José Gregorio Diaz Mirabal, est un leader amérindien, membre du peuple Wakuenai Kurripaco (une ethnie amazonienne transfrontalière, répartie entre le Venezuela, le Brésil et la Colombie), né au Venezuela, élu pour deux ans coordonnateur de la  Coordination des organisations autochtones du bassin amazonien (COICA, basée à Quito en Équateur), congrès qui représentait (en 2012) 511 communautés de peuples autochtones amazoniens, dont 66 tribus isolées (volontairement pour certaines), vivant dans neuf pays amazoniens, soit 3 à 4 millions de personnes selon les sources.Tout comme Raoni Metuktire (l'un des chef du peuple kayapo), José Gregorio Diaz Mirabal s'est fait porte-parole de nombreux autochtones amérindiens, se consacrant à la protection de la forêt amazonienne, y compris en tant que puit

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  • José Gregorio Diaz Mirabal, est un leader amérindien, membre du peuple Wakuenai Kurripaco (une ethnie amazonienne transfrontalière, répartie entre le Venezuela, le Brésil et la Colombie), né au Venezuela, élu pour deux ans coordonnateur de la  Coordination des organisations autochtones du bassin amazonien (COICA, basée à Quito en Équateur), congrès qui représentait (en 2012) 511 communautés de peuples autochtones amazoniens, dont 66 tribus isolées (volontairement pour certaines), vivant dans neuf pays amazoniens, soit 3 à 4 millions de personnes selon les sources.Tout comme Raoni Metuktire (l'un des chef du peuple kayapo), José Gregorio Diaz Mirabal s'est fait porte-parole de nombreux autochtones amérindiens, se consacrant à la protection de la forêt amazonienne, y compris en tant que puits de carbone, ainsi qu'à la reconnaissance des droits des peuples autochtones et de leurs savoirs traditionnels, alors que ces peuples doivent faire face à des actes de violence et de racisme, souvent associés aux avancées des infrastructures, de l'orpaillage illégal, de l'industrie extractive, des éleveurs et de l'agriculture du soja, des feux de forêt qui détruisent les territoires et ressources des populations autochtones, également mises à mal récemment par la pandémie de COVID-19. Mirabal dit avoir conscience que les peuples autochtones sont « un obstacle pour les gouvernements et les multinationales », et il dénonçe la criminalité qui sévit dans certains pays à l'encontre notamment de leaders écologistes assassinés ou, pour ceux qui ont plus de chance, emprisonnés.« Le jour où les peuples autochtones disparaîtront, l'Amazonie disparaîtra également » ; cette phrase de Gregorio Díaz Mirabal a été sélectionnée comme étant l'une des 12 phrases les plus impressionnantes retenues par le média Mongabay Latam parmi les centaines de témoignages qu'il a enregistré en 2020. (fr)
  • José Gregorio Diaz Mirabal, est un leader amérindien, membre du peuple Wakuenai Kurripaco (une ethnie amazonienne transfrontalière, répartie entre le Venezuela, le Brésil et la Colombie), né au Venezuela, élu pour deux ans coordonnateur de la  Coordination des organisations autochtones du bassin amazonien (COICA, basée à Quito en Équateur), congrès qui représentait (en 2012) 511 communautés de peuples autochtones amazoniens, dont 66 tribus isolées (volontairement pour certaines), vivant dans neuf pays amazoniens, soit 3 à 4 millions de personnes selon les sources.Tout comme Raoni Metuktire (l'un des chef du peuple kayapo), José Gregorio Diaz Mirabal s'est fait porte-parole de nombreux autochtones amérindiens, se consacrant à la protection de la forêt amazonienne, y compris en tant que puits de carbone, ainsi qu'à la reconnaissance des droits des peuples autochtones et de leurs savoirs traditionnels, alors que ces peuples doivent faire face à des actes de violence et de racisme, souvent associés aux avancées des infrastructures, de l'orpaillage illégal, de l'industrie extractive, des éleveurs et de l'agriculture du soja, des feux de forêt qui détruisent les territoires et ressources des populations autochtones, également mises à mal récemment par la pandémie de COVID-19. Mirabal dit avoir conscience que les peuples autochtones sont « un obstacle pour les gouvernements et les multinationales », et il dénonçe la criminalité qui sévit dans certains pays à l'encontre notamment de leaders écologistes assassinés ou, pour ceux qui ont plus de chance, emprisonnés.« Le jour où les peuples autochtones disparaîtront, l'Amazonie disparaîtra également » ; cette phrase de Gregorio Díaz Mirabal a été sélectionnée comme étant l'une des 12 phrases les plus impressionnantes retenues par le média Mongabay Latam parmi les centaines de témoignages qu'il a enregistré en 2020. (fr)
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  • José Gregorio Diaz Mirabal, est un leader amérindien, membre du peuple Wakuenai Kurripaco (une ethnie amazonienne transfrontalière, répartie entre le Venezuela, le Brésil et la Colombie), né au Venezuela, élu pour deux ans coordonnateur de la  Coordination des organisations autochtones du bassin amazonien (COICA, basée à Quito en Équateur), congrès qui représentait (en 2012) 511 communautés de peuples autochtones amazoniens, dont 66 tribus isolées (volontairement pour certaines), vivant dans neuf pays amazoniens, soit 3 à 4 millions de personnes selon les sources.Tout comme Raoni Metuktire (l'un des chef du peuple kayapo), José Gregorio Diaz Mirabal s'est fait porte-parole de nombreux autochtones amérindiens, se consacrant à la protection de la forêt amazonienne, y compris en tant que puit (fr)
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