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- --03-07
- La « commanderie de Lestang » sur la carte de Cassini. . (fr)
- Émile Bonnet mentionne la métairie de Saint-André-de-Sétenières sur la route de Pézenas à Faugères. Il s'agit de Saint-Andrieu, anciennement « St-André » sur la carte de Cassini, . L'église Saint-André de Sethenières est clairement indiquée sur une carte publiée par le professeur d'histoire médiévale Jean-Loup Abbé en 2006. (fr)
- Il n'y a aucun autre ouvrage ni document source pour étayer cette assertion. Boussargues appartenait à cette époque aux maisons d'Aigaliers et de Banne. (fr)
- La Bruyère, commune de Saint-Christol (Hérault), située à l'Est de Saint-Geniès-des-Mourgues pour Emile Bonnet ou le Mas de Bruyère, commune de Montoulieu (Hérault) selon Trudon des Ormes . La deuxième hypothèse paraît moins probable. (fr)
- Capestang n'est pas citée dans lhistoire du diocèse de Montpellier or Capestang est une des plus anciennes donations antérieure à 1115. On trouve un commandeur dès cette année en la personne de frère Géraud puis un prieur hospitalier de Caspestang en 1180 et de nouveau des commandeurs dudit lieu en 1234, 1298 et en 1324. Le domaine de Capestang devient ensuite membre de la commanderie de Grézan. (fr)
- Il s'agit a priori de la commanderie située dans l'Hérault dont dépendaient les biens vendus par Olivier de Termes en 1261. Cette baillie administrait les biens du Temple dans le Narbonnais . Certains auteurs situent cette commanderie près de Bizanet et l'appellent Peyrens ou encore « Peyrusse » . On pourrait penser à deux établissements distincts car les différentes graphies se rapportant à cette ou ces maisons sont les suivantes: « Perreires, Perrerres, Peiroriis, Peirois, Petroriis, Petrosiis, Peiries, Peiriez, Perrers, Perenchis, Peyrouse, Peyrens, Peyreux ». Les tenants d'un lieu-dit disparu du nom de Peyrens à Bizanet l'associant au Pech de Pézès au sud de la commune. . Cependant l'argumentaire développé par Emile Bonnet parait le plus vraisemblable, à savoir une seule commanderie, celle qui se trouvait près de Nissan-lez-Ensérune. (fr)
- Le Campmas a été donné en 1147 aux templiers Pierre de Montlaur et Hugues de Pézenas par Pierre de Lodève. Ce campmas faisait alors partie de la paroisse de Notre-Dame de Ceilhes puis la chapelle qui se trouvait dans l'enceinte castrale fut également donnée en 1181 par l'évêque de Béziers. Les templiers l'érigeront ensuite en paroisse. (fr)
- La donation de l'évêque de Narbonne en 1140 semble avoir été faite aux Hospitaliers pourtant l'auteur de l'article sur Sainte-Marie de Rieux-Minervois fait bien la distinction entre les templiers et les hospitaliers. (fr)
- Impasse de la Nogarède, 09100 Pamiers. (fr)
- Les templiers du Larzac étaient en conflit avec la famille de Roquefeuil dont Le Luc était un fief mouvant. Il y a eu un accord entre les deux parties en 1258 où les templiers semblent obtenir le Luc-Bas. On retrouve le Luc parmi les possessions de la commanderie de Sainte-Eulalie-de-Cernon à l'époque des Hospitaliers. (fr)
- Orles sur la carte de Cassini. (fr)
- Puig-reg fut le chef-lieu de la baillie du Temple en Cerdagne et dans le Berguedà à partir de 1236/39. Baillie dont l'existence est attesté depuis le siècle précédent avec en 1185/88,Roig de Benviure comme commandeur. Auparavant les biens en Cerdagne paraissent dépendre de la commanderie de Palau près de Barcelone. Un inventaire des biens du Temple en Cerdagne a été réalisé entre 1184 et 1189. (fr)
- À l'emplacement supposé de la maison de la Congrégation de la Présentation de Bourg Saint-Andéol avec la porte dites "des templiers". Mention initiale par Amédée de Cesena puis par Jules Verne qui indiquent une maison de Templiers transformée en couvent. Pas de preuves formelles avec pour seul indice peu probant le fait que Florac au diocèse de Mende figure parmi les bénéfices de la commanderie de Cahors en 1690 donc un bien qui aurait pu être dévolu aux hospitaliers en 1312 mais en 1690 cette commanderie appartient à l'ordre royal de Notre-Dame du Mont-Carmel et de Saint-Lazare de Jérusalem. (fr)
- Montfrin était initialement une dépendance de la commanderie de Saint-Gilles qui devint une importante commanderie abritant une communauté d'au moins 6 frères au milieu du . Pourtant le dernier commandeur Pons de Castelbon faisait partie du couvent de Saint-Gilles: « quondam Templarios de commandaria S. Egidii sue dyocesis, videlicet fratres Poncium de Castello-Bono » ; « Frater Poncius de Castello-Bono, serviens Templi conventus S. Egidii, & preceptor de Monte-Frino » . Crise des vocations oblige, Pons de Castelbon n'était pas chevalier mais frère sergent, ce qui peut expliquer la subordination envers Saint-Gilles. (fr)
- Proche de Saint-Felix-de-Valfour , devenue membre de la commanderie de Caignac après sa dévolution aux hospitaliers. (fr)
- Venrella est un toponyme disparu. Laure Verdon puis Damien Carraz l'ont situé à proximité des lieux-dits Petit Astoin et Cabanes-Cambon sur la commune des Saintes-Maries-de-la-Mer. Trudon des Ormes n'était pas parvenu à localiser cette maison du Temple. Les interrogatoires du commandeur et du bouteiller de la domus Templi de Verenrellus ont été publiés par . (fr)
- Ce n'est pas le Mas de la Garrigue près de Rivesaltes, ni celui de la commune de Pollestres ni encore un lieu sur la commune de Millas. La description de la donation faite par Gaufred, comte de Roussillon indique que l'alleu à l'origine de cette maison s'étebdait entre deux chemins, venant de Malloles et de Perpignan jusqu'à Saint-Julien de Vilanova et qu'elle se trouvait près du Réart. Font Couverte est plus près du Réart . Voir aussi le Mas de L'Hospital près des Garrigoles entre Villeneuve-de-la-Raho et Théza qui pourrait en avoir fait partie. (fr)
- Information que l'on trouve dans G. Charvet, Rapport de la Commission chargée de faire exécuter des fouilles archéologiques aux environs de l'établissement thermal des Fumades, 1872. D'après l'interrogatoire du frère Petrus de Petramala en 1310 or celui-ci mentionne simplement le fait qu'il est originaire / natif du château d'Allègre. « oriundum de Castro de Alegrio, dyocesis Uticensis » , . (fr)
- La maison du Temple de Saint-Pierre de Campublic possédait également une maison dans l'enceinte de Beaucaire . Ménard l'a nommée à tort « S.Petri de Bellegarde / Saint-Pierre de Bellegarde » , Trudon des Ormes également dans l'erreur « Saint-Pierre de Bouloc » . (fr)
- Damien Carraz identifie cet honneur de Montagnac comme étant celui près de Saint-Mamert . Ne pas confondre avec l'église et paroisse Saint-Paul de Montagnac qui se trouvaient au nord-est de Montfrin et qui appartenaient également à l'ordre . Il y a peut-être une erreur dans l'index des noms de lieux car il parait plus probable que l'honneur soit aussi celui près de Montfrin? On ne trouve pas trace des Hospitaliers sur la commune de Montagnac dans le Gard après la chute du Temple. (fr)
- Erreur d'identification que l'on trouve chez E-G Léonard mais aussi plus récemment chez Jochen Schenk qui mentionne la donation en 1232 de l'église de Saint-André-de-Sesquier en se basant sur l'Histoire générale de Languedoc et la collection Doat alors qu'il s'agit sans aucun doute de celle de Sethenières. (fr)
- Localisation d'après Damien Carraz qui se base sur les recherches de jacques Rossiaud: « l'île de l'Estel, qui fermait l'étang de Peccais, où les frères avaient sans doute érigé la chapelle Sancta Maria de Astellis. C'est au nord de cet îlot, en bordure du Grau de la Chèvre que Jacques Rossiaud situe l'établissement templier de Nega Romieu, lieu d'accostage comprenant des entrepôts loués à des marchands » . Ce n'est donc ni La Nogarède sur la commune de Soudorgues ni Nogarède, commune de Bragassargues qui étaient du diocèse de Nîmes car cette maison du Temple faisait partie de la baillie de Saint-Gilles, . Ne pas confondre avec la Nougarède en Ariège. Le dernier commandeur de Nega-Romieu s'appelait Guillaume Dieudonné alors que celui de la Nogarède en Ariège se nommait Jean de la Cassagne. (fr)
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