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- Le comté de Löwenstein est comté médiatisé historique du Saint-Empire romain germanique, qui, au moyen âge, avait ses seigneurs particuliers. Son chef-lieu était la ville de Löwenstein. Louis, le dernier des seigneurs de cette famille, vendit le comté, en 1441, à Philippe, électeur palatin, qui le céda à Louis, fils naturel de l’électeur palatin Frédéric Ier. Ce Louis, comte de Lœwenstein, est l’auteur de la maison de ce nom. Il fut élevé à la dignité de comte de l’empire par l’empereur Maximilien Ier. Louis II, le petit-fils du Louis qui précède, acquit les comtés de Wertheim et de Rochefort, et prit le titre de Lœwenstein-Wertheim. Il laissa deux fils, auteurs de deux branches. Christophe-Louis, l’aîné, mort en 1618, forma celle de Lœwenstein-Virnebourg, aujourd’hui Lœwenstein-Freudenberg, qui se bifurqua, en 1721, en deux rameaux, élevés tous deux a la dignité de prince, et dont l’un s’est éteint en 1852. Jean-Théodore, fils cadet de Louis II, forma la branche de Lœwenstein-Rochefort, aujourd’hui Lœwenstein-Rosenberg. Cette branche fut élevée à la dignité de prince de l’empire en 1711, en la personne du comte Maximilien-Charles. Les deux branches ont eu voix délibérative au collège des comtes de Franconie jusqu’en 1806, époque de leur médiatisation. (fr)
- Le comté de Löwenstein est comté médiatisé historique du Saint-Empire romain germanique, qui, au moyen âge, avait ses seigneurs particuliers. Son chef-lieu était la ville de Löwenstein. Louis, le dernier des seigneurs de cette famille, vendit le comté, en 1441, à Philippe, électeur palatin, qui le céda à Louis, fils naturel de l’électeur palatin Frédéric Ier. Ce Louis, comte de Lœwenstein, est l’auteur de la maison de ce nom. Il fut élevé à la dignité de comte de l’empire par l’empereur Maximilien Ier. Louis II, le petit-fils du Louis qui précède, acquit les comtés de Wertheim et de Rochefort, et prit le titre de Lœwenstein-Wertheim. Il laissa deux fils, auteurs de deux branches. Christophe-Louis, l’aîné, mort en 1618, forma celle de Lœwenstein-Virnebourg, aujourd’hui Lœwenstein-Freudenberg, qui se bifurqua, en 1721, en deux rameaux, élevés tous deux a la dignité de prince, et dont l’un s’est éteint en 1852. Jean-Théodore, fils cadet de Louis II, forma la branche de Lœwenstein-Rochefort, aujourd’hui Lœwenstein-Rosenberg. Cette branche fut élevée à la dignité de prince de l’empire en 1711, en la personne du comte Maximilien-Charles. Les deux branches ont eu voix délibérative au collège des comtes de Franconie jusqu’en 1806, époque de leur médiatisation. (fr)
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- Le comté de Löwenstein est comté médiatisé historique du Saint-Empire romain germanique, qui, au moyen âge, avait ses seigneurs particuliers. Son chef-lieu était la ville de Löwenstein. Louis, le dernier des seigneurs de cette famille, vendit le comté, en 1441, à Philippe, électeur palatin, qui le céda à Louis, fils naturel de l’électeur palatin Frédéric Ier. Ce Louis, comte de Lœwenstein, est l’auteur de la maison de ce nom. Il fut élevé à la dignité de comte de l’empire par l’empereur Maximilien Ier. Louis II, le petit-fils du Louis qui précède, acquit les comtés de Wertheim et de Rochefort, et prit le titre de Lœwenstein-Wertheim. Il laissa deux fils, auteurs de deux branches. Christophe-Louis, l’aîné, mort en 1618, forma celle de Lœwenstein-Virnebourg, aujourd’hui Lœwenstein-Freudenber (fr)
- Le comté de Löwenstein est comté médiatisé historique du Saint-Empire romain germanique, qui, au moyen âge, avait ses seigneurs particuliers. Son chef-lieu était la ville de Löwenstein. Louis, le dernier des seigneurs de cette famille, vendit le comté, en 1441, à Philippe, électeur palatin, qui le céda à Louis, fils naturel de l’électeur palatin Frédéric Ier. Ce Louis, comte de Lœwenstein, est l’auteur de la maison de ce nom. Il fut élevé à la dignité de comte de l’empire par l’empereur Maximilien Ier. Louis II, le petit-fils du Louis qui précède, acquit les comtés de Wertheim et de Rochefort, et prit le titre de Lœwenstein-Wertheim. Il laissa deux fils, auteurs de deux branches. Christophe-Louis, l’aîné, mort en 1618, forma celle de Lœwenstein-Virnebourg, aujourd’hui Lœwenstein-Freudenber (fr)
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