| dbo:abstract
|
- Malgré de nombreuses évolutions apportées via l'action publique aux dispositifs de mesure et de suivi de la qualité de l'air (indicateurs) ainsi qu'aux moyens de lutte contre la pollution de l'air depuis le début du XXe siècle et plus encore depuis les années 1970 la mauvaise qualité de l'air est encore responsable, en France [Quand ?], de près de 40 000 décès prématurés par an, soit près de 5 % des décès annuels. On estime que près de 12 millions de Français ont vécu en 2011 dans des zones n’ayant pas respecté les valeurs limites annuelles relatives aux particules PM10 (particules fines de 10 micromètres de diamètre). La qualité de l'air reste donc un enjeu important de santé publique. Elle l'est pour la France et au-delà, car la pollution de l'air ne s'arrête pas aux frontières. Pour cette raison, elle relève aussi subsidiairement des politiques environnementales et sanitaires de l'Europe, en lien avec l'OMS. En France, les collectivités territoriales, chacune selon leur échelle et leurs compétences légales sont invitées par la loi et différents plans (exemple Plan national santé environnement, plan régional pour la qualité de l'air...) à contribuer à évaluer et améliorer la qualité de l'air. Pour cela elles s'appuient sur des indicateurs de qualité de l'air, construits par des réseaux de surveillance de la pollution atmosphérique nomenclatures, des classements et zonages, des systèmes de déclarations et autorisations, contractualisation, définitions et guides de bonnes pratiques, et une agence nationale (l'Ademe) pour partie comparable avec ce qui se fait dans d'autres pays d'Europe de l'Ouest. Les citoyens sont également de plus en plus considérés comme partenaires de l'action publique via le débat public, la planification concertée, le devoir et droit d’information et de participation des populations, la vie associative... (fr)
- Malgré de nombreuses évolutions apportées via l'action publique aux dispositifs de mesure et de suivi de la qualité de l'air (indicateurs) ainsi qu'aux moyens de lutte contre la pollution de l'air depuis le début du XXe siècle et plus encore depuis les années 1970 la mauvaise qualité de l'air est encore responsable, en France [Quand ?], de près de 40 000 décès prématurés par an, soit près de 5 % des décès annuels. On estime que près de 12 millions de Français ont vécu en 2011 dans des zones n’ayant pas respecté les valeurs limites annuelles relatives aux particules PM10 (particules fines de 10 micromètres de diamètre). La qualité de l'air reste donc un enjeu important de santé publique. Elle l'est pour la France et au-delà, car la pollution de l'air ne s'arrête pas aux frontières. Pour cette raison, elle relève aussi subsidiairement des politiques environnementales et sanitaires de l'Europe, en lien avec l'OMS. En France, les collectivités territoriales, chacune selon leur échelle et leurs compétences légales sont invitées par la loi et différents plans (exemple Plan national santé environnement, plan régional pour la qualité de l'air...) à contribuer à évaluer et améliorer la qualité de l'air. Pour cela elles s'appuient sur des indicateurs de qualité de l'air, construits par des réseaux de surveillance de la pollution atmosphérique nomenclatures, des classements et zonages, des systèmes de déclarations et autorisations, contractualisation, définitions et guides de bonnes pratiques, et une agence nationale (l'Ademe) pour partie comparable avec ce qui se fait dans d'autres pays d'Europe de l'Ouest. Les citoyens sont également de plus en plus considérés comme partenaires de l'action publique via le débat public, la planification concertée, le devoir et droit d’information et de participation des populations, la vie associative... (fr)
|
| rdfs:comment
|
- Malgré de nombreuses évolutions apportées via l'action publique aux dispositifs de mesure et de suivi de la qualité de l'air (indicateurs) ainsi qu'aux moyens de lutte contre la pollution de l'air depuis le début du XXe siècle et plus encore depuis les années 1970 la mauvaise qualité de l'air est encore responsable, en France [Quand ?], de près de 40 000 décès prématurés par an, soit près de 5 % des décès annuels. On estime que près de 12 millions de Français ont vécu en 2011 dans des zones n’ayant pas respecté les valeurs limites annuelles relatives aux particules PM10 (particules fines de 10 micromètres de diamètre). (fr)
- Malgré de nombreuses évolutions apportées via l'action publique aux dispositifs de mesure et de suivi de la qualité de l'air (indicateurs) ainsi qu'aux moyens de lutte contre la pollution de l'air depuis le début du XXe siècle et plus encore depuis les années 1970 la mauvaise qualité de l'air est encore responsable, en France [Quand ?], de près de 40 000 décès prématurés par an, soit près de 5 % des décès annuels. On estime que près de 12 millions de Français ont vécu en 2011 dans des zones n’ayant pas respecté les valeurs limites annuelles relatives aux particules PM10 (particules fines de 10 micromètres de diamètre). (fr)
|
