Au XIXe siècle, la Blaise et son petit affluent le Blaiseron ont concentré sur une cinquantaine de kilomètres 24 hauts-fourneaux, une vingtaine de bocards et patouillets ainsi que de nombreux foyers d’affinerie, marteaux, wilkinsons et ateliers de transformation. Dommartin-le-Franc comptait deux établissements : l’usine du haut, devenue Metallurgic park, centre d’interprétation de la métallurgie ancienne et contemporaine, et l’usine du bas devenue le Conservatoire des arts de la métallurgie.

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  • Au XIXe siècle, la Blaise et son petit affluent le Blaiseron ont concentré sur une cinquantaine de kilomètres 24 hauts-fourneaux, une vingtaine de bocards et patouillets ainsi que de nombreux foyers d’affinerie, marteaux, wilkinsons et ateliers de transformation. Dommartin-le-Franc comptait deux établissements : l’usine du haut, devenue Metallurgic park, centre d’interprétation de la métallurgie ancienne et contemporaine, et l’usine du bas devenue le Conservatoire des arts de la métallurgie. Selon l’historien Jean-Marie Chirol reprenant les guides Joanne, la Blaise était la rivière de France qui faisait mouvoir le plus grand nombre de forges. Entre Cirey-sur-Blaise et Éclaron, distants d’une trentaine de kilomètres, plus de 25 établissements : hauts-fourneaux, forges, bocards, patouillets, ateliers de transformation, étaient implantés dans 15 villages. (fr)
  • Au XIXe siècle, la Blaise et son petit affluent le Blaiseron ont concentré sur une cinquantaine de kilomètres 24 hauts-fourneaux, une vingtaine de bocards et patouillets ainsi que de nombreux foyers d’affinerie, marteaux, wilkinsons et ateliers de transformation. Dommartin-le-Franc comptait deux établissements : l’usine du haut, devenue Metallurgic park, centre d’interprétation de la métallurgie ancienne et contemporaine, et l’usine du bas devenue le Conservatoire des arts de la métallurgie. Selon l’historien Jean-Marie Chirol reprenant les guides Joanne, la Blaise était la rivière de France qui faisait mouvoir le plus grand nombre de forges. Entre Cirey-sur-Blaise et Éclaron, distants d’une trentaine de kilomètres, plus de 25 établissements : hauts-fourneaux, forges, bocards, patouillets, ateliers de transformation, étaient implantés dans 15 villages. (fr)
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  • Au XIXe siècle, la Blaise et son petit affluent le Blaiseron ont concentré sur une cinquantaine de kilomètres 24 hauts-fourneaux, une vingtaine de bocards et patouillets ainsi que de nombreux foyers d’affinerie, marteaux, wilkinsons et ateliers de transformation. Dommartin-le-Franc comptait deux établissements : l’usine du haut, devenue Metallurgic park, centre d’interprétation de la métallurgie ancienne et contemporaine, et l’usine du bas devenue le Conservatoire des arts de la métallurgie. (fr)
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