prop-fr:texte
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- […]
Et désormais, si les montagnes se reboisent,
Si la terre verdit, si les fils s'entrecroisent,
Annonçant la pluie ou le froid,
Si de ce belvédère on suit les vents sonores,
Si l'on voit se former, grandir les météores,
À Fabre l'honneur en échoit. (fr)
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Et désormais, si les montagnes se reboisent,
Si la terre verdit, si les fils s'entrecroisent,
Annonçant la pluie ou le froid,
Si de ce belvédère on suit les vents sonores,
Si l'on voit se former, grandir les météores,
À Fabre l'honneur en échoit. (fr)
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