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- Le cheval en Bulgarie est une tradition remontant aux anciens Thraces. Les proto-bulgares, peuple cavalier, s'installent au VIIe siècle après avoir franchi le Danube. Après la conquête ottomane au XIVe siècle, les Bulgares ne sont plus autorisés à posséder et élever des chevaux de guerre. À l', en 1878, il n'existe pas de bons chevaux de selle dans ce pays, dont les habitants n'ont pas connaissances des pratiques de sélection appliquées ailleurs. À la fin du XIXe siècle, en raison du besoin impératif d'une cavalerie de qualité, le gouvernement bulgare passe une série de décrets visant à implanter et favoriser cet élevage. Le haras de Kabiuk est restauré en 1894. Les deux années suivants, le haras national de Klementina est créé près de Pleven, suivi par le , près de Sofia. Ces haras entretiennent un grand nombre d'étalons destinés à améliorer le cheptel local. À l'arrivée du communisme en 1944, l'élevage équin reste une priorité pour le nouveau gouvernement. Deux autres haras nationaux sont créés dans les années 1970 : le et le .La chute du communisme en 1989 entraîne une baisse progressive des crédits accordés aux haras nationaux bulgares. Le haras national de Klementina est privatisé à la fin du XXe siècle, et ferme quelques années plus tard ; celui d'Istar ferme en 1998. En 2006, Khan Asparuh et Stefan Karadja ferment à leur tour, faisant de Kabiuk l'unique et dernier haras de la Bulgarie. Il accueille environ 400 chevaux. (fr)
- Le cheval en Bulgarie est une tradition remontant aux anciens Thraces. Les proto-bulgares, peuple cavalier, s'installent au VIIe siècle après avoir franchi le Danube. Après la conquête ottomane au XIVe siècle, les Bulgares ne sont plus autorisés à posséder et élever des chevaux de guerre. À l', en 1878, il n'existe pas de bons chevaux de selle dans ce pays, dont les habitants n'ont pas connaissances des pratiques de sélection appliquées ailleurs. À la fin du XIXe siècle, en raison du besoin impératif d'une cavalerie de qualité, le gouvernement bulgare passe une série de décrets visant à implanter et favoriser cet élevage. Le haras de Kabiuk est restauré en 1894. Les deux années suivants, le haras national de Klementina est créé près de Pleven, suivi par le , près de Sofia. Ces haras entretiennent un grand nombre d'étalons destinés à améliorer le cheptel local. À l'arrivée du communisme en 1944, l'élevage équin reste une priorité pour le nouveau gouvernement. Deux autres haras nationaux sont créés dans les années 1970 : le et le .La chute du communisme en 1989 entraîne une baisse progressive des crédits accordés aux haras nationaux bulgares. Le haras national de Klementina est privatisé à la fin du XXe siècle, et ferme quelques années plus tard ; celui d'Istar ferme en 1998. En 2006, Khan Asparuh et Stefan Karadja ferment à leur tour, faisant de Kabiuk l'unique et dernier haras de la Bulgarie. Il accueille environ 400 chevaux. (fr)
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- Le cheval en Bulgarie est une tradition remontant aux anciens Thraces. Les proto-bulgares, peuple cavalier, s'installent au VIIe siècle après avoir franchi le Danube. Après la conquête ottomane au XIVe siècle, les Bulgares ne sont plus autorisés à posséder et élever des chevaux de guerre. À l', en 1878, il n'existe pas de bons chevaux de selle dans ce pays, dont les habitants n'ont pas connaissances des pratiques de sélection appliquées ailleurs. (fr)
- Le cheval en Bulgarie est une tradition remontant aux anciens Thraces. Les proto-bulgares, peuple cavalier, s'installent au VIIe siècle après avoir franchi le Danube. Après la conquête ottomane au XIVe siècle, les Bulgares ne sont plus autorisés à posséder et élever des chevaux de guerre. À l', en 1878, il n'existe pas de bons chevaux de selle dans ce pays, dont les habitants n'ont pas connaissances des pratiques de sélection appliquées ailleurs. (fr)
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