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- Le premier gouvernement Hariri est un gouvernement d'unité nationale mis en place par le président du Conseil des ministres libanais Saad Hariri en novembre 2009. Ce gouvernement a été précédé par le Gouvernement Siniora. En novembre 2009, après cinq mois d’âpres négociations qui suivirent les Élections législatives libanaises de 2009, le président du Conseil des ministres libanais Saad Hariri a finalement formé un gouvernement d'unité nationale. Quinze ministres ont été choisis par la coalition du 14 mars de Hariri, dix par l'opposition, la dite coalition du 8 mars, et les cinq autres ministres par le Président Michel Sleiman. Cette formule donne au 14 mars la majorité des ministres, tout en empêchant également l'opposition d'obtenir un droit de veto, qui exige 11 ministres. Ainsi, du moins en théorie, les ministres choisis par le président impartial Michel Sleiman ont un impact décisif sur la prise de décision. Après la démission des 10 ministres de l'opposition et du ministre Adnan Sayed Hussein qui représente le président de la république, le mercredi 12 janvier 2011, le gouvernement perd le tiers de ses ministres plus un ministre ce qui, selon la constitution, dissout le gouvernement et devient un gouvernement chargé de gérer les affaires courantes jusqu'à la formation d'un nouveau gouvernement. (fr)
- Le premier gouvernement Hariri est un gouvernement d'unité nationale mis en place par le président du Conseil des ministres libanais Saad Hariri en novembre 2009. Ce gouvernement a été précédé par le Gouvernement Siniora. En novembre 2009, après cinq mois d’âpres négociations qui suivirent les Élections législatives libanaises de 2009, le président du Conseil des ministres libanais Saad Hariri a finalement formé un gouvernement d'unité nationale. Quinze ministres ont été choisis par la coalition du 14 mars de Hariri, dix par l'opposition, la dite coalition du 8 mars, et les cinq autres ministres par le Président Michel Sleiman. Cette formule donne au 14 mars la majorité des ministres, tout en empêchant également l'opposition d'obtenir un droit de veto, qui exige 11 ministres. Ainsi, du moins en théorie, les ministres choisis par le président impartial Michel Sleiman ont un impact décisif sur la prise de décision. Après la démission des 10 ministres de l'opposition et du ministre Adnan Sayed Hussein qui représente le président de la république, le mercredi 12 janvier 2011, le gouvernement perd le tiers de ses ministres plus un ministre ce qui, selon la constitution, dissout le gouvernement et devient un gouvernement chargé de gérer les affaires courantes jusqu'à la formation d'un nouveau gouvernement. (fr)
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