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- La mort de Napoléon Ier survient le 5 mai 1821 à Longwood sur l’île de Sainte-Hélène, durant son exil, à l'âge de 51 ans. Sa mort est due à un cancer de l'estomac, résultant d'une aggravation d'un ulcère. À partir des années 1950, certains auteurs ont contesté cette version, et ont proposé une cause d'origine criminelle à la suite d'un empoisonnement à l'arsenic. Cette thèse est réfutée par les historiens spécialistes de Napoléon Ier. (fr)
- La mort de Napoléon Ier survient le 5 mai 1821 à Longwood sur l’île de Sainte-Hélène, durant son exil, à l'âge de 51 ans. Sa mort est due à un cancer de l'estomac, résultant d'une aggravation d'un ulcère. À partir des années 1950, certains auteurs ont contesté cette version, et ont proposé une cause d'origine criminelle à la suite d'un empoisonnement à l'arsenic. Cette thèse est réfutée par les historiens spécialistes de Napoléon Ier. (fr)
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prop-fr:texte
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- Extrait du rapport des médecins, après l’autopsie du corps de Napoléon.
« À la première apparence, le corps paraissait très-gras, ce qui fut confirmé par une incision pratiquée vers le bas-ventre, où la graisse qui couvrait l’abdomen avait plus d’un pouce et demi d’épaisseur. Les poumons étaient très-sains ; le cœur était de la grandeur naturelle, mais revêtu d’une forte couche de graisse ; les oreillettes et les ventricules n’avaient rien d’extraordinaire, si ce n’est que les parties musculaires paraissaient plus pâles qu’elles ne devaient l’être.
« En ouvrant l’abdomen, on vit que la coiffe qui couvre les boyaux était extrêmement grasse ; en examinant l’estomac, on s’aperçut que ce viscère était le siège d’une grande maladie : de fortes adhésions liaient toute la surface supérieure, surtout vers l’extrémité du pylore jusqu’à la surface concave du lobe gauche du foie ; en séparant, ou découvrit qu’un ulcère pénétrait les enveloppes de l’estomac à un pouce du pylore, et qu’il était assez grand pour y passer le petit doigt.
« La surface intérieure de l’estomac, c’est-à-dire presque toute son étendue, présentait une masse d’affection cancéreuse, ou des parties squirreuses se changeant en cancer, l’estomac était presque plein d’un liquide ressemblant à du marc de café.
La surface convexe du côté gauche adhérait au diaphragme ; à l’exception des adhésions occasionnées par la maladie de l’estomac, le foie ne présentait rien de malsain.
Le reste des viscères abdominaux était en bon état.
::::« Ont signé :
::::Thomas SHORT, premier médecin ; Arch. ARNOTT, médecin du régiment ; Francis BURTON, médecin du régiment ; Chas. MICHELL, médecin de Vigo ; Matthieu LEWINGSTONE, médecin de la compagnie des Indes. ». (fr)
- Cette recommandation s'explique pour deux raisons : . (fr)
- Exemple de la photophobie, crainte de la lumière : ce symptôme ne peut survenir que dans le cadre d'un Accident vasculaire cérébral du à l'arsenic ; or aucun argument ne permet de retrouver un AVC chez le prisonnier de Longwood. Autre exemple : la sensation de pied froid est une paresthésie qui ne survient qu'en cas de neuropathie, s'accompagnant toujours d'une insensibilité que n'avait pas Napoléon . (fr)
- Réalisé à partir d'un griffonnage du général Bertrand pour le placement des différents acteurs, le tableau montre au premier plan ce général , sa femme et ses enfants, ainsi que le valet et garde du corps Jean-Abraham Noverraz agenouillé. À droite du lit, le premier valet Louis Marchand et le mamelouk Ali. À l'extrême droite, le général Montholon et l'officier de service le capitaine William Crokat. (fr)
- Extrait du rapport des médecins, après l’autopsie du corps de Napoléon.
« À la première apparence, le corps paraissait très-gras, ce qui fut confirmé par une incision pratiquée vers le bas-ventre, où la graisse qui couvrait l’abdomen avait plus d’un pouce et demi d’épaisseur. Les poumons étaient très-sains ; le cœur était de la grandeur naturelle, mais revêtu d’une forte couche de graisse ; les oreillettes et les ventricules n’avaient rien d’extraordinaire, si ce n’est que les parties musculaires paraissaient plus pâles qu’elles ne devaient l’être.
« En ouvrant l’abdomen, on vit que la coiffe qui couvre les boyaux était extrêmement grasse ; en examinant l’estomac, on s’aperçut que ce viscère était le siège d’une grande maladie : de fortes adhésions liaient toute la surface supérieure, surtout vers l’extrémité du pylore jusqu’à la surface concave du lobe gauche du foie ; en séparant, ou découvrit qu’un ulcère pénétrait les enveloppes de l’estomac à un pouce du pylore, et qu’il était assez grand pour y passer le petit doigt.
« La surface intérieure de l’estomac, c’est-à-dire presque toute son étendue, présentait une masse d’affection cancéreuse, ou des parties squirreuses se changeant en cancer, l’estomac était presque plein d’un liquide ressemblant à du marc de café.
La surface convexe du côté gauche adhérait au diaphragme ; à l’exception des adhésions occasionnées par la maladie de l’estomac, le foie ne présentait rien de malsain.
Le reste des viscères abdominaux était en bon état.
::::« Ont signé :
::::Thomas SHORT, premier médecin ; Arch. ARNOTT, médecin du régiment ; Francis BURTON, médecin du régiment ; Chas. MICHELL, médecin de Vigo ; Matthieu LEWINGSTONE, médecin de la compagnie des Indes. ». (fr)
- Cette recommandation s'explique pour deux raisons : . (fr)
- Exemple de la photophobie, crainte de la lumière : ce symptôme ne peut survenir que dans le cadre d'un Accident vasculaire cérébral du à l'arsenic ; or aucun argument ne permet de retrouver un AVC chez le prisonnier de Longwood. Autre exemple : la sensation de pied froid est une paresthésie qui ne survient qu'en cas de neuropathie, s'accompagnant toujours d'une insensibilité que n'avait pas Napoléon . (fr)
- Réalisé à partir d'un griffonnage du général Bertrand pour le placement des différents acteurs, le tableau montre au premier plan ce général , sa femme et ses enfants, ainsi que le valet et garde du corps Jean-Abraham Noverraz agenouillé. À droite du lit, le premier valet Louis Marchand et le mamelouk Ali. À l'extrême droite, le général Montholon et l'officier de service le capitaine William Crokat. (fr)
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- La mort de Napoléon Ier survient le 5 mai 1821 à Longwood sur l’île de Sainte-Hélène, durant son exil, à l'âge de 51 ans. Sa mort est due à un cancer de l'estomac, résultant d'une aggravation d'un ulcère. À partir des années 1950, certains auteurs ont contesté cette version, et ont proposé une cause d'origine criminelle à la suite d'un empoisonnement à l'arsenic. Cette thèse est réfutée par les historiens spécialistes de Napoléon Ier. (fr)
- La mort de Napoléon Ier survient le 5 mai 1821 à Longwood sur l’île de Sainte-Hélène, durant son exil, à l'âge de 51 ans. Sa mort est due à un cancer de l'estomac, résultant d'une aggravation d'un ulcère. À partir des années 1950, certains auteurs ont contesté cette version, et ont proposé une cause d'origine criminelle à la suite d'un empoisonnement à l'arsenic. Cette thèse est réfutée par les historiens spécialistes de Napoléon Ier. (fr)
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