dbo:abstract
|
- La Continental-Films, dite Continental, est une société de production cinématographique française, active durant l'Occupation, et financée par des capitaux allemands. Créée en 1940 par Joseph Goebbels dans un but de propagande, elle est cependant dirigée par le francophile Alfred Greven qui tiendra peu compte des ordres politiques reçus de Berlin. La société produit ainsi entre 1941 et 1944 une trentaine de longs-métrages de qualité, dont certains comme La Main du diable, Au Bonheur des Dames ou Le Corbeau sont devenus des classiques français. La Continental disparaîtra à la Libération. (fr)
- La Continental-Films, dite Continental, est une société de production cinématographique française, active durant l'Occupation, et financée par des capitaux allemands. Créée en 1940 par Joseph Goebbels dans un but de propagande, elle est cependant dirigée par le francophile Alfred Greven qui tiendra peu compte des ordres politiques reçus de Berlin. La société produit ainsi entre 1941 et 1944 une trentaine de longs-métrages de qualité, dont certains comme La Main du diable, Au Bonheur des Dames ou Le Corbeau sont devenus des classiques français. La Continental disparaîtra à la Libération. (fr)
|
rdfs:comment
|
- La Continental-Films, dite Continental, est une société de production cinématographique française, active durant l'Occupation, et financée par des capitaux allemands. Créée en 1940 par Joseph Goebbels dans un but de propagande, elle est cependant dirigée par le francophile Alfred Greven qui tiendra peu compte des ordres politiques reçus de Berlin. La société produit ainsi entre 1941 et 1944 une trentaine de longs-métrages de qualité, dont certains comme La Main du diable, Au Bonheur des Dames ou Le Corbeau sont devenus des classiques français. La Continental disparaîtra à la Libération. (fr)
- La Continental-Films, dite Continental, est une société de production cinématographique française, active durant l'Occupation, et financée par des capitaux allemands. Créée en 1940 par Joseph Goebbels dans un but de propagande, elle est cependant dirigée par le francophile Alfred Greven qui tiendra peu compte des ordres politiques reçus de Berlin. La société produit ainsi entre 1941 et 1944 une trentaine de longs-métrages de qualité, dont certains comme La Main du diable, Au Bonheur des Dames ou Le Corbeau sont devenus des classiques français. La Continental disparaîtra à la Libération. (fr)
|