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- La Bibliothèque, la nuit est un essai d'Alberto Manguel paru aux éditions Actes Sud en 2006. Alberto Manguel écrit cet ouvrage en 2006 en langue anglaise sous le titre The Library at Night. L’ouvrage est traduit en français la même année par Christine Le Bœuf. Dans cet essai, l’auteur nous fait part de ses réflexions et de ses perceptions personnelles autour des bibliothèques. Il utilise de nombreuses références. Son ouvrage est très documenté. À l'époque de l'écriture de cet ouvrage, Alberto Manguel vit dans la région du Poitou en France, région dans laquelle il installe sa bibliothèque personnelle riche de plus de 30 000 ouvrages. La création de cette bibliothèque est le point de départ d'une réflexion personnelle pour l'auteur. L'ouvrage La bibliothèque, la nuit découle de celle-ci. Le paragraphe qui suit semble contenir un travail inédit ou des déclarations non vérifiées (août 2012). Vous pouvez aider en ajoutant des références ou en supprimant le contenu inédit. Voir la page de discussion pour plus de détails. Alberto Manguel, passionné des bibliothèques, fait part de ses questionnements et réflexions sur quinze éléments qui définissent selon lui une bibliothèque : un mythe, un ordre, un espace, un pouvoir, une ombre, une forme, un hasard, un cabinet de travail, une intelligence, une île, la survie, l’oubli, l’imagination, une identité et enfin une demeure. Les bibliothèques sont des constructions matérielles et mentales qui amènent une réflexion notamment sur la lecture, le classement, la mémoire et l’architecture. Pour l'essayiste, il n’y a pas une mais bien plusieurs façons de penser les bibliothèques. L'auteur exprime son point de vue sur cette question. Il aborde aussi le fonctionnement de sa bibliothèque privée. Sa réflexion est nourrie d’une grande diversité d’exemples. L'écrivain écrit à propos de l'histoire, de la philosophie, des bibliothèques privées, des bibliothèques publiques, etc. Nous avons sélectionné une citation de la quatrième de couverture qui explique très bien ce point de vue : « Qu’elle soit constituée de quelques livres ou de volumes par milliers, qu’elle obéisse à une classification rigoureuse ou aléatoire, qu’elle soit « de Montaigne » ou d’Alexandrie, qu’on veuille la détruire (comme si près de nous à Sarajevo, à Kaboul, à Bagdad) ou l’ériger, qu’elle soit mentale, comme chez Jorge Luis Borges, ou institutionnalisée – avec heures d’ouvertures et réglementations –, qu’elle ait pour résidence de vastes bâtiments aux allures de nefs ou de temples ou qu’elle joue les passagères clandestines dans des cartons, entre deux déménagements, que les livres qui la composent soient alignés sur des étagères de bois blanc ou d’acajou massif, qu’est-ce qu’une bibliothèque, sinon l’éternelle compagne de tout lecteur – son rêve le plus cher ? ». (fr)
- La Bibliothèque, la nuit est un essai d'Alberto Manguel paru aux éditions Actes Sud en 2006. Alberto Manguel écrit cet ouvrage en 2006 en langue anglaise sous le titre The Library at Night. L’ouvrage est traduit en français la même année par Christine Le Bœuf. Dans cet essai, l’auteur nous fait part de ses réflexions et de ses perceptions personnelles autour des bibliothèques. Il utilise de nombreuses références. Son ouvrage est très documenté. À l'époque de l'écriture de cet ouvrage, Alberto Manguel vit dans la région du Poitou en France, région dans laquelle il installe sa bibliothèque personnelle riche de plus de 30 000 ouvrages. La création de cette bibliothèque est le point de départ d'une réflexion personnelle pour l'auteur. L'ouvrage La bibliothèque, la nuit découle de celle-ci. Le paragraphe qui suit semble contenir un travail inédit ou des déclarations non vérifiées (août 2012). Vous pouvez aider en ajoutant des références ou en supprimant le contenu inédit. Voir la page de discussion pour plus de détails. Alberto Manguel, passionné des bibliothèques, fait part de ses questionnements et réflexions sur quinze éléments qui définissent selon lui une bibliothèque : un mythe, un ordre, un espace, un pouvoir, une ombre, une forme, un hasard, un cabinet de travail, une intelligence, une île, la survie, l’oubli, l’imagination, une identité et enfin une demeure. Les bibliothèques sont des constructions matérielles et mentales qui amènent une réflexion notamment sur la lecture, le classement, la mémoire et l’architecture. Pour l'essayiste, il n’y a pas une mais bien plusieurs façons de penser les bibliothèques. L'auteur exprime son point de vue sur cette question. Il aborde aussi le fonctionnement de sa bibliothèque privée. Sa réflexion est nourrie d’une grande diversité d’exemples. L'écrivain écrit à propos de l'histoire, de la philosophie, des bibliothèques privées, des bibliothèques publiques, etc. Nous avons sélectionné une citation de la quatrième de couverture qui explique très bien ce point de vue : « Qu’elle soit constituée de quelques livres ou de volumes par milliers, qu’elle obéisse à une classification rigoureuse ou aléatoire, qu’elle soit « de Montaigne » ou d’Alexandrie, qu’on veuille la détruire (comme si près de nous à Sarajevo, à Kaboul, à Bagdad) ou l’ériger, qu’elle soit mentale, comme chez Jorge Luis Borges, ou institutionnalisée – avec heures d’ouvertures et réglementations –, qu’elle ait pour résidence de vastes bâtiments aux allures de nefs ou de temples ou qu’elle joue les passagères clandestines dans des cartons, entre deux déménagements, que les livres qui la composent soient alignés sur des étagères de bois blanc ou d’acajou massif, qu’est-ce qu’une bibliothèque, sinon l’éternelle compagne de tout lecteur – son rêve le plus cher ? ». (fr)
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