C'est à Madrid en 1804, que Boccherini se met à l'écriture de ses quatuors à cordes opus 64 « composti espressamente per il Cittadino Luciano Bonaparte ». Cette dédicace à Lucien Bonaparte pose un problème. En effet, en 1801, il a cessé ses fonctions d'ambassadeur à Madrid. Certains commentateurs tels que Louis Picquot, son premier biographe, ont estimé que Lucien Bonaparte versait au compositeur une pension annuelle. Mais, aucune documentation n'en fait part. Yves Gérard pour sa part privilégie l'opportunisme politique de Boccherini en quête de mécènes. Sans doute initialement prévu pour un recueil de six, le compositeur de plus en plus affaibli, n'en achève qu'un, celui en fa majeur (G.248). Du second ne subsiste que son premier mouvement, un Allegro con brio en ré majeur (G.249).

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  • C'est à Madrid en 1804, que Boccherini se met à l'écriture de ses quatuors à cordes opus 64 « composti espressamente per il Cittadino Luciano Bonaparte ». Cette dédicace à Lucien Bonaparte pose un problème. En effet, en 1801, il a cessé ses fonctions d'ambassadeur à Madrid. Certains commentateurs tels que Louis Picquot, son premier biographe, ont estimé que Lucien Bonaparte versait au compositeur une pension annuelle. Mais, aucune documentation n'en fait part. Yves Gérard pour sa part privilégie l'opportunisme politique de Boccherini en quête de mécènes. Sans doute initialement prévu pour un recueil de six, le compositeur de plus en plus affaibli, n'en achève qu'un, celui en fa majeur (G.248). Du second ne subsiste que son premier mouvement, un Allegro con brio en ré majeur (G.249). (fr)
  • C'est à Madrid en 1804, que Boccherini se met à l'écriture de ses quatuors à cordes opus 64 « composti espressamente per il Cittadino Luciano Bonaparte ». Cette dédicace à Lucien Bonaparte pose un problème. En effet, en 1801, il a cessé ses fonctions d'ambassadeur à Madrid. Certains commentateurs tels que Louis Picquot, son premier biographe, ont estimé que Lucien Bonaparte versait au compositeur une pension annuelle. Mais, aucune documentation n'en fait part. Yves Gérard pour sa part privilégie l'opportunisme politique de Boccherini en quête de mécènes. Sans doute initialement prévu pour un recueil de six, le compositeur de plus en plus affaibli, n'en achève qu'un, celui en fa majeur (G.248). Du second ne subsiste que son premier mouvement, un Allegro con brio en ré majeur (G.249). (fr)
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  • Portrait en buste et les bras croisés de trois quart face à gauche d'un jeune homme d'une trentaine d'années aux cheveux et aux yeux noirs, habillé d'une veste de couleur sombre sur une chemise avec un foulard au cou, tous deux blancs. À l'arrière plan, paysage suggéré de montagne et d'arbres méditerranéens. L'homme tient un livre entrouvert à la main, et regarde hors cadre (fr)
  • Portrait en buste et les bras croisés de trois quart face à gauche d'un jeune homme d'une trentaine d'années aux cheveux et aux yeux noirs, habillé d'une veste de couleur sombre sur une chemise avec un foulard au cou, tous deux blancs. À l'arrière plan, paysage suggéré de montagne et d'arbres méditerranéens. L'homme tient un livre entrouvert à la main, et regarde hors cadre (fr)
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  • Vita. Opere. Epistolario (fr)
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  • Thematic, Bibliographical and Critical Catalogue of the Works of Luigi Boccherini (fr)
  • Deux quatuors à cordes (fr)
  • Il divino Boccherini (fr)
  • Understanding Boccherini's Manuscripts (fr)
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  • C'est à Madrid en 1804, que Boccherini se met à l'écriture de ses quatuors à cordes opus 64 « composti espressamente per il Cittadino Luciano Bonaparte ». Cette dédicace à Lucien Bonaparte pose un problème. En effet, en 1801, il a cessé ses fonctions d'ambassadeur à Madrid. Certains commentateurs tels que Louis Picquot, son premier biographe, ont estimé que Lucien Bonaparte versait au compositeur une pension annuelle. Mais, aucune documentation n'en fait part. Yves Gérard pour sa part privilégie l'opportunisme politique de Boccherini en quête de mécènes. Sans doute initialement prévu pour un recueil de six, le compositeur de plus en plus affaibli, n'en achève qu'un, celui en fa majeur (G.248). Du second ne subsiste que son premier mouvement, un Allegro con brio en ré majeur (G.249). (fr)
  • C'est à Madrid en 1804, que Boccherini se met à l'écriture de ses quatuors à cordes opus 64 « composti espressamente per il Cittadino Luciano Bonaparte ». Cette dédicace à Lucien Bonaparte pose un problème. En effet, en 1801, il a cessé ses fonctions d'ambassadeur à Madrid. Certains commentateurs tels que Louis Picquot, son premier biographe, ont estimé que Lucien Bonaparte versait au compositeur une pension annuelle. Mais, aucune documentation n'en fait part. Yves Gérard pour sa part privilégie l'opportunisme politique de Boccherini en quête de mécènes. Sans doute initialement prévu pour un recueil de six, le compositeur de plus en plus affaibli, n'en achève qu'un, celui en fa majeur (G.248). Du second ne subsiste que son premier mouvement, un Allegro con brio en ré majeur (G.249). (fr)
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  • Deux quatuors opus 64 de Luigi Boccherini (fr)
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