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- Après la Seconde Guerre mondiale, de nombreux citoyens soviétiques sont dispersés dans toute l'Europe. La plupart étaient des prisonniers de guerre du Troisième Reich ou des civils razziés pour le travail forcé, et avaient été durement traités par les nazis. Quelques-uns étaient des militaires de l'Armée Vlassov qui s'étaient rendus à la Wehrmacht et avaient combattu contre le régime stalinien aux côtés des allemands. Parmi ces citoyens soviétiques, la plupart, craignant le Goulag (puisque la législation soviétique les considérait tous indistinctement comme des « déserteurs et traîtres à la patrie soviétique ») souhaitaient rester en Europe occidentale, mais des accords signés entre les Alliés occidentaux et l'Union soviétique, formaliseront leur rapatriement forcé en URSS. Ces accords furent signés le 5 décembre 1944 par la Grande-Bretagne, le 2 février 1945 par les États-Unis et le 19 juin 1945 par la France libre. Au total, 1,6 million de citoyens soviétiques furent rapatriés par les forces armées des alliés occidentaux. Comme l'URSS considérait la capture, la capitulation ou le travail pour l'ennemi comme un acte de trahison, plus de 80 % d'entre eux furent condamnés aux travaux forcés. (fr)
- Après la Seconde Guerre mondiale, de nombreux citoyens soviétiques sont dispersés dans toute l'Europe. La plupart étaient des prisonniers de guerre du Troisième Reich ou des civils razziés pour le travail forcé, et avaient été durement traités par les nazis. Quelques-uns étaient des militaires de l'Armée Vlassov qui s'étaient rendus à la Wehrmacht et avaient combattu contre le régime stalinien aux côtés des allemands. Parmi ces citoyens soviétiques, la plupart, craignant le Goulag (puisque la législation soviétique les considérait tous indistinctement comme des « déserteurs et traîtres à la patrie soviétique ») souhaitaient rester en Europe occidentale, mais des accords signés entre les Alliés occidentaux et l'Union soviétique, formaliseront leur rapatriement forcé en URSS. Ces accords furent signés le 5 décembre 1944 par la Grande-Bretagne, le 2 février 1945 par les États-Unis et le 19 juin 1945 par la France libre. Au total, 1,6 million de citoyens soviétiques furent rapatriés par les forces armées des alliés occidentaux. Comme l'URSS considérait la capture, la capitulation ou le travail pour l'ennemi comme un acte de trahison, plus de 80 % d'entre eux furent condamnés aux travaux forcés. (fr)
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- Après la Seconde Guerre mondiale, de nombreux citoyens soviétiques sont dispersés dans toute l'Europe. La plupart étaient des prisonniers de guerre du Troisième Reich ou des civils razziés pour le travail forcé, et avaient été durement traités par les nazis. Quelques-uns étaient des militaires de l'Armée Vlassov qui s'étaient rendus à la Wehrmacht et avaient combattu contre le régime stalinien aux côtés des allemands. Parmi ces citoyens soviétiques, la plupart, craignant le Goulag (puisque la législation soviétique les considérait tous indistinctement comme des « déserteurs et traîtres à la patrie soviétique ») souhaitaient rester en Europe occidentale, mais des accords signés entre les Alliés occidentaux et l'Union soviétique, formaliseront leur rapatriement forcé en URSS. Ces accords fur (fr)
- Après la Seconde Guerre mondiale, de nombreux citoyens soviétiques sont dispersés dans toute l'Europe. La plupart étaient des prisonniers de guerre du Troisième Reich ou des civils razziés pour le travail forcé, et avaient été durement traités par les nazis. Quelques-uns étaient des militaires de l'Armée Vlassov qui s'étaient rendus à la Wehrmacht et avaient combattu contre le régime stalinien aux côtés des allemands. Parmi ces citoyens soviétiques, la plupart, craignant le Goulag (puisque la législation soviétique les considérait tous indistinctement comme des « déserteurs et traîtres à la patrie soviétique ») souhaitaient rester en Europe occidentale, mais des accords signés entre les Alliés occidentaux et l'Union soviétique, formaliseront leur rapatriement forcé en URSS. Ces accords fur (fr)
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