Matthaeus Zuber (né en 1570 à Neubourg-sur-le-Danube et mort le 19 février 1623 à Nuremberg) est un poète latin. Il fut couronné par l'université de Heidelberg. Nommé, en 1616, professeur de poésie au collège de Sulzbach, il quitta cette place en 1619 et vint s'établir à Nuremberg, où il mourut le 19 février 1623. Will dit de lui, dans son Dictionnaire des savants de Nuremberg, t. 4 : « Zuber connaissait parfaitement la poésie latine et grecque. Pour les épigrammes, on le met à côté de Martial et d'Ovide. Si l'on ne voyait point son nom en tête de ses poésies grecques, on croirait qu'elles sont d'Homère, d'Hésiode ou de quelque autre parmi les anciens. Quant à la prosodie ou à la mesure des syllabes, il fait autorité autant que les anciens classiques. »

Property Value
dbo:abstract
  • Matthaeus Zuber (né en 1570 à Neubourg-sur-le-Danube et mort le 19 février 1623 à Nuremberg) est un poète latin. Il fut couronné par l'université de Heidelberg. Nommé, en 1616, professeur de poésie au collège de Sulzbach, il quitta cette place en 1619 et vint s'établir à Nuremberg, où il mourut le 19 février 1623. Will dit de lui, dans son Dictionnaire des savants de Nuremberg, t. 4 : « Zuber connaissait parfaitement la poésie latine et grecque. Pour les épigrammes, on le met à côté de Martial et d'Ovide. Si l'on ne voyait point son nom en tête de ses poésies grecques, on croirait qu'elles sont d'Homère, d'Hésiode ou de quelque autre parmi les anciens. Quant à la prosodie ou à la mesure des syllabes, il fait autorité autant que les anciens classiques. » (fr)
  • Matthaeus Zuber (né en 1570 à Neubourg-sur-le-Danube et mort le 19 février 1623 à Nuremberg) est un poète latin. Il fut couronné par l'université de Heidelberg. Nommé, en 1616, professeur de poésie au collège de Sulzbach, il quitta cette place en 1619 et vint s'établir à Nuremberg, où il mourut le 19 février 1623. Will dit de lui, dans son Dictionnaire des savants de Nuremberg, t. 4 : « Zuber connaissait parfaitement la poésie latine et grecque. Pour les épigrammes, on le met à côté de Martial et d'Ovide. Si l'on ne voyait point son nom en tête de ses poésies grecques, on croirait qu'elles sont d'Homère, d'Hésiode ou de quelque autre parmi les anciens. Quant à la prosodie ou à la mesure des syllabes, il fait autorité autant que les anciens classiques. » (fr)
dbo:birthPlace
dbo:deathPlace
dbo:occupation
dbo:wikiPageExternalLink
dbo:wikiPageID
  • 1193548 (xsd:integer)
dbo:wikiPageLength
  • 2597 (xsd:nonNegativeInteger)
dbo:wikiPageRevisionID
  • 187730349 (xsd:integer)
dbo:wikiPageWikiLink
prop-fr:année
  • 1888 (xsd:integer)
prop-fr:auteur
prop-fr:langue
  • nl (fr)
  • nl (fr)
prop-fr:lieu
prop-fr:lireEnLigne
prop-fr:page
  • 554 (xsd:integer)
prop-fr:titreChapitre
  • Zuber (fr)
  • Zuber (fr)
prop-fr:titreOuvrage
prop-fr:volume
  • 15 (xsd:integer)
prop-fr:wikiPageUsesTemplate
prop-fr:éditeur
dct:subject
rdf:type
rdfs:comment
  • Matthaeus Zuber (né en 1570 à Neubourg-sur-le-Danube et mort le 19 février 1623 à Nuremberg) est un poète latin. Il fut couronné par l'université de Heidelberg. Nommé, en 1616, professeur de poésie au collège de Sulzbach, il quitta cette place en 1619 et vint s'établir à Nuremberg, où il mourut le 19 février 1623. Will dit de lui, dans son Dictionnaire des savants de Nuremberg, t. 4 : « Zuber connaissait parfaitement la poésie latine et grecque. Pour les épigrammes, on le met à côté de Martial et d'Ovide. Si l'on ne voyait point son nom en tête de ses poésies grecques, on croirait qu'elles sont d'Homère, d'Hésiode ou de quelque autre parmi les anciens. Quant à la prosodie ou à la mesure des syllabes, il fait autorité autant que les anciens classiques. » (fr)
  • Matthaeus Zuber (né en 1570 à Neubourg-sur-le-Danube et mort le 19 février 1623 à Nuremberg) est un poète latin. Il fut couronné par l'université de Heidelberg. Nommé, en 1616, professeur de poésie au collège de Sulzbach, il quitta cette place en 1619 et vint s'établir à Nuremberg, où il mourut le 19 février 1623. Will dit de lui, dans son Dictionnaire des savants de Nuremberg, t. 4 : « Zuber connaissait parfaitement la poésie latine et grecque. Pour les épigrammes, on le met à côté de Martial et d'Ovide. Si l'on ne voyait point son nom en tête de ses poésies grecques, on croirait qu'elles sont d'Homère, d'Hésiode ou de quelque autre parmi les anciens. Quant à la prosodie ou à la mesure des syllabes, il fait autorité autant que les anciens classiques. » (fr)
rdfs:label
  • Matthaeus Zuber (fr)
  • Matthaeus Zuber (fr)
rdfs:seeAlso
owl:sameAs
prov:wasDerivedFrom
foaf:isPrimaryTopicOf
is dbo:wikiPageDisambiguates of
is dbo:wikiPageWikiLink of
is oa:hasTarget of
is foaf:primaryTopic of