Florebo quocumque ferar est une locution latine qui peut se traduire en français par « Je fleurirai partout où je serai porté », voire « Je fleurirai partout où je serai plantée ». Aux XVIIe et XVIIIe siècles, elle servit de devise à la Compagnie française des Indes orientales après avoir été choisie par l'académicien François Charpentier au lancement de cette dernière. À ce titre, elle figurait sur le listel doré ornant ses armoiries.En 1722, la devise devient « Spem auget opesque parat » (Elle fait croître l’espérance et prévoit les profits).

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  • Florebo quocumque ferar est une locution latine qui peut se traduire en français par « Je fleurirai partout où je serai porté », voire « Je fleurirai partout où je serai plantée ». Aux XVIIe et XVIIIe siècles, elle servit de devise à la Compagnie française des Indes orientales après avoir été choisie par l'académicien François Charpentier au lancement de cette dernière. À ce titre, elle figurait sur le listel doré ornant ses armoiries.En 1722, la devise devient « Spem auget opesque parat » (Elle fait croître l’espérance et prévoit les profits). Aujourd'hui, cette expression sert de devise à l'île de La Réunion. Aussi, elle figure sur le blason créé pour ce territoire par l'ancien gouverneur Émile Merwart à l'occasion d'une exposition coloniale à Petite-Île en 1925. On la retrouve à nouveau sur un listel doré, mais elle est cette fois enguirlandée par une liane de vanille, ce qui n'était pas le cas autrefois. « Florebo quocumque ferar » est une devise qui est également attribué à la famille Vergriete ou la Maison de Griete, une famille de la bourgeoisie et noblesse flamande relevant de la seigneurie de Cassel.Son nom désignant une fleur, la marguerite, se rattache à cette devise depuis le XVIe siècle. (fr)
  • Florebo quocumque ferar est une locution latine qui peut se traduire en français par « Je fleurirai partout où je serai porté », voire « Je fleurirai partout où je serai plantée ». Aux XVIIe et XVIIIe siècles, elle servit de devise à la Compagnie française des Indes orientales après avoir été choisie par l'académicien François Charpentier au lancement de cette dernière. À ce titre, elle figurait sur le listel doré ornant ses armoiries.En 1722, la devise devient « Spem auget opesque parat » (Elle fait croître l’espérance et prévoit les profits). Aujourd'hui, cette expression sert de devise à l'île de La Réunion. Aussi, elle figure sur le blason créé pour ce territoire par l'ancien gouverneur Émile Merwart à l'occasion d'une exposition coloniale à Petite-Île en 1925. On la retrouve à nouveau sur un listel doré, mais elle est cette fois enguirlandée par une liane de vanille, ce qui n'était pas le cas autrefois. « Florebo quocumque ferar » est une devise qui est également attribué à la famille Vergriete ou la Maison de Griete, une famille de la bourgeoisie et noblesse flamande relevant de la seigneurie de Cassel.Son nom désignant une fleur, la marguerite, se rattache à cette devise depuis le XVIe siècle. (fr)
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  • Florebo quocumque ferar est une locution latine qui peut se traduire en français par « Je fleurirai partout où je serai porté », voire « Je fleurirai partout où je serai plantée ». Aux XVIIe et XVIIIe siècles, elle servit de devise à la Compagnie française des Indes orientales après avoir été choisie par l'académicien François Charpentier au lancement de cette dernière. À ce titre, elle figurait sur le listel doré ornant ses armoiries.En 1722, la devise devient « Spem auget opesque parat » (Elle fait croître l’espérance et prévoit les profits). (fr)
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  • Florebo quocumque ferar (en)
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