L'organisation Jund al-Haqq (« Les Soldats du droit ») a revendiqué en 1988 et 1989 depuis Beyrouth un enlèvement près de Saïda (Liban) et quatre assassinats à Bruxelles et à Bangkok, ainsi qu'une tentative d'assassinat à Karachi. La nature exacte de ce groupe n'a jamais pu être clairement établie, ni même la réalité de son existence. À l'époque, ses actions ont été imputées au Fatah-Conseil révolutionnaire du palestinien Abou Nidal. Début 2008, les trois assassinats commis à Bruxelles qu'elle avait revendiqués en 1989 ont été attribués à un « réseau Belliraj », du nom d'Abdelkader Belliraj, dont les aveux sont toutefois entachés de suspicion parce qu'obtenus par les autorités marocaines sous la torture.

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  • L'organisation Jund al-Haqq (« Les Soldats du droit ») a revendiqué en 1988 et 1989 depuis Beyrouth un enlèvement près de Saïda (Liban) et quatre assassinats à Bruxelles et à Bangkok, ainsi qu'une tentative d'assassinat à Karachi. La nature exacte de ce groupe n'a jamais pu être clairement établie, ni même la réalité de son existence. À l'époque, ses actions ont été imputées au Fatah-Conseil révolutionnaire du palestinien Abou Nidal. Début 2008, les trois assassinats commis à Bruxelles qu'elle avait revendiqués en 1989 ont été attribués à un « réseau Belliraj », du nom d'Abdelkader Belliraj, dont les aveux sont toutefois entachés de suspicion parce qu'obtenus par les autorités marocaines sous la torture. (fr)
  • L'organisation Jund al-Haqq (« Les Soldats du droit ») a revendiqué en 1988 et 1989 depuis Beyrouth un enlèvement près de Saïda (Liban) et quatre assassinats à Bruxelles et à Bangkok, ainsi qu'une tentative d'assassinat à Karachi. La nature exacte de ce groupe n'a jamais pu être clairement établie, ni même la réalité de son existence. À l'époque, ses actions ont été imputées au Fatah-Conseil révolutionnaire du palestinien Abou Nidal. Début 2008, les trois assassinats commis à Bruxelles qu'elle avait revendiqués en 1989 ont été attribués à un « réseau Belliraj », du nom d'Abdelkader Belliraj, dont les aveux sont toutefois entachés de suspicion parce qu'obtenus par les autorités marocaines sous la torture. (fr)
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  • L'organisation Jund al-Haqq (« Les Soldats du droit ») a revendiqué en 1988 et 1989 depuis Beyrouth un enlèvement près de Saïda (Liban) et quatre assassinats à Bruxelles et à Bangkok, ainsi qu'une tentative d'assassinat à Karachi. La nature exacte de ce groupe n'a jamais pu être clairement établie, ni même la réalité de son existence. À l'époque, ses actions ont été imputées au Fatah-Conseil révolutionnaire du palestinien Abou Nidal. Début 2008, les trois assassinats commis à Bruxelles qu'elle avait revendiqués en 1989 ont été attribués à un « réseau Belliraj », du nom d'Abdelkader Belliraj, dont les aveux sont toutefois entachés de suspicion parce qu'obtenus par les autorités marocaines sous la torture. (fr)
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  • Les Soldats du droit (fr)
  • Soldiers of the Right (en)
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