prop-fr:résumé
|
- Mark McAndrews, le directeur de la chaîne de télévision CNC à Los Angeles est promu à New York. Kay Freestone, son assistante de post-production qui est aussi sa maîtresse, pense mériter une promotion à la hauteur de son ambition, elle attend qu'il lui lègue sa place. Mark considère qu'elle n'a pas le profil pour ce poste, et refuse de la promouvoir, pensant apaiser sa colère en lui achetant une voiture neuve. Dans les bureaux, un soir, elle organise la projection privée d'un film dont elle a supervisé la post-production : Le Professionnel. Elle modifie les compteurs pour faire croire qu'un changement de bobine est imminent, et s'arrange pour que le projectionniste s'absente. Elle va ensuite tuer Mark en s'arrangeant pour que le crime soit découvert immédiatement par un des assistants, cache le pistolet sur le dessus de la cabine d'ascenseur, puis retourne sans être vue à la projection où elle change la bobine. Son alibi est que le projectionniste déclarera qu'au moment du crime, il fallait bien que quelqu'un ait changé la bobine. (fr)
- Eric Mason est docteur en psychologie et spécialisé dans le « contrôle vital ». Il est au courant qu'un de ses amis et associé, Charlie, entretenait une liaison avec sa femme récemment décédée dans un accident de la route. Mason décide d'employer le réflexe de Pavlov sur ses propres chiens pour le tuer de manière détournée. En secret, pendant plusieurs semaines, le médecin a en effet dressé ses deux dobermans pour que ces derniers accourent dans la cuisine dès que le téléphone sonne puis qu'ils attaquent au sang dès la prononciation d'un mot de passe. Ayant été habitués à s'exercer à l'attaque contre un mannequin de paille, ils réagissent très violemment dès qu'ils entendent le mot anglais Rosebud .
Une consultation annuelle chez un cardiologue donne le prétexte à Mason de faire garder chez lui ses chiens par Charlie. Le conférencier appelle son domicile depuis un téléphone fixe qui se trouve dans la salle d'examen médicale lorsqu'il est seul dans la pièce. Mason a trafiqué, avant de partir, les câbles téléphoniques de sa maison pour que seul l'appareil de la cuisine puisse se faire entendre. Charlie est incité par ruse à prononcer ce mot de passe devant les animaux qui l'ont suivit dans la cuisine. Les dobermans se déchaînent contre lui et le tuent sans attendre.
Sur les lieux du drame, Columbo remarque que quelqu'un venait d'appeler au domicile : la tonalité dans le combiné de la cuisine l'indique clairement. Le drame s'est donc déroulé avec un interlocuteur qui n'a pas prévenu ensuite la police ou les secours du massacre clairement audible... Qui a donc été complice du drame, ne l'ayant pas dénoncé. De plus, certaines actions des animaux devant lui lui font comprendre qu'ils ont été conditionnés, et par qui. (fr)
- Joe Devlin est Irlandais et grand amateur de whisky. Il est installé à Los Angeles où il a une certaine renommée comme écrivain et poète. Un jour, un homme inconnu vient le voir lors d'une séance de dédicace avec, sur la page à signer, les mots « Ourselves alone » qu'il a inscrits au stylo. . C'est un code de reconnaissance entre eux et ils conviennent de se revoir par la suite. L'homme s'appelle Vincent Pauley. C'est un trafiquant d'armes et il se trouve à Los Angeles pour proposer à Devlin de lui en faire livrer moyennant finance afin qu'elles puissent ensuite approvisionner l'IRA. Pauley réclame 50 000 dollars en supplément du prix des armes pour qu'elles soient bien livrées à la date prévue du départ d'un navire qui doit quitter le port le quinze du mois.
Devlin utilise sa notoriété pour officiellement soutenir un cercle américain d'aide aux victimes du conflit nord-irlandais et joue publiquement double-jeu, comme les autres membres du cercle, qui sont eux aussi des membres officieux de l'IRA. L'écrivain reçoit l'argent récolté pour acheter la marchandise et il confronte le marchand d'armes : ce dernier, qui a été discrètement filé, s'apprête en réalité à s'enfuir en avion avec la somme sitôt versée. Devlin le tue par balle, le voyant comme un traitre à leur cause.
Devlin est convaincu que rien ne le relie au meurtre du trafiquant que personne ne connaissait dans la ville. Columbo, pourtant, lui fait la surprise de venir le voir dans sa maison. Le lieutenant suspecte l'écrivain en raison de la dédicace du livre retrouvé sur les lieux du crime et à cause d'une bouteille de whisky. Pendant que l'inspecteur mène l'enquête, Joe Devlin essaie en même temps de trouver le fournisseur, ou à défaut un autre fournisseur, afin de tenir ses engagements. (fr)
- Abigail Mitchell est une auteur renommé de romans policiers et désormais fort riche. Elle habite une grande et belle demeure, accompagnée de sa secrétaire, d’une femme de chambre et d’une cuisinière.
Abigail est inconsolable et vindicative de la disparition de sa nièce tant aimée, Phyllis. En effet, Abigail est convaincue qu'Edmund, le mari de Phyllis, se trouve être à l'origine de cette disparition qu'elle visualise comme un meurtre sur conjoint camouflé en accident. De fait, Edmund a déclaré avoir été seul avec sa compagne sur un voilier puis qu'elle soit tombée accidentellement dans l'eau. Le corps de Phyllis n'a cependant jamais été retrouvé, ce qui devrait pourtant se faire en de pareilles circonstances. Malgré de sérieux indices , l'enquête policière a été véritablement bâclée. Edmund ne s'est pas retrouvé inquiété le moins du monde. Par égards pour sa chère nièce, Abigail entend désormais faire justice elle-même et punir son neveu par alliance.
Elle fait venir Edmund chez elle sous prétexte d'en faire son légataire testamentaire, en réalité pour récupérer les droits d'auteur qu'il a hérités via sa femme. Elle lui confie le code de sa chambre forte et lui montre ses bijoux et une importante somme d’argent. Le lendemain, devant son notaire pour témoin, elle rend effectivement Edmund bénéficiaire de sa richesse, lui-même étant invité à faire de même, par réciprocité. Il est particulièrement surprit de voir Abigail agir ainsi mais accepte la transaction par appât du gain.
Au moment où Edmund prend congé, elle lui glisse en aparté avoir quelque chose à lui confier et lui demande de revenir discrètement par l'arrière de la demeure sans que personne ne l’aperçoive. Celui-ci s’exécute. Par ruse, elle l’attire alors dans la chambre-forte, qui consiste en un espace confiné, sans aération et sans moyen de se faire entendre de l'extérieur. Après lui avoir avoué qu’elle le tient pour responsable de l’assassinat de Phyllis, elle l’y enferme avant qu’il ait eu le temps de réagir. Puis elle part aux yeux de tous, en compagnie de son notaire, pour prendre l’avion pour New York. Il s’agit donc d’un crime parfait puisque lorsqu’on retrouvera le corps d’Edmund, tous pourront témoigner qu’ils ont vu Abigail partir. Edmund aura alors dû revenir après le départ de celle-ci, de son notaire et des domestiques et s’enfermer par mégarde en laissant la lourde porte blindée claquer derrière lui.
Cependant, un imprévu va venir enrayer ce plan machiavélique.
Ainsi, juste au moment de partir, Abigail aperçoit le trousseau de clés de la voiture d'Edmund, laissé par celui-ci sur le coin d'une table. Craignant que quelqu’un de son entourage ne l’aperçoive, ce qui ruinerait la thèse selon laquelle Edmund est déjà parti, elle se débarrasse précipitamment du trousseau en dissimulant tant bien que mal celui-ci dans le sable de la vasque placée dans l'entrée en guise d'éteignoir à cigarettes, de manière à ne pas l’avoir sur elle lors de l’embarquement à l’aéroport.
Lorsque Columbo arrive pour mener son enquête, le fait que les clés de la voiture de la victime soient introuvables sur le cadavre ou quelque part ailleurs l’interpelle. Au demeurant, ce trousseau de clés n’a pas été perdu pour tout le monde et cela va compliquer les choses pour la meurtrière. En outre, dans son désespoir et sachant qu’il va mourir, Edmund a laissé des indices - certes subtils, mais rien décidément n’échappe à la sagacité de l’inspecteur Columbo - pour qu'Abigail soit châtiée… (fr)
- Paul Gerard est animateur d'émissions culinaires et critique gastronomique. Il est en conflit avec le grand chef Vittorio Rossi, patron d'un restaurant italien réputé. Rossi décide de tout révéler sur les agissements crapuleux de l'animateur, en particulier un système généralisé de pots-de-vin qui lui sont versés afin d'augmenter les notes qu'il attribue aux établissements culinaires de la ville.
À l'occasion d'un repas pris en commun dans les locaux de Vittorio, un soir, Paul Gerard parvient à lui faire absorber un poison virulent et mortel, secrètement extrait d'un poisson fugu par ses soins.
Columbo avouera à la fin de l'épisode qu'il suspectait le critique gastronomique dès le début, mais la question cruciale lors de son enquête porte sur la manière dont le poison a pu être incorporé dans la boisson. Le laboratoire de médecine légale conclut en effet que la toxine absorbée se trouvait dans le vin et non dans la nourriture. Pourtant, la bouteille avait été choisie au hasard dans la cave personnelle de la victime et ouverte de ses propres mains avec l'un de ses tire-bouchons. (fr)
- Mark McAndrews, le directeur de la chaîne de télévision CNC à Los Angeles est promu à New York. Kay Freestone, son assistante de post-production qui est aussi sa maîtresse, pense mériter une promotion à la hauteur de son ambition, elle attend qu'il lui lègue sa place. Mark considère qu'elle n'a pas le profil pour ce poste, et refuse de la promouvoir, pensant apaiser sa colère en lui achetant une voiture neuve. Dans les bureaux, un soir, elle organise la projection privée d'un film dont elle a supervisé la post-production : Le Professionnel. Elle modifie les compteurs pour faire croire qu'un changement de bobine est imminent, et s'arrange pour que le projectionniste s'absente. Elle va ensuite tuer Mark en s'arrangeant pour que le crime soit découvert immédiatement par un des assistants, cache le pistolet sur le dessus de la cabine d'ascenseur, puis retourne sans être vue à la projection où elle change la bobine. Son alibi est que le projectionniste déclarera qu'au moment du crime, il fallait bien que quelqu'un ait changé la bobine. (fr)
- Eric Mason est docteur en psychologie et spécialisé dans le « contrôle vital ». Il est au courant qu'un de ses amis et associé, Charlie, entretenait une liaison avec sa femme récemment décédée dans un accident de la route. Mason décide d'employer le réflexe de Pavlov sur ses propres chiens pour le tuer de manière détournée. En secret, pendant plusieurs semaines, le médecin a en effet dressé ses deux dobermans pour que ces derniers accourent dans la cuisine dès que le téléphone sonne puis qu'ils attaquent au sang dès la prononciation d'un mot de passe. Ayant été habitués à s'exercer à l'attaque contre un mannequin de paille, ils réagissent très violemment dès qu'ils entendent le mot anglais Rosebud .
Une consultation annuelle chez un cardiologue donne le prétexte à Mason de faire garder chez lui ses chiens par Charlie. Le conférencier appelle son domicile depuis un téléphone fixe qui se trouve dans la salle d'examen médicale lorsqu'il est seul dans la pièce. Mason a trafiqué, avant de partir, les câbles téléphoniques de sa maison pour que seul l'appareil de la cuisine puisse se faire entendre. Charlie est incité par ruse à prononcer ce mot de passe devant les animaux qui l'ont suivit dans la cuisine. Les dobermans se déchaînent contre lui et le tuent sans attendre.
Sur les lieux du drame, Columbo remarque que quelqu'un venait d'appeler au domicile : la tonalité dans le combiné de la cuisine l'indique clairement. Le drame s'est donc déroulé avec un interlocuteur qui n'a pas prévenu ensuite la police ou les secours du massacre clairement audible... Qui a donc été complice du drame, ne l'ayant pas dénoncé. De plus, certaines actions des animaux devant lui lui font comprendre qu'ils ont été conditionnés, et par qui. (fr)
- Joe Devlin est Irlandais et grand amateur de whisky. Il est installé à Los Angeles où il a une certaine renommée comme écrivain et poète. Un jour, un homme inconnu vient le voir lors d'une séance de dédicace avec, sur la page à signer, les mots « Ourselves alone » qu'il a inscrits au stylo. . C'est un code de reconnaissance entre eux et ils conviennent de se revoir par la suite. L'homme s'appelle Vincent Pauley. C'est un trafiquant d'armes et il se trouve à Los Angeles pour proposer à Devlin de lui en faire livrer moyennant finance afin qu'elles puissent ensuite approvisionner l'IRA. Pauley réclame 50 000 dollars en supplément du prix des armes pour qu'elles soient bien livrées à la date prévue du départ d'un navire qui doit quitter le port le quinze du mois.
Devlin utilise sa notoriété pour officiellement soutenir un cercle américain d'aide aux victimes du conflit nord-irlandais et joue publiquement double-jeu, comme les autres membres du cercle, qui sont eux aussi des membres officieux de l'IRA. L'écrivain reçoit l'argent récolté pour acheter la marchandise et il confronte le marchand d'armes : ce dernier, qui a été discrètement filé, s'apprête en réalité à s'enfuir en avion avec la somme sitôt versée. Devlin le tue par balle, le voyant comme un traitre à leur cause.
Devlin est convaincu que rien ne le relie au meurtre du trafiquant que personne ne connaissait dans la ville. Columbo, pourtant, lui fait la surprise de venir le voir dans sa maison. Le lieutenant suspecte l'écrivain en raison de la dédicace du livre retrouvé sur les lieux du crime et à cause d'une bouteille de whisky. Pendant que l'inspecteur mène l'enquête, Joe Devlin essaie en même temps de trouver le fournisseur, ou à défaut un autre fournisseur, afin de tenir ses engagements. (fr)
- Abigail Mitchell est une auteur renommé de romans policiers et désormais fort riche. Elle habite une grande et belle demeure, accompagnée de sa secrétaire, d’une femme de chambre et d’une cuisinière.
Abigail est inconsolable et vindicative de la disparition de sa nièce tant aimée, Phyllis. En effet, Abigail est convaincue qu'Edmund, le mari de Phyllis, se trouve être à l'origine de cette disparition qu'elle visualise comme un meurtre sur conjoint camouflé en accident. De fait, Edmund a déclaré avoir été seul avec sa compagne sur un voilier puis qu'elle soit tombée accidentellement dans l'eau. Le corps de Phyllis n'a cependant jamais été retrouvé, ce qui devrait pourtant se faire en de pareilles circonstances. Malgré de sérieux indices , l'enquête policière a été véritablement bâclée. Edmund ne s'est pas retrouvé inquiété le moins du monde. Par égards pour sa chère nièce, Abigail entend désormais faire justice elle-même et punir son neveu par alliance.
Elle fait venir Edmund chez elle sous prétexte d'en faire son légataire testamentaire, en réalité pour récupérer les droits d'auteur qu'il a hérités via sa femme. Elle lui confie le code de sa chambre forte et lui montre ses bijoux et une importante somme d’argent. Le lendemain, devant son notaire pour témoin, elle rend effectivement Edmund bénéficiaire de sa richesse, lui-même étant invité à faire de même, par réciprocité. Il est particulièrement surprit de voir Abigail agir ainsi mais accepte la transaction par appât du gain.
Au moment où Edmund prend congé, elle lui glisse en aparté avoir quelque chose à lui confier et lui demande de revenir discrètement par l'arrière de la demeure sans que personne ne l’aperçoive. Celui-ci s’exécute. Par ruse, elle l’attire alors dans la chambre-forte, qui consiste en un espace confiné, sans aération et sans moyen de se faire entendre de l'extérieur. Après lui avoir avoué qu’elle le tient pour responsable de l’assassinat de Phyllis, elle l’y enferme avant qu’il ait eu le temps de réagir. Puis elle part aux yeux de tous, en compagnie de son notaire, pour prendre l’avion pour New York. Il s’agit donc d’un crime parfait puisque lorsqu’on retrouvera le corps d’Edmund, tous pourront témoigner qu’ils ont vu Abigail partir. Edmund aura alors dû revenir après le départ de celle-ci, de son notaire et des domestiques et s’enfermer par mégarde en laissant la lourde porte blindée claquer derrière lui.
Cependant, un imprévu va venir enrayer ce plan machiavélique.
Ainsi, juste au moment de partir, Abigail aperçoit le trousseau de clés de la voiture d'Edmund, laissé par celui-ci sur le coin d'une table. Craignant que quelqu’un de son entourage ne l’aperçoive, ce qui ruinerait la thèse selon laquelle Edmund est déjà parti, elle se débarrasse précipitamment du trousseau en dissimulant tant bien que mal celui-ci dans le sable de la vasque placée dans l'entrée en guise d'éteignoir à cigarettes, de manière à ne pas l’avoir sur elle lors de l’embarquement à l’aéroport.
Lorsque Columbo arrive pour mener son enquête, le fait que les clés de la voiture de la victime soient introuvables sur le cadavre ou quelque part ailleurs l’interpelle. Au demeurant, ce trousseau de clés n’a pas été perdu pour tout le monde et cela va compliquer les choses pour la meurtrière. En outre, dans son désespoir et sachant qu’il va mourir, Edmund a laissé des indices - certes subtils, mais rien décidément n’échappe à la sagacité de l’inspecteur Columbo - pour qu'Abigail soit châtiée… (fr)
- Paul Gerard est animateur d'émissions culinaires et critique gastronomique. Il est en conflit avec le grand chef Vittorio Rossi, patron d'un restaurant italien réputé. Rossi décide de tout révéler sur les agissements crapuleux de l'animateur, en particulier un système généralisé de pots-de-vin qui lui sont versés afin d'augmenter les notes qu'il attribue aux établissements culinaires de la ville.
À l'occasion d'un repas pris en commun dans les locaux de Vittorio, un soir, Paul Gerard parvient à lui faire absorber un poison virulent et mortel, secrètement extrait d'un poisson fugu par ses soins.
Columbo avouera à la fin de l'épisode qu'il suspectait le critique gastronomique dès le début, mais la question cruciale lors de son enquête porte sur la manière dont le poison a pu être incorporé dans la boisson. Le laboratoire de médecine légale conclut en effet que la toxine absorbée se trouvait dans le vin et non dans la nourriture. Pourtant, la bouteille avait été choisie au hasard dans la cave personnelle de la victime et ouverte de ses propres mains avec l'un de ses tire-bouchons. (fr)
|