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- Le kobyz ou kopuz est un nom générique donné par les sociétés pastorales nomades des régions turco-mongoles, y compris l'Ouzbékistan, à divers instruments de musique traditionnelle d'Asie centrale :
* la vièle kyl-kobyz ou kyl kyyak (« kobyz ou kyyak à crin de cheval ») des Kazakhs, des Kirghizes et des Ouzbeks (kyl peut être traduit par « crin de cheval »), fait de noyer ou bouleau, d'une seule pièce, mesurant de 70-80 cm (à plus d'un mètre autrefois) ;
* le luth (koms/xomys khakasse, komuz kirghize) ;
* la guimbarde (aman-xuur mongole, xomus touva, yakoute, komuz kirghize, shan-kobyz kazakh)
* le xyl-xomus (touva) ;
* le tambour (kobuz altaïen). Ces instruments avaient une connotation sacrée et magique du fait de leurs usages par les musiciens chamans lors de communication avec les esprits, d'exorcisme de maladies et de prémonitions. La légende veut que le premier kobyz ait été inventé par Korkyt Ata, le premier de tous les chamanes, pour repousser la mort qui ne pouvait le prendre tant qu'il en jouait, tant la musique charmait tous les êtres de la création. La vièle étant le plus important de ces instruments aux yeux des natifs, c'est de ce kobyz qu'il sera traité ici (à comparer avec la kobza, la cobza et le sorud). (fr)
- Le kobyz ou kopuz est un nom générique donné par les sociétés pastorales nomades des régions turco-mongoles, y compris l'Ouzbékistan, à divers instruments de musique traditionnelle d'Asie centrale :
* la vièle kyl-kobyz ou kyl kyyak (« kobyz ou kyyak à crin de cheval ») des Kazakhs, des Kirghizes et des Ouzbeks (kyl peut être traduit par « crin de cheval »), fait de noyer ou bouleau, d'une seule pièce, mesurant de 70-80 cm (à plus d'un mètre autrefois) ;
* le luth (koms/xomys khakasse, komuz kirghize) ;
* la guimbarde (aman-xuur mongole, xomus touva, yakoute, komuz kirghize, shan-kobyz kazakh)
* le xyl-xomus (touva) ;
* le tambour (kobuz altaïen). Ces instruments avaient une connotation sacrée et magique du fait de leurs usages par les musiciens chamans lors de communication avec les esprits, d'exorcisme de maladies et de prémonitions. La légende veut que le premier kobyz ait été inventé par Korkyt Ata, le premier de tous les chamanes, pour repousser la mort qui ne pouvait le prendre tant qu'il en jouait, tant la musique charmait tous les êtres de la création. La vièle étant le plus important de ces instruments aux yeux des natifs, c'est de ce kobyz qu'il sera traité ici (à comparer avec la kobza, la cobza et le sorud). (fr)
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- Le kobyz ou kopuz est un nom générique donné par les sociétés pastorales nomades des régions turco-mongoles, y compris l'Ouzbékistan, à divers instruments de musique traditionnelle d'Asie centrale :
* la vièle kyl-kobyz ou kyl kyyak (« kobyz ou kyyak à crin de cheval ») des Kazakhs, des Kirghizes et des Ouzbeks (kyl peut être traduit par « crin de cheval »), fait de noyer ou bouleau, d'une seule pièce, mesurant de 70-80 cm (à plus d'un mètre autrefois) ;
* le luth (koms/xomys khakasse, komuz kirghize) ;
* la guimbarde (aman-xuur mongole, xomus touva, yakoute, komuz kirghize, shan-kobyz kazakh)
* le xyl-xomus (touva) ;
* le tambour (kobuz altaïen). (fr)
- Le kobyz ou kopuz est un nom générique donné par les sociétés pastorales nomades des régions turco-mongoles, y compris l'Ouzbékistan, à divers instruments de musique traditionnelle d'Asie centrale :
* la vièle kyl-kobyz ou kyl kyyak (« kobyz ou kyyak à crin de cheval ») des Kazakhs, des Kirghizes et des Ouzbeks (kyl peut être traduit par « crin de cheval »), fait de noyer ou bouleau, d'une seule pièce, mesurant de 70-80 cm (à plus d'un mètre autrefois) ;
* le luth (koms/xomys khakasse, komuz kirghize) ;
* la guimbarde (aman-xuur mongole, xomus touva, yakoute, komuz kirghize, shan-kobyz kazakh)
* le xyl-xomus (touva) ;
* le tambour (kobuz altaïen). (fr)
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