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- Frédéric Guillaume est un cinéaste belge né à Liège le 20 novembre 1975[réf. nécessaire]. Diplômé de l'INSAS en réalisation à Bruxelles en 2001, son premier court-métrage, « Krash », film burlesque politique sur la fin du règne de l’argent[réf. nécessaire], est projeté au Brussels Short Film Festival. Il s’inscrit ensuite dans la lignée pédagogique du cinéma du réel[source insuffisante] avec son premier documentaire « Heron city » primé dans un festival bruxellois. À l’instar de l’association AJC! dans laquelle il a été mandaté plusieurs années, il prône un cinéma dit « no budget », à l’économie minimale, afin de donner une liberté de création au cinéaste comme celle de l’écrivain ou du dessinateur simplement muni d’un papier et d’un crayon .[source insuffisante] Il réalise, au début des années 2000, différents essais documentaires autour des thématiques de l’utopie, l’argent, du bonheur, de l’amitié et de la solidarité[réf. nécessaire]. Progressivement, il voit la nécessité de tourner sa caméra « vers l’intérieur » et se lance dans un travail autobiographique[source insuffisante] qui aboutira au long métrage « Les années claires » (Clear years) qui fera sa première en compétition internationale au festival de l’IDFA en 2015. En 2016, il prépare un nouvel essai documentaire nommé « Le lieu tranquille », sur le profond désir de refuge enfoui en l’humain, librement inspiré de l’essai écrit par Peter Handke.[source insuffisante] (fr)
- Frédéric Guillaume est un cinéaste belge né à Liège le 20 novembre 1975[réf. nécessaire]. Diplômé de l'INSAS en réalisation à Bruxelles en 2001, son premier court-métrage, « Krash », film burlesque politique sur la fin du règne de l’argent[réf. nécessaire], est projeté au Brussels Short Film Festival. Il s’inscrit ensuite dans la lignée pédagogique du cinéma du réel[source insuffisante] avec son premier documentaire « Heron city » primé dans un festival bruxellois. À l’instar de l’association AJC! dans laquelle il a été mandaté plusieurs années, il prône un cinéma dit « no budget », à l’économie minimale, afin de donner une liberté de création au cinéaste comme celle de l’écrivain ou du dessinateur simplement muni d’un papier et d’un crayon .[source insuffisante] Il réalise, au début des années 2000, différents essais documentaires autour des thématiques de l’utopie, l’argent, du bonheur, de l’amitié et de la solidarité[réf. nécessaire]. Progressivement, il voit la nécessité de tourner sa caméra « vers l’intérieur » et se lance dans un travail autobiographique[source insuffisante] qui aboutira au long métrage « Les années claires » (Clear years) qui fera sa première en compétition internationale au festival de l’IDFA en 2015. En 2016, il prépare un nouvel essai documentaire nommé « Le lieu tranquille », sur le profond désir de refuge enfoui en l’humain, librement inspiré de l’essai écrit par Peter Handke.[source insuffisante] (fr)
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- Frédéric Guillaume est un cinéaste belge né à Liège le 20 novembre 1975[réf. nécessaire]. Diplômé de l'INSAS en réalisation à Bruxelles en 2001, son premier court-métrage, « Krash », film burlesque politique sur la fin du règne de l’argent[réf. nécessaire], est projeté au Brussels Short Film Festival. Il s’inscrit ensuite dans la lignée pédagogique du cinéma du réel[source insuffisante] avec son premier documentaire « Heron city » primé dans un festival bruxellois. (fr)
- Frédéric Guillaume est un cinéaste belge né à Liège le 20 novembre 1975[réf. nécessaire]. Diplômé de l'INSAS en réalisation à Bruxelles en 2001, son premier court-métrage, « Krash », film burlesque politique sur la fin du règne de l’argent[réf. nécessaire], est projeté au Brussels Short Film Festival. Il s’inscrit ensuite dans la lignée pédagogique du cinéma du réel[source insuffisante] avec son premier documentaire « Heron city » primé dans un festival bruxellois. (fr)
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