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- Sheng nu (剩女; shèngnǚ, lit. « filles qui restent ») est un terme péjoratif rendu populaire par la Fédération nationale des femmes de Chine pour désigner les femmes qui ne sont toujours pas mariées à la fin de la vingtaine et au-delà. Le terme, uniquement utilisé en Chine, est né d'une directive et d'un programme controversés de l'État mais est encore utilisé pour désigner familièrement les femmes d'autres pays asiatiques, ou d'Inde, ou d'Amérique du Nord. Il est devenu très présent dans les médias grand public et a fait l’objet de plusieurs séries télévisées, articles de magazines et de journaux et publications de livres, qui mettent l’accent sur les connotations négatives et la récupération positive du terme. Xu Xiaomin du China Daily décrit les sheng nu comme « une force sociale à prendre en compte » et d’autres font valoir que le terme devrait être considéré comme positif pour désigner les « femmes qui réussissent ». L'argot 3S ou femmes 3S, signifiant « célibataires, années 1970 et coincée » (« single, seventies, stuck ») a également été utilisé à la place de sheng nu. L'équivalent pour les hommes, guang gun (光棍, « branches nues »), est utilisé pour désigner les hommes qui ne se marient pas et n’ajoutent donc pas de « branches » à l'arbre généalogique. De la même manière, sheng nan (剩男, « hommes qui restent ») est aussi utilisé. (fr)
- Sheng nu (剩女; shèngnǚ, lit. « filles qui restent ») est un terme péjoratif rendu populaire par la Fédération nationale des femmes de Chine pour désigner les femmes qui ne sont toujours pas mariées à la fin de la vingtaine et au-delà. Le terme, uniquement utilisé en Chine, est né d'une directive et d'un programme controversés de l'État mais est encore utilisé pour désigner familièrement les femmes d'autres pays asiatiques, ou d'Inde, ou d'Amérique du Nord. Il est devenu très présent dans les médias grand public et a fait l’objet de plusieurs séries télévisées, articles de magazines et de journaux et publications de livres, qui mettent l’accent sur les connotations négatives et la récupération positive du terme. Xu Xiaomin du China Daily décrit les sheng nu comme « une force sociale à prendre en compte » et d’autres font valoir que le terme devrait être considéré comme positif pour désigner les « femmes qui réussissent ». L'argot 3S ou femmes 3S, signifiant « célibataires, années 1970 et coincée » (« single, seventies, stuck ») a également été utilisé à la place de sheng nu. L'équivalent pour les hommes, guang gun (光棍, « branches nues »), est utilisé pour désigner les hommes qui ne se marient pas et n’ajoutent donc pas de « branches » à l'arbre généalogique. De la même manière, sheng nan (剩男, « hommes qui restent ») est aussi utilisé. (fr)
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- Sheng nu (剩女; shèngnǚ, lit. « filles qui restent ») est un terme péjoratif rendu populaire par la Fédération nationale des femmes de Chine pour désigner les femmes qui ne sont toujours pas mariées à la fin de la vingtaine et au-delà. Le terme, uniquement utilisé en Chine, est né d'une directive et d'un programme controversés de l'État mais est encore utilisé pour désigner familièrement les femmes d'autres pays asiatiques, ou d'Inde, ou d'Amérique du Nord. Il est devenu très présent dans les médias grand public et a fait l’objet de plusieurs séries télévisées, articles de magazines et de journaux et publications de livres, qui mettent l’accent sur les connotations négatives et la récupération positive du terme. Xu Xiaomin du China Daily décrit les sheng nu comme « une force sociale à prendr (fr)
- Sheng nu (剩女; shèngnǚ, lit. « filles qui restent ») est un terme péjoratif rendu populaire par la Fédération nationale des femmes de Chine pour désigner les femmes qui ne sont toujours pas mariées à la fin de la vingtaine et au-delà. Le terme, uniquement utilisé en Chine, est né d'une directive et d'un programme controversés de l'État mais est encore utilisé pour désigner familièrement les femmes d'autres pays asiatiques, ou d'Inde, ou d'Amérique du Nord. Il est devenu très présent dans les médias grand public et a fait l’objet de plusieurs séries télévisées, articles de magazines et de journaux et publications de livres, qui mettent l’accent sur les connotations négatives et la récupération positive du terme. Xu Xiaomin du China Daily décrit les sheng nu comme « une force sociale à prendr (fr)
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