Les premiers films mettant en scène une corrida font partie des "vues photographiques animées" (ainsi que Louis Lumière nomme ses premiers films) que la Société Lumière fait enregistrer un peu partout dans le monde pour alimenter les ventes du cinématographe aux riches particuliers puisqu'il s'agit d'une machine qui permet non seulement la prise de vues, mais aussi la projection en famille. Les images ramenées par plusieurs opérateurs sont réputées être de merveilleux documents. « C’est la vie même, c’est le mouvement pris sur le vif. »

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  • Les premiers films mettant en scène une corrida font partie des "vues photographiques animées" (ainsi que Louis Lumière nomme ses premiers films) que la Société Lumière fait enregistrer un peu partout dans le monde pour alimenter les ventes du cinématographe aux riches particuliers puisqu'il s'agit d'une machine qui permet non seulement la prise de vues, mais aussi la projection en famille. Les images ramenées par plusieurs opérateurs sont réputées être de merveilleux documents. « C’est la vie même, c’est le mouvement pris sur le vif. » Le cinéma taurin a fait son apparition à Madrid, en 1896, où une équipe d'opérateurs de Louis Lumière a présenté au public espagnol le cinématographe lors de la Feria de San Isidro. En 1897, Francis Doublier, opérateur Lumière, filme une corrida à Barcelone et découvre malgré lui l'accéléré. Depuis lors, la corrida a été un thème traité tantôt sous forme de document tel le Arruza de Budd Boetticher ou Les Années Arruza de Emilio Maillé (1996), tantôt sous forme de fiction comme le film de Pedro Almodóvar Parle avec elle ou sous forme de docu-fiction tel Manolete (film, 2010) de Menno Meyjes. Si la majorité des fictions taurines produites au cinéma ont été jugées secondaires (voire mauvaises) par la critique spécialisée, bien que les scènes jouées par des acteurs soient entrecoupées de scènes de tauromachie réelles, les documentaires et reportages sont considérés par les mêmes comme des références importantes, tant pour l'histoire de la tauromachie que pour celle du cinéma. La Cinémathèque française en possède un grand nombre, parmi lesquels les documents Lumière sur les premières écoles taurines : premières écoles taurines. (fr)
  • Les premiers films mettant en scène une corrida font partie des "vues photographiques animées" (ainsi que Louis Lumière nomme ses premiers films) que la Société Lumière fait enregistrer un peu partout dans le monde pour alimenter les ventes du cinématographe aux riches particuliers puisqu'il s'agit d'une machine qui permet non seulement la prise de vues, mais aussi la projection en famille. Les images ramenées par plusieurs opérateurs sont réputées être de merveilleux documents. « C’est la vie même, c’est le mouvement pris sur le vif. » Le cinéma taurin a fait son apparition à Madrid, en 1896, où une équipe d'opérateurs de Louis Lumière a présenté au public espagnol le cinématographe lors de la Feria de San Isidro. En 1897, Francis Doublier, opérateur Lumière, filme une corrida à Barcelone et découvre malgré lui l'accéléré. Depuis lors, la corrida a été un thème traité tantôt sous forme de document tel le Arruza de Budd Boetticher ou Les Années Arruza de Emilio Maillé (1996), tantôt sous forme de fiction comme le film de Pedro Almodóvar Parle avec elle ou sous forme de docu-fiction tel Manolete (film, 2010) de Menno Meyjes. Si la majorité des fictions taurines produites au cinéma ont été jugées secondaires (voire mauvaises) par la critique spécialisée, bien que les scènes jouées par des acteurs soient entrecoupées de scènes de tauromachie réelles, les documentaires et reportages sont considérés par les mêmes comme des références importantes, tant pour l'histoire de la tauromachie que pour celle du cinéma. La Cinémathèque française en possède un grand nombre, parmi lesquels les documents Lumière sur les premières écoles taurines : premières écoles taurines. (fr)
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  • Histoire et dictionnaire de la Tauromachie (fr)
  • La Tauromachie (fr)
  • Le Peuple du toro (fr)
  • Yankees in the afternoon, une histoire illustrée des toreros américains (fr)
  • Histoire générale du cinéma (fr)
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  • Denoël (fr)
  • Seuil (fr)
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  • Mac Farland (fr)
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  • Les premiers films mettant en scène une corrida font partie des "vues photographiques animées" (ainsi que Louis Lumière nomme ses premiers films) que la Société Lumière fait enregistrer un peu partout dans le monde pour alimenter les ventes du cinématographe aux riches particuliers puisqu'il s'agit d'une machine qui permet non seulement la prise de vues, mais aussi la projection en famille. Les images ramenées par plusieurs opérateurs sont réputées être de merveilleux documents. « C’est la vie même, c’est le mouvement pris sur le vif. » (fr)
  • Les premiers films mettant en scène une corrida font partie des "vues photographiques animées" (ainsi que Louis Lumière nomme ses premiers films) que la Société Lumière fait enregistrer un peu partout dans le monde pour alimenter les ventes du cinématographe aux riches particuliers puisqu'il s'agit d'une machine qui permet non seulement la prise de vues, mais aussi la projection en famille. Les images ramenées par plusieurs opérateurs sont réputées être de merveilleux documents. « C’est la vie même, c’est le mouvement pris sur le vif. » (fr)
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  • Corrida au cinéma (fr)
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