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- Senois serait, selon une opinion controversée entre les héraldistes, un émail ; ancien et rare en tous cas, ce qui n'est pas contesté. En 1955, l'ambassadeur et héraldiste Hugh Stanford London déchiffre, dans un manuscrit, un mot dont il pense qu'il se lit senois, parce qu'il met ses diverses hypothèses sur la lecture du manuscrit en relation avec la ville de Sienne qui donne son nom, deux où trois siècles plus tard, à un pigment brun. Il rédige une note d'une page. S'ensuivent diverses discussions dans le milieu héraldique. En 1977, Galbreath le cite dans son Manuel du blason comme un synonyme de orange et de tanné, en 1979, Michel Pastoureau cite cet émail dans son Traité d'héraldique. Pour ses contradicteurs, le terme senois, de lecture et de sens incertains et absent des traités classique d'héraldique, n'a une existence qu'accidentelle, et ne fait pas partie du corps des émaux héraldiques, particulièrement à une époque reculée, où l'on y reconnaissait que quatre émaux et deux métaux. La couleur n'est pas plus assurée. Il s'agirait d'un brun-rouge, qui aurait servi dans des blasonnements, pour certains en Angleterre ou en Allemagne (où les hérauts parlaient aussi français) au XIVe siècle ou au XVe siècle, pour d'autres en France au XIVe siècle pour émailler certains détails animaliers telles que les griffes et la langue[source insuffisante]. Les couleurs héraldiques formant un code, il est nécessaire que l'émail soit à la fois défini de façon assez large et soit assez différent de tous les autres émaux reconnus pour pouvoir être reconnu à coup sûr d'après le blason. (fr)
- Senois serait, selon une opinion controversée entre les héraldistes, un émail ; ancien et rare en tous cas, ce qui n'est pas contesté. En 1955, l'ambassadeur et héraldiste Hugh Stanford London déchiffre, dans un manuscrit, un mot dont il pense qu'il se lit senois, parce qu'il met ses diverses hypothèses sur la lecture du manuscrit en relation avec la ville de Sienne qui donne son nom, deux où trois siècles plus tard, à un pigment brun. Il rédige une note d'une page. S'ensuivent diverses discussions dans le milieu héraldique. En 1977, Galbreath le cite dans son Manuel du blason comme un synonyme de orange et de tanné, en 1979, Michel Pastoureau cite cet émail dans son Traité d'héraldique. Pour ses contradicteurs, le terme senois, de lecture et de sens incertains et absent des traités classique d'héraldique, n'a une existence qu'accidentelle, et ne fait pas partie du corps des émaux héraldiques, particulièrement à une époque reculée, où l'on y reconnaissait que quatre émaux et deux métaux. La couleur n'est pas plus assurée. Il s'agirait d'un brun-rouge, qui aurait servi dans des blasonnements, pour certains en Angleterre ou en Allemagne (où les hérauts parlaient aussi français) au XIVe siècle ou au XVe siècle, pour d'autres en France au XIVe siècle pour émailler certains détails animaliers telles que les griffes et la langue[source insuffisante]. Les couleurs héraldiques formant un code, il est nécessaire que l'émail soit à la fois défini de façon assez large et soit assez différent de tous les autres émaux reconnus pour pouvoir être reconnu à coup sûr d'après le blason. (fr)
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- auteur (fr)
- auteur nouvelle édition (fr)
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- L’archéologie des mots (fr)
- revu et complété par les travaux du domaine publiés de 1979 à 1992 (fr)
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- Glossaire historique et héraldique (fr)
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- Traité d’héraldique (fr)
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- Senois serait, selon une opinion controversée entre les héraldistes, un émail ; ancien et rare en tous cas, ce qui n'est pas contesté. En 1955, l'ambassadeur et héraldiste Hugh Stanford London déchiffre, dans un manuscrit, un mot dont il pense qu'il se lit senois, parce qu'il met ses diverses hypothèses sur la lecture du manuscrit en relation avec la ville de Sienne qui donne son nom, deux où trois siècles plus tard, à un pigment brun. Il rédige une note d'une page. (fr)
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