De même que la morphopsychologie, la morphobiologie est considérée comme une pseudo-science. L’objet des recherches de la morphobiologie, discipline développée en 2000 par Jean-Marie Lepeltier et Christophe Drouet, est de déduire, à partir de sa seule morphologie, le mode de développement et le type de « comportement » propre à tout organisme vivant. À partir d’un code universel, la morphobiologie incorpore tous les êtres cellulaires du règne végétal et animal. En effet, la cellule est, selon l’expression de Claude Bernard : « l’unité de structure de tous les êtres vivants » ; il précisait : « la cellule (est) identique dans les deux règnes, chez l’animal comme chez le végétal », ou encore : « aucune différence essentielle n’existe entre les manifestations vitales des éléments organiques,

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  • De même que la morphopsychologie, la morphobiologie est considérée comme une pseudo-science. L’objet des recherches de la morphobiologie, discipline développée en 2000 par Jean-Marie Lepeltier et Christophe Drouet, est de déduire, à partir de sa seule morphologie, le mode de développement et le type de « comportement » propre à tout organisme vivant. À partir d’un code universel, la morphobiologie incorpore tous les êtres cellulaires du règne végétal et animal. En effet, la cellule est, selon l’expression de Claude Bernard : « l’unité de structure de tous les êtres vivants » ; il précisait : « la cellule (est) identique dans les deux règnes, chez l’animal comme chez le végétal », ou encore : « aucune différence essentielle n’existe entre les manifestations vitales des éléments organiques, animaux et végétaux ». (Extrait de : Leçon sur les phénomènes de la vie, communs aux animaux et aux végétaux – Paris, 1878). La morphobiologie inaugure ainsi l’étude de la signification des formes de tous les organismes vivants. La morphobiologie devient "morphopsychologie" lorsqu'elle s'applique au genre humain. La morphobiologie conduit à la morphogenèse, discipline développée en 2008 par Samuel VALLEE et Benoit HUGUENIN. Elle est une introduction à la morphogénétique, donnant naissance par la suite à la psychométrie faciale ou Morphologisme. Elle consiste à analyser en surface l'évolution des cellules épidermiques du visage, puis à un niveau d’étude plus global, la recherche des bases biologiques liés aux comportements humains. Le Morphogénétique permet de déduire, à partir de la morphologie cellulaire (forme, taille), le mode de développement et le type de comportement propre à l'homme. À partir d’un code universel décrypté et breveté, l'analyse de la psychologie comportementale par cette méthode est un segment psychographique utilisé aujourd’hui couramment dans les stratégies marketing en tant qu'indicateur marketing dit "intelligent". Le terme « Morphobiologie » a été déposé en 1990. (fr)
  • De même que la morphopsychologie, la morphobiologie est considérée comme une pseudo-science. L’objet des recherches de la morphobiologie, discipline développée en 2000 par Jean-Marie Lepeltier et Christophe Drouet, est de déduire, à partir de sa seule morphologie, le mode de développement et le type de « comportement » propre à tout organisme vivant. À partir d’un code universel, la morphobiologie incorpore tous les êtres cellulaires du règne végétal et animal. En effet, la cellule est, selon l’expression de Claude Bernard : « l’unité de structure de tous les êtres vivants » ; il précisait : « la cellule (est) identique dans les deux règnes, chez l’animal comme chez le végétal », ou encore : « aucune différence essentielle n’existe entre les manifestations vitales des éléments organiques, animaux et végétaux ». (Extrait de : Leçon sur les phénomènes de la vie, communs aux animaux et aux végétaux – Paris, 1878). La morphobiologie inaugure ainsi l’étude de la signification des formes de tous les organismes vivants. La morphobiologie devient "morphopsychologie" lorsqu'elle s'applique au genre humain. La morphobiologie conduit à la morphogenèse, discipline développée en 2008 par Samuel VALLEE et Benoit HUGUENIN. Elle est une introduction à la morphogénétique, donnant naissance par la suite à la psychométrie faciale ou Morphologisme. Elle consiste à analyser en surface l'évolution des cellules épidermiques du visage, puis à un niveau d’étude plus global, la recherche des bases biologiques liés aux comportements humains. Le Morphogénétique permet de déduire, à partir de la morphologie cellulaire (forme, taille), le mode de développement et le type de comportement propre à l'homme. À partir d’un code universel décrypté et breveté, l'analyse de la psychologie comportementale par cette méthode est un segment psychographique utilisé aujourd’hui couramment dans les stratégies marketing en tant qu'indicateur marketing dit "intelligent". Le terme « Morphobiologie » a été déposé en 1990. (fr)
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  • De même que la morphopsychologie, la morphobiologie est considérée comme une pseudo-science. L’objet des recherches de la morphobiologie, discipline développée en 2000 par Jean-Marie Lepeltier et Christophe Drouet, est de déduire, à partir de sa seule morphologie, le mode de développement et le type de « comportement » propre à tout organisme vivant. À partir d’un code universel, la morphobiologie incorpore tous les êtres cellulaires du règne végétal et animal. En effet, la cellule est, selon l’expression de Claude Bernard : « l’unité de structure de tous les êtres vivants » ; il précisait : « la cellule (est) identique dans les deux règnes, chez l’animal comme chez le végétal », ou encore : « aucune différence essentielle n’existe entre les manifestations vitales des éléments organiques, (fr)
  • De même que la morphopsychologie, la morphobiologie est considérée comme une pseudo-science. L’objet des recherches de la morphobiologie, discipline développée en 2000 par Jean-Marie Lepeltier et Christophe Drouet, est de déduire, à partir de sa seule morphologie, le mode de développement et le type de « comportement » propre à tout organisme vivant. À partir d’un code universel, la morphobiologie incorpore tous les êtres cellulaires du règne végétal et animal. En effet, la cellule est, selon l’expression de Claude Bernard : « l’unité de structure de tous les êtres vivants » ; il précisait : « la cellule (est) identique dans les deux règnes, chez l’animal comme chez le végétal », ou encore : « aucune différence essentielle n’existe entre les manifestations vitales des éléments organiques, (fr)
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  • Morphobiologie (fr)
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