Sextus Empiricus (en grec ancien : Σέξτος Ἐμπειρικός) est un philosophe sceptique et médecin de l'école de médecine antique dite « empirique », qui fut actif à la fin du IIe siècle. Il écrivait en grec, mais nous ne savons ni où il naquit (peut-être à Mytilène) ni où il fut professeur, et ignorons donc pratiquement tout de sa vie ; paradoxalement, nous avons de lui une importante quantité de textes philosophiques bien conservés (dont le contenu autobiographique est quasi nul), ce qui fait de lui sans équivoque le principal auteur sceptique de l'antiquité, ainsi qu'une source majeure sur les philosophes plus anciens que lui dont les œuvres ne nous sont pas parvenues. Selon Diogène Laërce, il fut chef de l'école sceptique en succédant à Ménodote de Nicomédie et son successeur fut Saturninus

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  • Sextus Empiricus (en grec ancien : Σέξτος Ἐμπειρικός) est un philosophe sceptique et médecin de l'école de médecine antique dite « empirique », qui fut actif à la fin du IIe siècle. Il écrivait en grec, mais nous ne savons ni où il naquit (peut-être à Mytilène) ni où il fut professeur, et ignorons donc pratiquement tout de sa vie ; paradoxalement, nous avons de lui une importante quantité de textes philosophiques bien conservés (dont le contenu autobiographique est quasi nul), ce qui fait de lui sans équivoque le principal auteur sceptique de l'antiquité, ainsi qu'une source majeure sur les philosophes plus anciens que lui dont les œuvres ne nous sont pas parvenues. Selon Diogène Laërce, il fut chef de l'école sceptique en succédant à Ménodote de Nicomédie et son successeur fut Saturninus (mais ce dernier n'est mentionné par aucune autre source). (fr)
  • Sextus Empiricus (en grec ancien : Σέξτος Ἐμπειρικός) est un philosophe sceptique et médecin de l'école de médecine antique dite « empirique », qui fut actif à la fin du IIe siècle. Il écrivait en grec, mais nous ne savons ni où il naquit (peut-être à Mytilène) ni où il fut professeur, et ignorons donc pratiquement tout de sa vie ; paradoxalement, nous avons de lui une importante quantité de textes philosophiques bien conservés (dont le contenu autobiographique est quasi nul), ce qui fait de lui sans équivoque le principal auteur sceptique de l'antiquité, ainsi qu'une source majeure sur les philosophes plus anciens que lui dont les œuvres ne nous sont pas parvenues. Selon Diogène Laërce, il fut chef de l'école sceptique en succédant à Ménodote de Nicomédie et son successeur fut Saturninus (mais ce dernier n'est mentionné par aucune autre source). (fr)
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  • Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres (fr)
  • Revue des Études Grecques (fr)
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  • Hildesheim, Gerstenberg Verlag (fr)
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  • Médecine et philosophie : sur la date de Sextus Empiricus et celle de Diogène Laërce à la lumière du Corpus galénique (fr)
  • Contre les professeurs (fr)
  • Studien Zu Sextus Empiricus (fr)
  • Scepticisme et rhétorique, de Pyrrhon à Sextus Empiricus (fr)
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  • Sextus Empiricus (en grec ancien : Σέξτος Ἐμπειρικός) est un philosophe sceptique et médecin de l'école de médecine antique dite « empirique », qui fut actif à la fin du IIe siècle. Il écrivait en grec, mais nous ne savons ni où il naquit (peut-être à Mytilène) ni où il fut professeur, et ignorons donc pratiquement tout de sa vie ; paradoxalement, nous avons de lui une importante quantité de textes philosophiques bien conservés (dont le contenu autobiographique est quasi nul), ce qui fait de lui sans équivoque le principal auteur sceptique de l'antiquité, ainsi qu'une source majeure sur les philosophes plus anciens que lui dont les œuvres ne nous sont pas parvenues. Selon Diogène Laërce, il fut chef de l'école sceptique en succédant à Ménodote de Nicomédie et son successeur fut Saturninus (fr)
  • Sextus Empiricus (en grec ancien : Σέξτος Ἐμπειρικός) est un philosophe sceptique et médecin de l'école de médecine antique dite « empirique », qui fut actif à la fin du IIe siècle. Il écrivait en grec, mais nous ne savons ni où il naquit (peut-être à Mytilène) ni où il fut professeur, et ignorons donc pratiquement tout de sa vie ; paradoxalement, nous avons de lui une importante quantité de textes philosophiques bien conservés (dont le contenu autobiographique est quasi nul), ce qui fait de lui sans équivoque le principal auteur sceptique de l'antiquité, ainsi qu'une source majeure sur les philosophes plus anciens que lui dont les œuvres ne nous sont pas parvenues. Selon Diogène Laërce, il fut chef de l'école sceptique en succédant à Ménodote de Nicomédie et son successeur fut Saturninus (fr)
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