Darla dirladada (Ντιρλαντά, Ntirlantá), est une ancienne mélodie du folklore grec, plus précisément kalymniote ; cet air, dont il semble exister de multiples versions et variantes, aurait été chanté par les pêcheurs d'éponges en remontant de leur plongée, pour vérifier qu'ils n'étaient pas victimes d'accident de décompression. Dalida enregistre également des versions en italien et en allemand de la chanson, qui est commercialisée en italien couplée avec Arlecchino.

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  • Darla dirladada (Ντιρλαντά, Ntirlantá), est une ancienne mélodie du folklore grec, plus précisément kalymniote ; cet air, dont il semble exister de multiples versions et variantes, aurait été chanté par les pêcheurs d'éponges en remontant de leur plongée, pour vérifier qu'ils n'étaient pas victimes d'accident de décompression. En 1965, la mélodie est enregistrée sur disque par Pantelis Ginis, où cette lancinante mélopée conserve encore ses caractéristiques fondamentales de chant de travail, puis une autre adaptation de la mélodie, toujours interprétée en grec, par (el), dans un style plus moderne, mais qui reste traditionnel et folklorique paraît chez Polydor/Lyra fin 1969 sous le titre Dirlanda. Ce 45 tours connaît un succès modéré en France avant d'être repris quelques mois plus tard par Dalida, avec un texte en français du parolier Boris Bergman, tandis que le compositeur Jean Musy travaille sur la mélodie. Devenu succès populaire en France, le simple y atteint la septième place des ventes en septembre et est la 48e meilleure vente de l'année 1970. La chanson devient un des tubes incontournables de la chanteuse en ce début de décennie. Dans la version française, en écoutant l'air gai de la chanson, on peut ne pas prendre garde à la tristesse des paroles, contant l'histoire d'une femme abandonnée et forte, qui est pourtant tentée par la mort (« Je n'ai qu'une enfant c'est ma terre, je n'ai qu'une amie la rivière, elle fait darla dirladada, court le furet file la vague, je vivrai dans un monde d'algues, et j'aurai l'océan pour toit. »). En 2016, dans une interview accordée à Patrick Simonin sur TV5 Monde, le parolier de la version en français de la chanson, Boris Bergman, révèle qu'il s'agit d'un texte sur le suicide. Dalida enregistre également des versions en italien et en allemand de la chanson, qui est commercialisée en italien couplée avec Arlecchino. (fr)
  • Darla dirladada (Ντιρλαντά, Ntirlantá), est une ancienne mélodie du folklore grec, plus précisément kalymniote ; cet air, dont il semble exister de multiples versions et variantes, aurait été chanté par les pêcheurs d'éponges en remontant de leur plongée, pour vérifier qu'ils n'étaient pas victimes d'accident de décompression. En 1965, la mélodie est enregistrée sur disque par Pantelis Ginis, où cette lancinante mélopée conserve encore ses caractéristiques fondamentales de chant de travail, puis une autre adaptation de la mélodie, toujours interprétée en grec, par (el), dans un style plus moderne, mais qui reste traditionnel et folklorique paraît chez Polydor/Lyra fin 1969 sous le titre Dirlanda. Ce 45 tours connaît un succès modéré en France avant d'être repris quelques mois plus tard par Dalida, avec un texte en français du parolier Boris Bergman, tandis que le compositeur Jean Musy travaille sur la mélodie. Devenu succès populaire en France, le simple y atteint la septième place des ventes en septembre et est la 48e meilleure vente de l'année 1970. La chanson devient un des tubes incontournables de la chanteuse en ce début de décennie. Dans la version française, en écoutant l'air gai de la chanson, on peut ne pas prendre garde à la tristesse des paroles, contant l'histoire d'une femme abandonnée et forte, qui est pourtant tentée par la mort (« Je n'ai qu'une enfant c'est ma terre, je n'ai qu'une amie la rivière, elle fait darla dirladada, court le furet file la vague, je vivrai dans un monde d'algues, et j'aurai l'océan pour toit. »). En 2016, dans une interview accordée à Patrick Simonin sur TV5 Monde, le parolier de la version en français de la chanson, Boris Bergman, révèle qu'il s'agit d'un texte sur le suicide. Dalida enregistre également des versions en italien et en allemand de la chanson, qui est commercialisée en italien couplée avec Arlecchino. (fr)
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