Rodolphe Hoornaert (Courtrai, 1886 – Bruges, 1969) était un prêtre catholique et essayiste belge, cofondateur d’une nouvelle congrégation religieuse dans sa ville natale. Issu de la haute société brugeoise catholique et francophone, ayant plusieurs ecclésiastiques dans sa parentèle, Rodolphe Hoornaert suivit à son tour une formation au Grand Séminaire de Bruges et fut ordonné prêtre en 1910. Après avoir travaillé un certain temps comme secrétaire à l’évêché de Bruges et réalisé quelques traductions pour le compte de ses supérieurs hiérarchiques, il entreprit à Louvain des études de philologie romane, qui lui firent notamment connaître le mysticisme espagnol, puis soutint quelques années plus tard une thèse de doctorat sur Thérèse d’Avila ; ses recherches ultérieures et ses travaux de tradu

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  • Rodolphe Hoornaert (Courtrai, 1886 – Bruges, 1969) était un prêtre catholique et essayiste belge, cofondateur d’une nouvelle congrégation religieuse dans sa ville natale. Issu de la haute société brugeoise catholique et francophone, ayant plusieurs ecclésiastiques dans sa parentèle, Rodolphe Hoornaert suivit à son tour une formation au Grand Séminaire de Bruges et fut ordonné prêtre en 1910. Après avoir travaillé un certain temps comme secrétaire à l’évêché de Bruges et réalisé quelques traductions pour le compte de ses supérieurs hiérarchiques, il entreprit à Louvain des études de philologie romane, qui lui firent notamment connaître le mysticisme espagnol, puis soutint quelques années plus tard une thèse de doctorat sur Thérèse d’Avila ; ses recherches ultérieures et ses travaux de traduction porteront principalement sur l’élévation spirituelle en général et la mystique en particulier, surtout flamande et espagnole. Cependant, ces tendances mystiques ne le portèrent jamais à se replier sur une contemplation purement individuelle, mais voulaient se traduire en action, au service de l’Église. En 1922, il fut nommé de recteur (curé) du béguinage de Bruges, succédant à ce poste à son oncle Hector, décédé peu auparavant. Si l’évêque avait compris cette nomination comme une sorte de sinécure, devant permettre à Hoornaert de se vouer tout entier à l’étude et à l’écriture, le nouveau recteur mit au contraire tous ses efforts à ranimer le béguinage, sombré depuis longtemps dans la torpeur et ne comptant plus que cinq béguines. Ses efforts cependant n’aboutirent pas, Hoornaert échouant en effet, en dépit des conférences, articles de presse, événements publics etc., à susciter des vocations, même s’il réussit à motiver la bourgeoisie de Bruges à financer la réhabilitation du site, au dernier stade du délabrement. Renonçant finalement à son dessein de raviver le béguinisme à Bruges, Hoornaert, soutenu en cela par les bénédictins de l’abbaye Saint-André proche, décida de fonder, avec Gaspar Lefebvre, par la fusion d’un groupe de religieuses venues de Nîmes et des béguines brugeoises restantes, une nouvelle communauté religieuse, dénommée Filles de l’Église et hébergée dans un couvent neuf édifié sur le site même du béguinage. Placée sous la règle de saint Benoît et sous la direction spirituelle de Hoornaert, la nouvelle communauté apparaît atypique en ceci qu’elle amalgamait le mode de vie béguinal traditionnel (claustration moins stricte, apostolat externe, habit) et la règle bénédictine, en plus d’innovations introduites par Hoornaert à partir de 1927 qui faisaient s’écarter sa congrégation du béguisme ancien (vœux définitfs ; glissement de l’apostolat caritatif agissant sur le terrain des œuvres directement sociales, vers un apostolat liturgique, au service de l’Église ; accent mis sur l’ascèse, sur l’obéissance, sur le bréviaire, le missel et l’office choral ; dévotion à la Sainte Trinité comme forme supérieure de méditation se pratiquant au rythme des trois principaux moments de la prière canonique quotidienne, etc.). La réunion (mystique) avec Dieu, que l’on recherchait activement (et non dans une attitude passive comme dans la mysticisme thérésien) par la voie d’une vie spirituelle exigeante et austère et par une oraison combinant aspect contemplatif et observance canonique, était vue, non tant comme une fusion ontologique avec la divinité, mais comme l’expérience de la présence divine dans l’âme, une « réunion secrète, essentielle avec le Père » ; cette réunion avec Dieu s’obtient par la réunion avec le corps mystique du Christ, lequel n’est autre que la sainte Église, née du sang de Jésus. Quant à l’apostolat (qu’il soit interne — travaux d’atelier, études et actions liturgiques, cercle de lecture, maison d’hôtes, initiations au chant grégorien, cours par correspondance, publications etc.) — ou externe (travail dans les paroisses), Hoornaert entendait — et ce fut là un point de divergence avec dom Gaspar — donner à cet apostolat, avant toute chose et préalablement, une solide charpente liturgique et contemplative, d’où ensuite seulement, corollairement, devait découler les œuvres, les actions ; de fait, quoique Hoornaert considérât l’oraison et le travail comme deux piliers d’égale importance de la vie religieuse, le volet apostolique externe des Filles de l’Église tardait à se mettre en train. Essayiste fécond, Hoornaert laissa de nombreux ouvrages, brochures et articles traitant de liturgie, de la vie conventuelle, du béguinage de Bruges et de la nouvelle congrégation religieuse qu’il avait cofondée ; mais surtout, il ne cessa de lire et de commenter les auteurs mystiques (consacrant des livres à Jean de la Croix, sainte Thérèse d’Avila, Ruusbroeck, Retté), auteurs qu’il admirait, et dont dans une certaine mesure il s’inspira, mais sans jamais expérimenter d’extase mystique lui-même. Il s’engagea dans le Mouvement liturgique et s’attela à structurer et normaliser la formation des acolytes, d’abord à l’échelle diocésaine, puis internationale. (fr)
  • Rodolphe Hoornaert (Courtrai, 1886 – Bruges, 1969) était un prêtre catholique et essayiste belge, cofondateur d’une nouvelle congrégation religieuse dans sa ville natale. Issu de la haute société brugeoise catholique et francophone, ayant plusieurs ecclésiastiques dans sa parentèle, Rodolphe Hoornaert suivit à son tour une formation au Grand Séminaire de Bruges et fut ordonné prêtre en 1910. Après avoir travaillé un certain temps comme secrétaire à l’évêché de Bruges et réalisé quelques traductions pour le compte de ses supérieurs hiérarchiques, il entreprit à Louvain des études de philologie romane, qui lui firent notamment connaître le mysticisme espagnol, puis soutint quelques années plus tard une thèse de doctorat sur Thérèse d’Avila ; ses recherches ultérieures et ses travaux de traduction porteront principalement sur l’élévation spirituelle en général et la mystique en particulier, surtout flamande et espagnole. Cependant, ces tendances mystiques ne le portèrent jamais à se replier sur une contemplation purement individuelle, mais voulaient se traduire en action, au service de l’Église. En 1922, il fut nommé de recteur (curé) du béguinage de Bruges, succédant à ce poste à son oncle Hector, décédé peu auparavant. Si l’évêque avait compris cette nomination comme une sorte de sinécure, devant permettre à Hoornaert de se vouer tout entier à l’étude et à l’écriture, le nouveau recteur mit au contraire tous ses efforts à ranimer le béguinage, sombré depuis longtemps dans la torpeur et ne comptant plus que cinq béguines. Ses efforts cependant n’aboutirent pas, Hoornaert échouant en effet, en dépit des conférences, articles de presse, événements publics etc., à susciter des vocations, même s’il réussit à motiver la bourgeoisie de Bruges à financer la réhabilitation du site, au dernier stade du délabrement. Renonçant finalement à son dessein de raviver le béguinisme à Bruges, Hoornaert, soutenu en cela par les bénédictins de l’abbaye Saint-André proche, décida de fonder, avec Gaspar Lefebvre, par la fusion d’un groupe de religieuses venues de Nîmes et des béguines brugeoises restantes, une nouvelle communauté religieuse, dénommée Filles de l’Église et hébergée dans un couvent neuf édifié sur le site même du béguinage. Placée sous la règle de saint Benoît et sous la direction spirituelle de Hoornaert, la nouvelle communauté apparaît atypique en ceci qu’elle amalgamait le mode de vie béguinal traditionnel (claustration moins stricte, apostolat externe, habit) et la règle bénédictine, en plus d’innovations introduites par Hoornaert à partir de 1927 qui faisaient s’écarter sa congrégation du béguisme ancien (vœux définitfs ; glissement de l’apostolat caritatif agissant sur le terrain des œuvres directement sociales, vers un apostolat liturgique, au service de l’Église ; accent mis sur l’ascèse, sur l’obéissance, sur le bréviaire, le missel et l’office choral ; dévotion à la Sainte Trinité comme forme supérieure de méditation se pratiquant au rythme des trois principaux moments de la prière canonique quotidienne, etc.). La réunion (mystique) avec Dieu, que l’on recherchait activement (et non dans une attitude passive comme dans la mysticisme thérésien) par la voie d’une vie spirituelle exigeante et austère et par une oraison combinant aspect contemplatif et observance canonique, était vue, non tant comme une fusion ontologique avec la divinité, mais comme l’expérience de la présence divine dans l’âme, une « réunion secrète, essentielle avec le Père » ; cette réunion avec Dieu s’obtient par la réunion avec le corps mystique du Christ, lequel n’est autre que la sainte Église, née du sang de Jésus. Quant à l’apostolat (qu’il soit interne — travaux d’atelier, études et actions liturgiques, cercle de lecture, maison d’hôtes, initiations au chant grégorien, cours par correspondance, publications etc.) — ou externe (travail dans les paroisses), Hoornaert entendait — et ce fut là un point de divergence avec dom Gaspar — donner à cet apostolat, avant toute chose et préalablement, une solide charpente liturgique et contemplative, d’où ensuite seulement, corollairement, devait découler les œuvres, les actions ; de fait, quoique Hoornaert considérât l’oraison et le travail comme deux piliers d’égale importance de la vie religieuse, le volet apostolique externe des Filles de l’Église tardait à se mettre en train. Essayiste fécond, Hoornaert laissa de nombreux ouvrages, brochures et articles traitant de liturgie, de la vie conventuelle, du béguinage de Bruges et de la nouvelle congrégation religieuse qu’il avait cofondée ; mais surtout, il ne cessa de lire et de commenter les auteurs mystiques (consacrant des livres à Jean de la Croix, sainte Thérèse d’Avila, Ruusbroeck, Retté), auteurs qu’il admirait, et dont dans une certaine mesure il s’inspira, mais sans jamais expérimenter d’extase mystique lui-même. Il s’engagea dans le Mouvement liturgique et s’attela à structurer et normaliser la formation des acolytes, d’abord à l’échelle diocésaine, puis internationale. (fr)
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  • Rodolphe Louis Joseph Hoornaert (fr)
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  • Chanoined’honneur dudiocèse de Bruges
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  • Portrait de Rodolphe Hoornaert par José Storie
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  • Cofondateur et directeur du couvent bénédictin de la Vigne à Bruges (fr)
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  • Elke Van den Broecke (fr)
  • Fernand Bonneure (fr)
  • Lieve Uyttenhove (fr)
  • Lieven Verstraete (fr)
  • Lucien-Paul Thomas (fr)
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  • Ora et labora (fr)
  • Pastorale liturgique (fr)
  • Renaissance et Tradition (fr)
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  • 1886-07-23 (xsd:date)
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  • Neveu d’Hector Hoornaert (fr)
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  • * Grand séminaire de Bruges * Philologie romane à Louvain (fr)
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  • Chanoine d’honneur du diocèse de Bruges (fr)
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  • fr (fr)
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  • Bruges (fr)
  • Bruxelles (fr)
  • Paris (fr)
  • Tielt (fr)
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  • Steenbrugge (fr)
  • Bruges & Louvain (fr)
  • Voorhout (fr)
  • Bruges/Paris (fr)
  • Bruges/Paris/Lille (fr)
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prop-fr:légende
  • Portrait de Rodolphe Hoornaert par José Storie (fr)
  • Portrait de Rodolphe Hoornaert par José Storie (fr)
prop-fr:nom
  • Rodolphe Hoornaert (fr)
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  • Rodolphe Louis Joseph Hoornaert (fr)
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  • Recteur du béguinage de Bruges (fr)
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  • Revue belge de Philologie et d'Histoire (fr)
  • Revue belge de Philologie et d'Histoire (fr)
prop-fr:sousTitre
  • douze méditations en forme de retraite (fr)
  • guide pour les touristes (fr)
  • le passé, le présent (fr)
  • prière de tous (fr)
  • son histoire, sa règle, sa vie (fr)
  • son milieu, ses facultés, son œuvre (fr)
  • douze méditations en forme de retraite (fr)
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  • son histoire, sa règle, sa vie (fr)
  • son milieu, ses facultés, son œuvre (fr)
prop-fr:titre
  • Les Expériences mystiques d’Adolphe Retté 1863-1930 (fr)
  • Het prinselijk begijnhof De Wijngaard in Brugge (fr)
  • Laus Deo. Rodolphe Hoornaert et son œuvre (fr)
  • Louez Dieu ! Méditations sur la vertu de religion selon l’esprit de S. François de Sales (fr)
  • Connaissez-vous les Filles de l’Église, bénédictines missionnaires des paroisses ? (fr)
  • Aimer l’Église (fr)
  • Breviergebed voor de vrome christenen (fr)
  • Breviergebed voor den leek (fr)
  • Hoe dien ik goed de mis? (fr)
  • La Messe en langue vulgaire (fr)
  • La Plus Ancienne Règle du béguinage de Bruges (fr)
  • La participation des fidèles à l'Office divin (fr)
  • Le Bréviaire (fr)
  • Le Bréviaire aux mains des laïcs (fr)
  • Le Béguinage de Bruges (fr)
  • Le Béguinage princier de Bruges (fr)
  • Le béguinage de Bruges (fr)
  • L’Unité belge en péril ! (fr)
  • L’Âme ardente de Saint-Jean de la Croix (fr)
  • L’Évolution spirituelle du béguinage de Bruges (fr)
  • Méthode de formation à l’acolytat (fr)
  • Notre apostolat paroissial (fr)
  • Qu’est-ce qu’une paroisse ? (fr)
  • Sainte Godeliève, patronne de la Flandre (fr)
  • Sainte Térèse écrivain (fr)
  • Werkmethode voor acolietenactie (fr)
  • Abbé Rodolphe Hoornaert. Sainte Tèrèse Écrivain. [compte-rendu] (fr)
  • Een moderne congregatie : de Dochters van de Kerk en de Wijngaard te Brugge (fr)
  • Pour la Patrie : conférences données en l’église Sainte-Walburge, à Bruges, pendant l’octave des patriotes (fr)
  • Een liturgische inrichting : de Dochters der H. Kerk op het Begijnhof te Brugge (fr)
  • Les Béguines de Bruges, leur histoire, leur règle, leur vie (fr)
  • Sainte Térèse d’Avila et ce qu'il faut avoir lu de ses écrits (fr)
  • Constitutions des Filles de l’Église. Bénédictines missionnaires des paroisses. Congrégation religieuse diocésaine, établie dans l’ancien béguinage de Bruges, dit l’enclos de la Vigne (fr)
  • Les Expériences mystiques d’Adolphe Retté 1863-1930 (fr)
  • Het prinselijk begijnhof De Wijngaard in Brugge (fr)
  • Laus Deo. Rodolphe Hoornaert et son œuvre (fr)
  • Louez Dieu ! Méditations sur la vertu de religion selon l’esprit de S. François de Sales (fr)
  • Connaissez-vous les Filles de l’Église, bénédictines missionnaires des paroisses ? (fr)
  • Aimer l’Église (fr)
  • Breviergebed voor de vrome christenen (fr)
  • Breviergebed voor den leek (fr)
  • Hoe dien ik goed de mis? (fr)
  • La Messe en langue vulgaire (fr)
  • La Plus Ancienne Règle du béguinage de Bruges (fr)
  • La participation des fidèles à l'Office divin (fr)
  • Le Bréviaire (fr)
  • Le Bréviaire aux mains des laïcs (fr)
  • Le Béguinage de Bruges (fr)
  • Le Béguinage princier de Bruges (fr)
  • Le béguinage de Bruges (fr)
  • L’Unité belge en péril ! (fr)
  • L’Âme ardente de Saint-Jean de la Croix (fr)
  • L’Évolution spirituelle du béguinage de Bruges (fr)
  • Méthode de formation à l’acolytat (fr)
  • Notre apostolat paroissial (fr)
  • Qu’est-ce qu’une paroisse ? (fr)
  • Sainte Godeliève, patronne de la Flandre (fr)
  • Sainte Térèse écrivain (fr)
  • Werkmethode voor acolietenactie (fr)
  • Abbé Rodolphe Hoornaert. Sainte Tèrèse Écrivain. [compte-rendu] (fr)
  • Een moderne congregatie : de Dochters van de Kerk en de Wijngaard te Brugge (fr)
  • Pour la Patrie : conférences données en l’église Sainte-Walburge, à Bruges, pendant l’octave des patriotes (fr)
  • Een liturgische inrichting : de Dochters der H. Kerk op het Begijnhof te Brugge (fr)
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  • Sainte Térèse d’Avila et ce qu'il faut avoir lu de ses écrits (fr)
  • Constitutions des Filles de l’Église. Bénédictines missionnaires des paroisses. Congrégation religieuse diocésaine, établie dans l’ancien béguinage de Bruges, dit l’enclos de la Vigne (fr)
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  • Rodolphe Hoornaert (Courtrai, 1886 – Bruges, 1969) était un prêtre catholique et essayiste belge, cofondateur d’une nouvelle congrégation religieuse dans sa ville natale. Issu de la haute société brugeoise catholique et francophone, ayant plusieurs ecclésiastiques dans sa parentèle, Rodolphe Hoornaert suivit à son tour une formation au Grand Séminaire de Bruges et fut ordonné prêtre en 1910. Après avoir travaillé un certain temps comme secrétaire à l’évêché de Bruges et réalisé quelques traductions pour le compte de ses supérieurs hiérarchiques, il entreprit à Louvain des études de philologie romane, qui lui firent notamment connaître le mysticisme espagnol, puis soutint quelques années plus tard une thèse de doctorat sur Thérèse d’Avila ; ses recherches ultérieures et ses travaux de tradu (fr)
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