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- Jules Félix Esclangon, né à Manosque le 10 janvier 1905 et décédé le 5 mai 1956 , fut professeur en énergétique appliquée à La Sorbonne et ancien directeur de l'Institut polytechnique de Grenoble de 1940, où il prit la suite du doyen René Gosse révoqué par le régime de Vichy qui le nomme également, en août 1942, au conseil municipal de Grenoble. Il exerça cette fonction de directeur jusqu'à son départ pour Paris en 1951, et il est alors remplacé par le professeur Louis Néel. Il meurt électrocuté en 1956 au cours d'une manipulation lors d'une conférence sur les rayons X pour ses étudiants, dans l'amphithéâtre de physique du local de la faculté des sciences, no 12 rue Cuvier. En hommage, un lycée de Manosque, un groupe scolaire de Digne, le pont Esclangon, un bâtiment du campus de Jussieu, une rue de Grenoble desservant le polygone scientifique, une rue de Chambéry et plusieurs voies dans différentes communes portent son nom. Il est le neveu de l'astronome Ernest Esclangon, inventeur de l'horloge parlante, et le grand-père du mathématicien Pierre Pansu et du physico-chimiste Robert Pansu. (fr)
- Jules Félix Esclangon, né à Manosque le 10 janvier 1905 et décédé le 5 mai 1956 , fut professeur en énergétique appliquée à La Sorbonne et ancien directeur de l'Institut polytechnique de Grenoble de 1940, où il prit la suite du doyen René Gosse révoqué par le régime de Vichy qui le nomme également, en août 1942, au conseil municipal de Grenoble. Il exerça cette fonction de directeur jusqu'à son départ pour Paris en 1951, et il est alors remplacé par le professeur Louis Néel. Il meurt électrocuté en 1956 au cours d'une manipulation lors d'une conférence sur les rayons X pour ses étudiants, dans l'amphithéâtre de physique du local de la faculté des sciences, no 12 rue Cuvier. En hommage, un lycée de Manosque, un groupe scolaire de Digne, le pont Esclangon, un bâtiment du campus de Jussieu, une rue de Grenoble desservant le polygone scientifique, une rue de Chambéry et plusieurs voies dans différentes communes portent son nom. Il est le neveu de l'astronome Ernest Esclangon, inventeur de l'horloge parlante, et le grand-père du mathématicien Pierre Pansu et du physico-chimiste Robert Pansu. (fr)
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- Jules Félix Esclangon (en)
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- Chevalier de la Légion d'honneur
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- Plaque à l'effigie de Félix Esclangon (médaillon sculpté parCarlo Sarrabezolles), Pavillon Félix Esclangon, Cité universitaire du Rabot, Grenoble (Isère).
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- Chaire en énergétique appliquée (fr)
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- Directeur de l'Institut polytechnique de Grenoble (fr)
- Directeur de l'Institut polytechnique de Grenoble (fr)
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prop-fr:dateDeDécès
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- Ernest Esclangon, son oncle (fr)
- Pierre Pansu et Robert Pansu, ses petits-fils (fr)
- Ernest Esclangon, son oncle (fr)
- Pierre Pansu et Robert Pansu, ses petits-fils (fr)
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- Plaque à l'effigie de Félix Esclangon , Pavillon Félix Esclangon, Cité universitaire du Rabot, Grenoble . (fr)
- Plaque à l'effigie de Félix Esclangon , Pavillon Félix Esclangon, Cité universitaire du Rabot, Grenoble . (fr)
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- Félix Esclangon (fr)
- Félix Esclangon (fr)
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- Professeur à La Sorbonne (fr)
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- Jules Félix Esclangon, né à Manosque le 10 janvier 1905 et décédé le 5 mai 1956 , fut professeur en énergétique appliquée à La Sorbonne et ancien directeur de l'Institut polytechnique de Grenoble de 1940, où il prit la suite du doyen René Gosse révoqué par le régime de Vichy qui le nomme également, en août 1942, au conseil municipal de Grenoble. Il exerça cette fonction de directeur jusqu'à son départ pour Paris en 1951, et il est alors remplacé par le professeur Louis Néel. (fr)
- Jules Félix Esclangon, né à Manosque le 10 janvier 1905 et décédé le 5 mai 1956 , fut professeur en énergétique appliquée à La Sorbonne et ancien directeur de l'Institut polytechnique de Grenoble de 1940, où il prit la suite du doyen René Gosse révoqué par le régime de Vichy qui le nomme également, en août 1942, au conseil municipal de Grenoble. Il exerça cette fonction de directeur jusqu'à son départ pour Paris en 1951, et il est alors remplacé par le professeur Louis Néel. (fr)
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- Félix Esclangon (fr)
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