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- L’expression « obstacle taxonomique » désigne les lacunes constatées dans les connaissances taxonomiques (notamment sur le monde microbien) et la pénurie croissante de taxonomistes et/ou d'outils libres et ouverts (de types clés de détermination), ainsi que de conservateurs dans ce domaine. Ce manque fait « obstacle » à la poursuite de l'inventaire du vivant, ainsi qu'aux mises à jour rapides de la classification (des espèces et autres taxons) et par suite à la protection de la biodiversité (le nombre moyen de nouvelles espèces décrites par an a augmenté dans de nombreux groupes, mais le potentiel de découvertes est loin d'être atteint). Cette expression est utilisée dans le monde des sciences et en particulier de la taxonomie et de la biodiversité, mais aussi par l'ONU. C'est la traduction de l'expression anglophone « taxonomic impediment ». Pour pallier cette lacune, certains auteurs ont récemment imaginé combiner sur le Web et à partir de l'ADN et de manière automatisée trois approches : 1°) une cyber-structure taxonomique unifiée, 2°) le barcoding moléculaire automatisé de l'ADN, et 3°) la phylogénie moléculaire. Cet objectif est, selon de nombreux systématiciens, irréaliste, voire dangereux et trompeur (une « triple myopie » selon Carvalho et al.). Une telle approche pourrait augmenter le nombre d'espèces décrites, mais avec des erreurs (car ne tenant pas compte du fait que des entités biologiques peuvent être non-monophylétiques). Certains taxonomistes estiment qu'une « taxonomie de l'ADN » ne peut pas remplacer les classifications par la morphologie. (fr)
- L’expression « obstacle taxonomique » désigne les lacunes constatées dans les connaissances taxonomiques (notamment sur le monde microbien) et la pénurie croissante de taxonomistes et/ou d'outils libres et ouverts (de types clés de détermination), ainsi que de conservateurs dans ce domaine. Ce manque fait « obstacle » à la poursuite de l'inventaire du vivant, ainsi qu'aux mises à jour rapides de la classification (des espèces et autres taxons) et par suite à la protection de la biodiversité (le nombre moyen de nouvelles espèces décrites par an a augmenté dans de nombreux groupes, mais le potentiel de découvertes est loin d'être atteint). Cette expression est utilisée dans le monde des sciences et en particulier de la taxonomie et de la biodiversité, mais aussi par l'ONU. C'est la traduction de l'expression anglophone « taxonomic impediment ». Pour pallier cette lacune, certains auteurs ont récemment imaginé combiner sur le Web et à partir de l'ADN et de manière automatisée trois approches : 1°) une cyber-structure taxonomique unifiée, 2°) le barcoding moléculaire automatisé de l'ADN, et 3°) la phylogénie moléculaire. Cet objectif est, selon de nombreux systématiciens, irréaliste, voire dangereux et trompeur (une « triple myopie » selon Carvalho et al.). Une telle approche pourrait augmenter le nombre d'espèces décrites, mais avec des erreurs (car ne tenant pas compte du fait que des entités biologiques peuvent être non-monophylétiques). Certains taxonomistes estiment qu'une « taxonomie de l'ADN » ne peut pas remplacer les classifications par la morphologie. (fr)
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- L’expression « obstacle taxonomique » désigne les lacunes constatées dans les connaissances taxonomiques (notamment sur le monde microbien) et la pénurie croissante de taxonomistes et/ou d'outils libres et ouverts (de types clés de détermination), ainsi que de conservateurs dans ce domaine. Ce manque fait « obstacle » à la poursuite de l'inventaire du vivant, ainsi qu'aux mises à jour rapides de la classification (des espèces et autres taxons) et par suite à la protection de la biodiversité (le nombre moyen de nouvelles espèces décrites par an a augmenté dans de nombreux groupes, mais le potentiel de découvertes est loin d'être atteint). (fr)
- L’expression « obstacle taxonomique » désigne les lacunes constatées dans les connaissances taxonomiques (notamment sur le monde microbien) et la pénurie croissante de taxonomistes et/ou d'outils libres et ouverts (de types clés de détermination), ainsi que de conservateurs dans ce domaine. Ce manque fait « obstacle » à la poursuite de l'inventaire du vivant, ainsi qu'aux mises à jour rapides de la classification (des espèces et autres taxons) et par suite à la protection de la biodiversité (le nombre moyen de nouvelles espèces décrites par an a augmenté dans de nombreux groupes, mais le potentiel de découvertes est loin d'être atteint). (fr)
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