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- Ne nous soumets pas à la tentation est la sixième demande et avant-dernier verset du Notre Père, dans sa traduction française dite « œcuménique » employée par les chrétiens de 1966 à 2017. Elle est le fruit d'une commission liturgique œcuménique francophone réunie en 1965, à laquelle participèrent le pasteur lausannois Pierre Bonnard (1911-2003) et le père bénédictin Belge Jacques Dupont, probables responsables de l'acceptation de la formule. Il semblerait qu'elle ait été utilisée la première fois par un "anonyme protestant" en 1922. Elle apparaît pour la première fois dans la traduction de la Bible (dite du Centenaire ) éditée à partir de 1916 par la (à l'occasion de son centenaire). Plus précisément dans l'Évangile selon Matthieu (6,13), traduit par Maurice Goguel et publié en 1928. La traduction de cette formule est un sujet de débat au sein des Églises catholique et orthodoxe francophone. Certains orthodoxes ont tranché récemment et renoncé en 2004 à la traduction œcuménique. Le livre de J-M Gourvil, orthodoxe, présente les questions posées par la traduction œcuménique de la 6e demande. L'idée que Dieu pourrait vouloir tenter une personne pour la faire pécher paraît critiquable à certains théologiens. Finalement, le 12 juillet 2013, le Vatican approuve la publication d'une nouvelle traduction en français de la Bible liturgique, où la formule est désormais : « Et ne nous laisse pas entrer en tentation ». Cette traduction est effective dans la liturgie depuis le premier dimanche de l'Avent 2017. (fr)
- Ne nous soumets pas à la tentation est la sixième demande et avant-dernier verset du Notre Père, dans sa traduction française dite « œcuménique » employée par les chrétiens de 1966 à 2017. Elle est le fruit d'une commission liturgique œcuménique francophone réunie en 1965, à laquelle participèrent le pasteur lausannois Pierre Bonnard (1911-2003) et le père bénédictin Belge Jacques Dupont, probables responsables de l'acceptation de la formule. Il semblerait qu'elle ait été utilisée la première fois par un "anonyme protestant" en 1922. Elle apparaît pour la première fois dans la traduction de la Bible (dite du Centenaire ) éditée à partir de 1916 par la (à l'occasion de son centenaire). Plus précisément dans l'Évangile selon Matthieu (6,13), traduit par Maurice Goguel et publié en 1928. La traduction de cette formule est un sujet de débat au sein des Églises catholique et orthodoxe francophone. Certains orthodoxes ont tranché récemment et renoncé en 2004 à la traduction œcuménique. Le livre de J-M Gourvil, orthodoxe, présente les questions posées par la traduction œcuménique de la 6e demande. L'idée que Dieu pourrait vouloir tenter une personne pour la faire pécher paraît critiquable à certains théologiens. Finalement, le 12 juillet 2013, le Vatican approuve la publication d'une nouvelle traduction en français de la Bible liturgique, où la formule est désormais : « Et ne nous laisse pas entrer en tentation ». Cette traduction est effective dans la liturgie depuis le premier dimanche de l'Avent 2017. (fr)
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- Ne nous soumets pas à la tentation est la sixième demande et avant-dernier verset du Notre Père, dans sa traduction française dite « œcuménique » employée par les chrétiens de 1966 à 2017. Elle est le fruit d'une commission liturgique œcuménique francophone réunie en 1965, à laquelle participèrent le pasteur lausannois Pierre Bonnard (1911-2003) et le père bénédictin Belge Jacques Dupont, probables responsables de l'acceptation de la formule. Il semblerait qu'elle ait été utilisée la première fois par un "anonyme protestant" en 1922. Elle apparaît pour la première fois dans la traduction de la Bible (dite du Centenaire ) éditée à partir de 1916 par la (à l'occasion de son centenaire). Plus précisément dans l'Évangile selon Matthieu (6,13), traduit par Maurice Goguel et publié en 1928. La (fr)
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