| prop-fr:résumé
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- --06-10
- Le premier ministre Lord Melbourne annonce qu'il doit démissionner, affirmant qu'il n'a pas le mandat requis au Parlement. Victoria demande au duc de Wellington de former un nouveau gouvernement , il décline, disant qu'il est trop vieux pour être à nouveau premier ministre. Il lui suggère de nommer Sir Robert Peel , ce qu'elle fait à contrecœur. Cependant, Peel n'accepte que si elle congédie quelques-unes de ses dames de la chambre à coucher, quatre d'entre elles étant mariées à des ministres whig, et de les remplacer par des épouses de des tories. La reine refuse, car elle considère ses dames whig comme ses amies intimes et non comme des pions politiques. Cela conduit à la crise Bedchamber. Melbourne insiste sur le fait qu'il ne peut pas saper la constitution britannique en gouvernant uniquement selon les caprices du monarque, mais il finit par céder et reste premier ministre. Pendant ce temps, la mère de Victoria, sir John et son oncle le duc de Cumberland projettent d'installer une régence pour limiter le pouvoir de Victoria en faisant croire aux gens qu'elle a hérité de la folie de son grand-père. (fr)
- Victoria annonce ses fiançailles, mais le Parlement conservateur réagit avec hostilité à l'idée d'un consort allemand, en particulier un à qui serait donné un titre britannique et lourde allocation annuelle. En outre, le duc de Wellington dit qu'ils ne peuvent pas être sûrs qu'Albert n'est pas catholique, ce qui empêcherait Victoria de l'épouser sans abdiquer sa couronne. Bien que n'étant pas capable de lui donner un titre royal comme duc ou roi, Victoria fait d'Albert un chevalier de la Jarretière et lui donne une petite allocation. Albert est offensé, sentant qu'il n'aura aucune position ni indépendance, et de son côté Victoria s'inquiète qu'il utilise l'allocation pour avoir une maîtresse, comme son oncle Leopold. Ils se rassurent et se marient. (fr)
- Albert arrive pour une visite. Au début, lui et Victoria ne se comprennent et ne s'entendent pas, et ils se sentent poussés à se rapprocher par leur entourage. Quelques-uns à la cour trouvent qu'Albert, en tant que deuxième fils et prince d'un duché mineur, n'est pas assez bien pour Victoria. Mais passant temps ensemble, ils s'apprécient peu à peu. Albert, cependant, défie Victoria sur l'influence que lord Melbourne a sur elle et lui dit que celui ci la protège de la réalité, telle que la pauvreté. Ils se disputent,, Albert se prépare à partir, mais Victoria le demande en mariage et Albert accepte. (fr)
- Sir John et la mère de Victoria veulent qu'elle se marie, la trouvant trop indépendante et pensant qu'elle a besoin d'un homme pour la contrôler. L'oncle de Victoria, le roi Léopold de Belgique, arrive à la cour pour pousser Victoria à épouser son neveu, son cousin, le prince Albert de Saxe-Cobourg, mais Victoria n'a aucun intérêt pour Albert. Leopold essaie d'obtenir le soutien de Lord Melbourne, mais Melbourne pense qu'il n'y a aucune hâte à la pousser au mariage surtout si c'est à la mauvaise personne. Victoria se croit amoureuse de Melbourne, mais il la rejette. Fatigué de sir John, Victoria lui offre une pension et un titre irlandais pour qu'il quitte la cour, ce qui dévaste sa mère. Après le Newport Rising, Victoria prend pitié des condamnés et commute leurs peines de mort en un exil en Australie. (fr)
- Prénommée Alexandrina la reine prend son deuxième prénom pour monter sur le trône après la mort de son oncle, le roi Guillaume. Elle affirme son indépendance face à sa mère et à sir John Conroy. Victoria crée un scandale impliquant la dame de compagnie de sa mère, Lady Flora Hastings, en répandant la rumeur que Lady Flora est enceinte de l'enfant de Sir John. Lady Flora est forcée de subir un examen médical, ce qui révèle non seulement qu'elle est vierge, mais qu'elle souffre d'une tumeur fatale dans l'abdomen. Les gens du peuple sont scandalisés lorsqu'ils apprennent l'humiliation que la mourante Lady Flora a subie à cause de Victoria. Victoria désespère de ce qu'elle a fait et sent que son règne est terni à jamais, mais elle est encouragée par le premier ministre, lord Melbourne, à être forte et à faire face au peuple. (fr)
- Victoria et Albert sont mariés. Cependant, Victoria a peur de mourir lors d'un accouchement comme sa cousine, la princesse Charlotte, dont la mort a mené Victoria à hériter de la couronne. Une des servantes lui donne des conseils pour éviter la grossesse. Victoria fait grâce à son oncle, le duc de Sussex, qui est incapable de présenter sa femme à la cour parce que leur mariage était en violation de la loi sur les mariages royaux de 1772. Bien que sa femme soit fille d'un comte, elle n'appartient pas à la famille royale. Victoria utilise donc son pouvoir discrétionnaire pour élever sa femme au titre de duchesse d'Inverness et pouvoir ainsi l'accueillir à la cour. Un groupe abolitionniste demande à Victoria d'ouvrir leur discours à Londres, en juin 1840. Elle dit qu'elle soutiendra publiquement la cause, mais ne peut l'ouvrir en raison de sa position. Le prince Albert s'offre volontairement à donner le discours d'ouverture contre l'esclavage, un sujet qui lui tient à cœur. Son discours est considéré comme un grand succès pour lui. (fr)
- Victoria est enceinte de son premier enfant, mais a terriblement peur de mourir lors de l'accouchement. Sa mère insiste pour qu'elle s'abstienne des affaires d'état. Les ministres demandent à Victoria de choisir un régent dans le cas où elle mourrait pendant l'accouchement mais que son bébé survive. Elle insiste pour qu'Albert soit nommé régent, ce qui révolte les conservateurs. Cependant Sir Robert Peel croit qu'Albert pourrait être influencé et le soutient comme régent. Albert s'intéresse à la construction du chemin de fer pour développer la Grande-Bretagne, projet que Victoria lui déconseille de poursuivre. Sir Robert fait monter Albert sur sa locomotive, ce qui l'exaspère. Albert, cependant, insiste sur le fait qu'il a une certaine influence dans son nouveau pays, alors qu'elle craint que sa façon de faire puisse saper sa propre autorité en tant que reine. Néanmoins, Victoria s'aventure elle-même à faire un tour sur la locomotive, ce qu'elle trouve exaltante. (fr)
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