dbo:abstract
|
- South Stream /saʊθ stɹiːm/ (litt. « Flux du Sud » en anglais) était un projet de gazoduc paneuropéen qui, dès 2015, devait relier la Russie à l'Europe occidentale. Ce gazoduc devait avoir une capacité de 63 milliards de mètres cubes de gaz par an, qui devait être acheminé sous la mer Noire vers la Bulgarie, puis la Serbie, l'Italie et l'Autriche. Son coût était estimé à 25 milliards d'euros. Le 6 août 2009, la Turquie avait donné son feu vert à la pose du gazoduc dans ses eaux territoriales. Le projet aurait permis à Gazprom de contourner l'Ukraine comme pays de transit, source de plusieurs conflits ayant provoqué des coupures d'approvisionnement de l'Europe. South Stream aurait permis aussi de contrôler une grande partie des livraisons du gaz en provenance des gisements gaziers de la mer Caspienne et du Kazakhstan, concurrençant directement le gazoduc alternatif Nabucco, soutenu par les États-Unis et l'Union européenne, mais sans participation de Gazprom. Début décembre 2014, Gazprom annonce l'abandon du projet. Il est remplacé par le projet Turkish Stream allant de la Russie à la Turquie à travers la Mer noire, comme annoncé par le président russe Vladimir Poutine le 1er décembre 2014, durant une visite en Turquie. Le nom de ce projet n'est pas officiel car n'ayant pas encore été baptisé. Le Tesla Pipeline relierait la Grèce, la Serbie, la Hongrie, l'ancienne république yougoslave de Macédoine au Turkish Stream. Les pays d'Europe du Sud ont signé un mémorandum sur la construction du gazoduc qui devrait relier le Turkish Stream avec l'Autriche. (fr)
- South Stream /saʊθ stɹiːm/ (litt. « Flux du Sud » en anglais) était un projet de gazoduc paneuropéen qui, dès 2015, devait relier la Russie à l'Europe occidentale. Ce gazoduc devait avoir une capacité de 63 milliards de mètres cubes de gaz par an, qui devait être acheminé sous la mer Noire vers la Bulgarie, puis la Serbie, l'Italie et l'Autriche. Son coût était estimé à 25 milliards d'euros. Le 6 août 2009, la Turquie avait donné son feu vert à la pose du gazoduc dans ses eaux territoriales. Le projet aurait permis à Gazprom de contourner l'Ukraine comme pays de transit, source de plusieurs conflits ayant provoqué des coupures d'approvisionnement de l'Europe. South Stream aurait permis aussi de contrôler une grande partie des livraisons du gaz en provenance des gisements gaziers de la mer Caspienne et du Kazakhstan, concurrençant directement le gazoduc alternatif Nabucco, soutenu par les États-Unis et l'Union européenne, mais sans participation de Gazprom. Début décembre 2014, Gazprom annonce l'abandon du projet. Il est remplacé par le projet Turkish Stream allant de la Russie à la Turquie à travers la Mer noire, comme annoncé par le président russe Vladimir Poutine le 1er décembre 2014, durant une visite en Turquie. Le nom de ce projet n'est pas officiel car n'ayant pas encore été baptisé. Le Tesla Pipeline relierait la Grèce, la Serbie, la Hongrie, l'ancienne république yougoslave de Macédoine au Turkish Stream. Les pays d'Europe du Sud ont signé un mémorandum sur la construction du gazoduc qui devrait relier le Turkish Stream avec l'Autriche. (fr)
|
rdfs:comment
|
- South Stream /saʊθ stɹiːm/ (litt. « Flux du Sud » en anglais) était un projet de gazoduc paneuropéen qui, dès 2015, devait relier la Russie à l'Europe occidentale. Ce gazoduc devait avoir une capacité de 63 milliards de mètres cubes de gaz par an, qui devait être acheminé sous la mer Noire vers la Bulgarie, puis la Serbie, l'Italie et l'Autriche. Son coût était estimé à 25 milliards d'euros. Le 6 août 2009, la Turquie avait donné son feu vert à la pose du gazoduc dans ses eaux territoriales. (fr)
- South Stream /saʊθ stɹiːm/ (litt. « Flux du Sud » en anglais) était un projet de gazoduc paneuropéen qui, dès 2015, devait relier la Russie à l'Europe occidentale. Ce gazoduc devait avoir une capacité de 63 milliards de mètres cubes de gaz par an, qui devait être acheminé sous la mer Noire vers la Bulgarie, puis la Serbie, l'Italie et l'Autriche. Son coût était estimé à 25 milliards d'euros. Le 6 août 2009, la Turquie avait donné son feu vert à la pose du gazoduc dans ses eaux territoriales. (fr)
|