Quelque chose de vieux (Something old) est le premier vers d'une comptine traditionnelle anglaise qui liste ce que la mariée doit avoir sur elle lors de son mariage afin de lui porter chance : Les Anglophones se réfèrent souvent à ce poème sous le nom des "Quatre quelque chose", en omettant le cinquième vers. La comptine semble provenir d'Angleterre. Un recueil d'éléments de folklore anglais de 1898 note que :

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  • Quelque chose de vieux (Something old) est le premier vers d'une comptine traditionnelle anglaise qui liste ce que la mariée doit avoir sur elle lors de son mariage afin de lui porter chance : Les Anglophones se réfèrent souvent à ce poème sous le nom des "Quatre quelque chose", en omettant le cinquième vers. La comptine semble provenir d'Angleterre. Un recueil d'éléments de folklore anglais de 1898 note que : « Dans ce pays, un vieux couplet énonce que la mariée doit porter "Quelque chose de vieux, quelque chose de neuf, quelque chose d'emprunté, quelque chose de bleu". Le "Quelque chose de neuf" prend généralement la forme de jarretelles, un habit qui joue un rôle important dans certaines cérémonies nuptiales, comme la vieille coutume de l'arrachage des jarretelles par le marié. Les "Quelque chose de vieux" et "Quelque chose de bleu" sont généralement destinés à éloigner le mauvais œil. Traditionnellement, l'effet du mauvais œil sur la mariée est la stérilité, ce qui est évité par le fait de porter "Quelque chose d'emprunté", généralement les sous-vêtements d'une femme ayant déjà donné naissance : le vêtement communique la fertilité à la mariée » Un autre recueil datant de la même période note la différence entre la version complète de Lancashire et la version de Leicestershire omettant le vers "Quelque chose de vieux". Les auteurs remarquent également que cette comptine va à l'encontre d'autres croyances régionales selon lesquelles le couleur bleue devrait être évitée dans les mariages. Des occurrences plus anciennes de cette comptine ont été relevées. Elle est mentionnée par une édition de 1876 de , et est appelée une "coutume ancienne" dans un autre livre datant de 1876, Bye-gones, Relating to Wales and the Border Counties. On retrouve également des traces du poème dans la nouvelle Marriage Superstitions, and the Miseries of a Bride Elect, publiée en 1871 dans le St. James's Magazine. (fr)
  • Quelque chose de vieux (Something old) est le premier vers d'une comptine traditionnelle anglaise qui liste ce que la mariée doit avoir sur elle lors de son mariage afin de lui porter chance : Les Anglophones se réfèrent souvent à ce poème sous le nom des "Quatre quelque chose", en omettant le cinquième vers. La comptine semble provenir d'Angleterre. Un recueil d'éléments de folklore anglais de 1898 note que : « Dans ce pays, un vieux couplet énonce que la mariée doit porter "Quelque chose de vieux, quelque chose de neuf, quelque chose d'emprunté, quelque chose de bleu". Le "Quelque chose de neuf" prend généralement la forme de jarretelles, un habit qui joue un rôle important dans certaines cérémonies nuptiales, comme la vieille coutume de l'arrachage des jarretelles par le marié. Les "Quelque chose de vieux" et "Quelque chose de bleu" sont généralement destinés à éloigner le mauvais œil. Traditionnellement, l'effet du mauvais œil sur la mariée est la stérilité, ce qui est évité par le fait de porter "Quelque chose d'emprunté", généralement les sous-vêtements d'une femme ayant déjà donné naissance : le vêtement communique la fertilité à la mariée » Un autre recueil datant de la même période note la différence entre la version complète de Lancashire et la version de Leicestershire omettant le vers "Quelque chose de vieux". Les auteurs remarquent également que cette comptine va à l'encontre d'autres croyances régionales selon lesquelles le couleur bleue devrait être évitée dans les mariages. Des occurrences plus anciennes de cette comptine ont été relevées. Elle est mentionnée par une édition de 1876 de , et est appelée une "coutume ancienne" dans un autre livre datant de 1876, Bye-gones, Relating to Wales and the Border Counties. On retrouve également des traces du poème dans la nouvelle Marriage Superstitions, and the Miseries of a Bride Elect, publiée en 1871 dans le St. James's Magazine. (fr)
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  • Quelque chose de vieux (Something old) est le premier vers d'une comptine traditionnelle anglaise qui liste ce que la mariée doit avoir sur elle lors de son mariage afin de lui porter chance : Les Anglophones se réfèrent souvent à ce poème sous le nom des "Quatre quelque chose", en omettant le cinquième vers. La comptine semble provenir d'Angleterre. Un recueil d'éléments de folklore anglais de 1898 note que : (fr)
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  • Quelque chose de vieux (fr)
  • Något gammalt (sv)
  • Something old (en)
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