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- Le Juif errant est un roman français d’Eugène Sue publié en feuilleton dans Le Constitutionnel du 25 juin 1844 au 26 août 1845 puis en volume de 1844 à 1845 chez Paulin à Paris. Ce livre est l'un des plus grands succès de librairie du XIXe siècle, le second de Sue après Les Mystères de Paris. Le titre du Juif errant est cependant trompeur puisqu’il ne constitue pas le sujet du roman. Celui-ci n’est, à proprement parler, que la puissance tutélaire qui, aidé de son homologue féminin, Hérodiade, s’efforce d’être l'ange gardien des héritiers, qui sont en outre les derniers descendants d’un protestant que la Compagnie de Jésus avait acculé au suicide. Relatant les intrigues menées par les Jésuites pour s’emparer de ce fabuleux héritage, le roman, qui se termine sur la fin des souffrances du Juif errant et d’Hérodiade, est, entre autres, un réquisitoire contre le fanatisme et l’intolérance religieuse. Publié à l’époque du débat autour de l’enseignement secondaire, il suscita une véritable « jésuitophobie ». Avec ce roman de 800 pages, le nombre des abonnés du Constitutionnel passa de 3 600 à 23 600. (fr)
- Le Juif errant est un roman français d’Eugène Sue publié en feuilleton dans Le Constitutionnel du 25 juin 1844 au 26 août 1845 puis en volume de 1844 à 1845 chez Paulin à Paris. Ce livre est l'un des plus grands succès de librairie du XIXe siècle, le second de Sue après Les Mystères de Paris. Le titre du Juif errant est cependant trompeur puisqu’il ne constitue pas le sujet du roman. Celui-ci n’est, à proprement parler, que la puissance tutélaire qui, aidé de son homologue féminin, Hérodiade, s’efforce d’être l'ange gardien des héritiers, qui sont en outre les derniers descendants d’un protestant que la Compagnie de Jésus avait acculé au suicide. Relatant les intrigues menées par les Jésuites pour s’emparer de ce fabuleux héritage, le roman, qui se termine sur la fin des souffrances du Juif errant et d’Hérodiade, est, entre autres, un réquisitoire contre le fanatisme et l’intolérance religieuse. Publié à l’époque du débat autour de l’enseignement secondaire, il suscita une véritable « jésuitophobie ». Avec ce roman de 800 pages, le nombre des abonnés du Constitutionnel passa de 3 600 à 23 600. (fr)
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- Ellen Constans et Jean-Claude Vareille (fr)
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- préface et chronologie de Francis Lacassin (fr)
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- Édition illustrée par Gavarni, 1851. (fr)
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- l'Imaginaire des crimes des Jésuites dans Le Juif errant d'Eugène Sue (fr)
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- actes du colloque international de mai 1992 à Limoges (fr)
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- Le Juif errant (fr)
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- Victimes d'une sourde machination de mauvais prêtres (fr)
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- Crime et châtiment dans le roman populaire de langue française du (fr)
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- Le Juif errant est un roman français d’Eugène Sue publié en feuilleton dans Le Constitutionnel du 25 juin 1844 au 26 août 1845 puis en volume de 1844 à 1845 chez Paulin à Paris. Ce livre est l'un des plus grands succès de librairie du XIXe siècle, le second de Sue après Les Mystères de Paris. Le titre du Juif errant est cependant trompeur puisqu’il ne constitue pas le sujet du roman. Celui-ci n’est, à proprement parler, que la puissance tutélaire qui, aidé de son homologue féminin, Hérodiade, s’efforce d’être l'ange gardien des héritiers, qui sont en outre les derniers descendants d’un protestant que la Compagnie de Jésus avait acculé au suicide. Relatant les intrigues menées par les Jésuites pour s’emparer de ce fabuleux héritage, le roman, qui se termine sur la fin des souffrances du Jui (fr)
- Le Juif errant est un roman français d’Eugène Sue publié en feuilleton dans Le Constitutionnel du 25 juin 1844 au 26 août 1845 puis en volume de 1844 à 1845 chez Paulin à Paris. Ce livre est l'un des plus grands succès de librairie du XIXe siècle, le second de Sue après Les Mystères de Paris. Le titre du Juif errant est cependant trompeur puisqu’il ne constitue pas le sujet du roman. Celui-ci n’est, à proprement parler, que la puissance tutélaire qui, aidé de son homologue féminin, Hérodiade, s’efforce d’être l'ange gardien des héritiers, qui sont en outre les derniers descendants d’un protestant que la Compagnie de Jésus avait acculé au suicide. Relatant les intrigues menées par les Jésuites pour s’emparer de ce fabuleux héritage, le roman, qui se termine sur la fin des souffrances du Jui (fr)
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