Le Pont Mirabeau est un poème du poète français Guillaume Apollinaire paru dans le dernier numéro de la revue Les Soirées de Paris en février 1912 puis repris en 1913 dans son recueil Alcools, où il figure en deuxième position entre Zone et La Chanson du mal-aimé. Il traite de la disparition de l'amour avec le passage du temps, dont la métaphore est l'écoulement de la Seine sous le pont Mirabeau, à Paris. Une plaque sur ce dernier reprend aujourd'hui les premiers vers du poème. Ce poème lui a été inspiré par Marie Laurencin, avec qui il a souvent franchi ce pont et avec laquelle il commence une liaison en 1907. L'image de ce pont est liée aux souvenirs des amours du poète. Il dira de ce poème qu'il est comme « la chanson triste de cette longue liaison brisée », dans une lettre adressée à M

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  • Le Pont Mirabeau est un poème du poète français Guillaume Apollinaire paru dans le dernier numéro de la revue Les Soirées de Paris en février 1912 puis repris en 1913 dans son recueil Alcools, où il figure en deuxième position entre Zone et La Chanson du mal-aimé. Il traite de la disparition de l'amour avec le passage du temps, dont la métaphore est l'écoulement de la Seine sous le pont Mirabeau, à Paris. Une plaque sur ce dernier reprend aujourd'hui les premiers vers du poème. Ce poème lui a été inspiré par Marie Laurencin, avec qui il a souvent franchi ce pont et avec laquelle il commence une liaison en 1907. L'image de ce pont est liée aux souvenirs des amours du poète. Il dira de ce poème qu'il est comme « la chanson triste de cette longue liaison brisée », dans une lettre adressée à Madeleine Pagès qu'il épousera en 1915. (fr)
  • Le Pont Mirabeau est un poème du poète français Guillaume Apollinaire paru dans le dernier numéro de la revue Les Soirées de Paris en février 1912 puis repris en 1913 dans son recueil Alcools, où il figure en deuxième position entre Zone et La Chanson du mal-aimé. Il traite de la disparition de l'amour avec le passage du temps, dont la métaphore est l'écoulement de la Seine sous le pont Mirabeau, à Paris. Une plaque sur ce dernier reprend aujourd'hui les premiers vers du poème. Ce poème lui a été inspiré par Marie Laurencin, avec qui il a souvent franchi ce pont et avec laquelle il commence une liaison en 1907. L'image de ce pont est liée aux souvenirs des amours du poète. Il dira de ce poème qu'il est comme « la chanson triste de cette longue liaison brisée », dans une lettre adressée à Madeleine Pagès qu'il épousera en 1915. (fr)
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  • Antoine Aureche (fr)
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  • Les Soirées de Paris, 1912 et Alcool, 1913 (fr)
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  • mediaclasse.fr (fr)
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  • Sous le pont Mirabeau coule la Seine Et nos amours Faut-il qu'il m'en souvienne La joie venait toujours après la peine. Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure Les mains dans les mains restons face à face Tandis que sous Le pont de nos bras passe Des éternels regards l'onde si lasse Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure L'amour s'en va comme cette eau courante L'amour s'en va Comme la vie est lente Et comme l'Espérance est violente Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure Passent les jours et passent les semaines Ni temps passé Ni les amours reviennent Sous le pont Mirabeau coule la Seine Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure (fr)
  • Antoine Aureche (fr)
  • Sous le pont Mirabeau coule la Seine Et nos amours Faut-il qu'il m'en souvienne La joie venait toujours après la peine. Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure Les mains dans les mains restons face à face Tandis que sous Le pont de nos bras passe Des éternels regards l'onde si lasse Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure L'amour s'en va comme cette eau courante L'amour s'en va Comme la vie est lente Et comme l'Espérance est violente Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure Passent les jours et passent les semaines Ni temps passé Ni les amours reviennent Sous le pont Mirabeau coule la Seine Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure (fr)
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  • Antoine_Aureche (fr)
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  • https://www.mediaclasse.fr/lectures/188|titre= Une remarquable analyse (fr)
  • https://upload.wikimedia.org/wikisource/fr/3/3a/LepontMirabeau.ogg|titre=Document où l'on entend Apollinaire lire Le Pont Mirabeau en 1911 enregistré par le linguiste Ferdinand Brunot (fr)
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  • Le Pont Mirabeau est un poème du poète français Guillaume Apollinaire paru dans le dernier numéro de la revue Les Soirées de Paris en février 1912 puis repris en 1913 dans son recueil Alcools, où il figure en deuxième position entre Zone et La Chanson du mal-aimé. Il traite de la disparition de l'amour avec le passage du temps, dont la métaphore est l'écoulement de la Seine sous le pont Mirabeau, à Paris. Une plaque sur ce dernier reprend aujourd'hui les premiers vers du poème. Ce poème lui a été inspiré par Marie Laurencin, avec qui il a souvent franchi ce pont et avec laquelle il commence une liaison en 1907. L'image de ce pont est liée aux souvenirs des amours du poète. Il dira de ce poème qu'il est comme « la chanson triste de cette longue liaison brisée », dans une lettre adressée à M (fr)
  • Le Pont Mirabeau est un poème du poète français Guillaume Apollinaire paru dans le dernier numéro de la revue Les Soirées de Paris en février 1912 puis repris en 1913 dans son recueil Alcools, où il figure en deuxième position entre Zone et La Chanson du mal-aimé. Il traite de la disparition de l'amour avec le passage du temps, dont la métaphore est l'écoulement de la Seine sous le pont Mirabeau, à Paris. Une plaque sur ce dernier reprend aujourd'hui les premiers vers du poème. Ce poème lui a été inspiré par Marie Laurencin, avec qui il a souvent franchi ce pont et avec laquelle il commence une liaison en 1907. L'image de ce pont est liée aux souvenirs des amours du poète. Il dira de ce poème qu'il est comme « la chanson triste de cette longue liaison brisée », dans une lettre adressée à M (fr)
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  • Le Pont Mirabeau (fr)
  • Міст Мірабо (поезія) (uk)
  • ミラボー橋 (詩) (ja)
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