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- Le puits Hottinguer était l'un des principaux charbonnages des houillères d'Épinac. Les bâtiments construits entre 1872 et 1876 abritaient un mode d’extraction par un système atmosphérique révolutionnaire : un piston se déplaçant dans un tube de 558 m de hauteur, usiné au Creusot (technique originale de l’ingénieur Zulma Blanchet) et non par câbles traditionnels qui ne permettaient pas à cette époque de descendre aussi bas (plus de 600 mètres), profondeur qui en fait à sa mise en service en 1871 le puits de mine le plus profond de France. Après sa fermeture en 1936, il est reconverti en usine de peinture à partir de 1948 par la société BITULAC avant de se retrouver à l’abandon en 1998 à peine une dizaine d'années après l'incendie du 12 mars 1989. Il est inscrit comme monument historique le 26 novembre 1992. La tour Malakoff et ses ailes sont en rénovation depuis fin 2012. La construction d'une centrale photovoltaïque à proximité des anciens bâtiments est en cours d'étude. (fr)
- Le puits Hottinguer était l'un des principaux charbonnages des houillères d'Épinac. Les bâtiments construits entre 1872 et 1876 abritaient un mode d’extraction par un système atmosphérique révolutionnaire : un piston se déplaçant dans un tube de 558 m de hauteur, usiné au Creusot (technique originale de l’ingénieur Zulma Blanchet) et non par câbles traditionnels qui ne permettaient pas à cette époque de descendre aussi bas (plus de 600 mètres), profondeur qui en fait à sa mise en service en 1871 le puits de mine le plus profond de France. Après sa fermeture en 1936, il est reconverti en usine de peinture à partir de 1948 par la société BITULAC avant de se retrouver à l’abandon en 1998 à peine une dizaine d'années après l'incendie du 12 mars 1989. Il est inscrit comme monument historique le 26 novembre 1992. La tour Malakoff et ses ailes sont en rénovation depuis fin 2012. La construction d'une centrale photovoltaïque à proximité des anciens bâtiments est en cours d'étude. (fr)
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- automne 1985 (fr)
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- Pierre-Christian Guiollard (fr)
- Dominique Chabard (fr)
- Jean-Philippe Passaqui (fr)
- Lucien Taupenot (fr)
- Pierre-Christian Guiollard (fr)
- Dominique Chabard (fr)
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- Lucien Taupenot (fr)
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- Images de Saône-et-Loire (fr)
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- France/Bourgogne-Franche-Comté/Saône-et-Loire (fr)
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- Fichous (fr)
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- Puits Hottinguer (fr)
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- Epinac, Autun, Morvan (fr)
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- Les routes de l'énergie (fr)
- Les chevalements des houillères Françaises (fr)
- À Épinac : le puits Hottinguer et son système atmosphérique (fr)
- Les routes de l'énergie (fr)
- Les chevalements des houillères Françaises (fr)
- À Épinac : le puits Hottinguer et son système atmosphérique (fr)
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- Le puits Hottinguer était l'un des principaux charbonnages des houillères d'Épinac. Les bâtiments construits entre 1872 et 1876 abritaient un mode d’extraction par un système atmosphérique révolutionnaire : un piston se déplaçant dans un tube de 558 m de hauteur, usiné au Creusot (technique originale de l’ingénieur Zulma Blanchet) et non par câbles traditionnels qui ne permettaient pas à cette époque de descendre aussi bas (plus de 600 mètres), profondeur qui en fait à sa mise en service en 1871 le puits de mine le plus profond de France. (fr)
- Le puits Hottinguer était l'un des principaux charbonnages des houillères d'Épinac. Les bâtiments construits entre 1872 et 1876 abritaient un mode d’extraction par un système atmosphérique révolutionnaire : un piston se déplaçant dans un tube de 558 m de hauteur, usiné au Creusot (technique originale de l’ingénieur Zulma Blanchet) et non par câbles traditionnels qui ne permettaient pas à cette époque de descendre aussi bas (plus de 600 mètres), profondeur qui en fait à sa mise en service en 1871 le puits de mine le plus profond de France. (fr)
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- Puits Hottinguer (fr)
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