme, ces muscles ont conservé leurs insertions (notamment celle de l'épine de l'hélice) et leurs connexions, mais ont cessé d'être fonctionnels. Cependant quelques individus peuvent parvenir à contracter les muscles auriculaires non rudimentaires. (fr)
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  • Surface du crâne du cartilage de l'oreille droite. (fr)
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  • épine de l'hélice (fr)
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  • La spina helicis ou épine de l'hélice est une saillie située à la partie antérieure de l'hélice du pavillon de l'oreille sur laquelle s'insère le ligament auriculaire. Elle forme avec le tubercule de Darwin (saillie à la partie supéro-postérieure de l'hélice) des structures vestigiales qui rappellent l'atavisme de mammifère chez l'homme. La plupart des mammifères possèdent trois muscles auriculaires qui impriment au pavillon de l'oreille des mouvements volontaires plus ou moins étendus, leur permettant de mieux entendre les bruits propres à les avertir de l'approche de leur proie ou de leur prédateur. Chez l'homme, ces muscles ont conservé leurs insertions (notamment celle de l'épine de l'hélice) et leurs connexions, mais ont cessé d'être fonctionnels. Cependant quelques individus peuvent (fr)
  • La spina helicis ou épine de l'hélice est une saillie située à la partie antérieure de l'hélice du pavillon de l'oreille sur laquelle s'insère le ligament auriculaire. Elle forme avec le tubercule de Darwin (saillie à la partie supéro-postérieure de l'hélice) des structures vestigiales qui rappellent l'atavisme de mammifère chez l'homme. La plupart des mammifères possèdent trois muscles auriculaires qui impriment au pavillon de l'oreille des mouvements volontaires plus ou moins étendus, leur permettant de mieux entendre les bruits propres à les avertir de l'approche de leur proie ou de leur prédateur. Chez l'homme, ces muscles ont conservé leurs insertions (notamment celle de l'épine de l'hélice) et leurs connexions, mais ont cessé d'être fonctionnels. Cependant quelques individus peuvent (fr)
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  • Spina helicis (en)
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