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- Régates à Argenteuil est un tableau réalisé par le peintre impressionniste Claude Monet vers 1872. Ce tableau est célèbre pour la spontanéité du geste pictural qui indique la vivacité de l'artiste. Il a été acquis en 1894 par legs du peintre et collectionneur Gustave Caillebotte. Dans une peinture impressionniste, c'est la qualité de la lumière, que le peintre a observée, qu'il essaie de vous retransmettre par des rapports de valeurs et de couleurs, qui fait l’intérêt du tableau. Cette période impressionniste est une période, unique dans l'histoire de la peinture, où la lumière est l'objet principal de l'attention des peintres, ce sont les subtils changements de coloration et d'intensité de cette lumière que les peintres impressionnistes essaient de saisir et de traduire dans leurs œuvres, en sortant de leurs ateliers pour aller sur le motif. Tous le font, mais plus ou moins suivant leurs personnalités diverses. Claude Monet est celui qui va le plus loin dans cette voie, jusqu'à perdre les formes qui en arrivent à se diluer dans la lumière, dans ses toiles tardives. Il rejoint en cela William Turner, qui procédait lui aussi à cette dilution, mais avec une lumière moins variée, plus théorique et moins subtilement observée, puisque lui, restant dans son atelier, imaginait la lumière, ce qui n'enlève rien à la valeur de son œuvre.[pertinence contestée] (fr)
- Régates à Argenteuil est un tableau réalisé par le peintre impressionniste Claude Monet vers 1872. Ce tableau est célèbre pour la spontanéité du geste pictural qui indique la vivacité de l'artiste. Il a été acquis en 1894 par legs du peintre et collectionneur Gustave Caillebotte. Dans une peinture impressionniste, c'est la qualité de la lumière, que le peintre a observée, qu'il essaie de vous retransmettre par des rapports de valeurs et de couleurs, qui fait l’intérêt du tableau. Cette période impressionniste est une période, unique dans l'histoire de la peinture, où la lumière est l'objet principal de l'attention des peintres, ce sont les subtils changements de coloration et d'intensité de cette lumière que les peintres impressionnistes essaient de saisir et de traduire dans leurs œuvres, en sortant de leurs ateliers pour aller sur le motif. Tous le font, mais plus ou moins suivant leurs personnalités diverses. Claude Monet est celui qui va le plus loin dans cette voie, jusqu'à perdre les formes qui en arrivent à se diluer dans la lumière, dans ses toiles tardives. Il rejoint en cela William Turner, qui procédait lui aussi à cette dilution, mais avec une lumière moins variée, plus théorique et moins subtilement observée, puisque lui, restant dans son atelier, imaginait la lumière, ce qui n'enlève rien à la valeur de son œuvre.[pertinence contestée] (fr)
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