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- Guillaume du Vair, né à Paris le 7 mars 1556 et mort à Tonneins le 3 août 1621, était un prélat, homme politique et écrivain moraliste français. Garde des sceaux sous Louis XIII, il disait de son père, le savant jurisconsulte , qu'il avait toujours gardé l'accent du village de Tournemire dont ils étaient originaires. Traducteur d'Épictète, Du Vair prônait l'acceptation stoïque de « la condition humaine ». Face à un monde corrompu, il préférait le devoir civique au retrait monastique, comme il l’a dit dans son Exhortation à la vie civile (1606). (fr)
- Guillaume du Vair, né à Paris le 7 mars 1556 et mort à Tonneins le 3 août 1621, était un prélat, homme politique et écrivain moraliste français. Garde des sceaux sous Louis XIII, il disait de son père, le savant jurisconsulte , qu'il avait toujours gardé l'accent du village de Tournemire dont ils étaient originaires. Traducteur d'Épictète, Du Vair prônait l'acceptation stoïque de « la condition humaine ». Face à un monde corrompu, il préférait le devoir civique au retrait monastique, comme il l’a dit dans son Exhortation à la vie civile (1606). (fr)
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- Guillaume du Vair, né à Paris le 7 mars 1556 et mort à Tonneins le 3 août 1621, était un prélat, homme politique et écrivain moraliste français. Garde des sceaux sous Louis XIII, il disait de son père, le savant jurisconsulte , qu'il avait toujours gardé l'accent du village de Tournemire dont ils étaient originaires. Traducteur d'Épictète, Du Vair prônait l'acceptation stoïque de « la condition humaine ». Face à un monde corrompu, il préférait le devoir civique au retrait monastique, comme il l’a dit dans son Exhortation à la vie civile (1606). (fr)
- Guillaume du Vair, né à Paris le 7 mars 1556 et mort à Tonneins le 3 août 1621, était un prélat, homme politique et écrivain moraliste français. Garde des sceaux sous Louis XIII, il disait de son père, le savant jurisconsulte , qu'il avait toujours gardé l'accent du village de Tournemire dont ils étaient originaires. Traducteur d'Épictète, Du Vair prônait l'acceptation stoïque de « la condition humaine ». Face à un monde corrompu, il préférait le devoir civique au retrait monastique, comme il l’a dit dans son Exhortation à la vie civile (1606). (fr)
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